Réincarnation et métempsycose sont la même chose. Ces termes évoquent l’acte de l’incarnation de l’âme ou de la vie individualisée. C’est à tort que les ignorants confondent la métempsycose comme étant la réincarnation de l’homme dans une forme animale. Elle est en vérité le transfert de la conscience ou de la psyché d’une existence à l’autre, individuellement et collectivement. La personnalité est le vêtement temporaire de l’égo et ne survit pas à la mort. L’âme-conscience survit à la mort et se réincarne  dans une forme nouvelle en fonction des actions et des actes passées. La réincarnation est une activité cyclique gouvernant toute activité phénoménale. La loi de la réincarnation est la vie rythmée de Dieu. Elle régit les peuples, les individus, les règnes de la nature. L’auteur nous introduit dans le mystère de Dieu et des évolutions raciales ou ethniques. Il nous entretient de la pluralité des mondes habités, de l’origiene des races humaines, de la réincarnation collective des égos dans des ethnies données.  Il souligne le rôle joué par les pitris solaires et lunaires (anges de l’individualisation) dans le processus de la réincarnation. Le karma est le grand maître des hommes, qu’ils fussent « croyants-Dieu » ou « impies ». L’auteur nous ramène à l’origine de notre propre superunivers il y a près de 900 milliards d’années. Puis déroulant le fil des cycles il nous conduit dans le présent d’il y a 6 milliards d’années lorsque naquît notre propre système solaire. L’histoire de notre planète se déroule avec ses péripéties, ses hérésies, ses rebéllions, ses trahisons, jusqu’à la venue d’Adam et Eve voici 35.000 ans. Caligastia, Satan, Lucifer, qui sont-ils ? Christ apparaît comme le Seigneur, Créateur de notre propre univers local. Il nous décrit la mise en place de la civilisation atlantéenne, puis l’apparition de la civilisation aryenne, la venue d’un Fils Melchizédek il y a 4.000 ans, précurseur de la venue du Christ en la personnalité de Jésus de Nazareth il y a 2.000 ans. Il survole la théorie des 7 rayons, la génèse de l’âme, la structure simplifiée de l’homme. Assurément, la mort est un mystère qui nous ouvre grandes les portes de l’éternité de la vie. Naître, mourir, voyager dans la multidimensionalité de l’espace-temps, changer d’état quantique sont des termes interchangeables. L’auteur nous montre qu’il convient de se révéler humble face à ce Dieu de qui tout vient et vers qui tout repart. L’homme est un pèlerin de l’éternité. Les aides invisibles l’assistent dans sa progression qui le fait revenir dans la maison du Père céleste. La mort n’est qu’un changement d’état. Elle peut être dissolution de la conscience pour les égos rebelles.