L’homme doit connaître et découvrir son devoir (dharma) dans ce monde. Qui cherche la vérité doit combattre le mal : « Ayant compris ton dharma, tu ne dois pas trembler, Arjuna ; en vérité, pour un Kshattrya [un guerrier spirituel], il n’y a rien de plus désirable qu’un juste combat. » (B.G. 2 : 31)

 

Le 2ème dialogue intitulé le « Yoga selon le Samkhya » conduit l’initié à la réalisation de l’état de Brahman, à la fusion christique avec notre propre « monade » pythagoricienne, avec le « Noùs » de la tradition hermétique atlanto-égyptienne si cher aux néoplatoniciens : « Pour celui qui l’a atteint, il n’est plus de doute. Même s’il l’atteint à l’heure de la mort, il va au Nirvâna de l’Eternel. » (B.G. 2 : 72)

 

Ce nirvâna n’est autre que le « royaume des cieux » prôné par Jésus-Christ. On y accède par le processus de la résurrection. Ainsi, la réincarnation cesse là où commence la résurrection. L’auteur nous introduit dans la révélation de la structure septuple de l’univers et de l’homme. Il nous indique à quoi vise la pratique alchimique  du yoga : élaborer le « corps lumineux de résurrection et d’ascension ». Il donne à l’étudiant des tableaux qui lui permettront de clarifier sa pensée et d’intégrer plus facilement des connaissances ou une gnose autrement inaccessible.

 

Dans ce commentaire inédit, exprimé en un langage à la portée de tous, l’étudiant découvre les clefs de la théurgie des anciens, de la thaumaturgie, de l’alchimie, de l’astrologie initiatique, autrement dit les fondamentaux des « sciences dites occultes » ou « hermétiques » ou « ésotériques ».