Lettre n°3 – Amour-Sagesse Christique en ce second Manvantara

Cosmogonie

Lettre n°3

Lettre n°3

aux étudiants

Amour-Sagesse Christique en ce second Manvantara

En cette période où l’énergie du Christ est présente plus que jamais, ouvrons nos cœurs à l’énergie d’Amour-Sagesse qui est descendue en notre Terre de façon beaucoup plus puissante en ces jours passés de Noël. Accueillie et canalisée par la Hiérarchie des Maîtres, cette énergie est ensuite rayonnée, par ces mêmes maîtres, sur tous les Hommes, car l’âme de l’humanité est la communauté des saints Adeptes, nos Frères aînés, nos guides, nos modèles, comme le fut le Maître Jésus qui s’incarna voilà un peu plus de 2000 ans pour faire le don de son corps d’incarnation à notre maître créateur, Michael de Nébadon. Ces Maîtres sont, en effet, l’intermédiaire, le transformateur énergétique, entre les énergies christiques qui sont dirigées sur la Terre et l’humanité, car le niveau global de conscience de cette dernière est encore dans l’incapacité de recevoir directement un tel « voltage et ampérage ».

Il en est de même pour notre chakra du cœur. Il est ce transformateur qui permet de passer des basses vibrations (des 3 chakras inférieurs) à de hautes vibrations (celles des 3 chakras supérieurs). Il est en cela au centre même des 7 chakras.

Ce centre Anahata, ou centre cardiaque, est celui de l’Amour-Sagesse, et qui n’est autre que la porte qui nous ouvre à une autre dimension spatio-temporelle ; elle est cette 4ème dimension, transition entre la 3ème dimension, que nous ne connaissons que trop bien, et la 5ème où les rapports spatio-temporels sont fort différents.

Par analogie et à l’échelle de l’évolution de notre planète, notre humanité est en train de s’élancer dans la deuxième moitié de la ronde D du 2ème Manvantara (en fait, la ronde D correspond à la 4ème parmi les 7 formant la totalité de la Période de la Terre, elle-même étant la 4ème des 7 Périodes au sein du 2ème Manvantara ou 2ème incarnation de notre système solaire).

1er Manvantara : intégration de l’énergie de la Mère Divine, celle de l’Intelligence Active

Période de Pralaya (= repos)

2ème Manvantara : intégration de l’énergie de Dieu le Fils – le Christ –, celle de l’Amour-Sagesse

Période de Pralaya (= repos)

3ème Manvantara : intégration de l’énergie de Dieu le Père – le « Je Suis » , celle de la Volonté

2ème MANVANTARA (de l’involution dans la matière la plus dense à l’évolution vers l’Amour-Sagesse du Christ)

Involution de laÉvolution de la

Ronde A à la premièredeuxième moitié de la

moitié de la Ronde DRonde D à la ronde G

 

 

 

Cette Ronde D correspond parfaitement au chakra du cœur qui est lui-même le 4ème chakra en partant du haut comme du bas. Ce chakra, pour l’humanité dans son ensemble, n’est qu’à moitié éveillé. Aujourd’hui, en cette période de changements radicaux, cette moitié de la Ronde D nous ouvre la porte de l’évolution. L’involution dans la matière est maintenant terminée. Il nous faut à présent retourner à la Source, mais en totale conscience. Durant toute la deuxième moitié de cette ronde D, l’humanité devra permettre à son centre Anahata de s’épanouir, afin qu’il s’ouvre vers le haut et déployer ses pétales.

 

On peut ainsi comprendre pourquoi il est si important de se centrer dans le cœur avant toute prière, méditation ou contemplation. Le Centre Anahata est notre temple intérieur, notre jardin secret. Nous pouvons imaginer une porte que l’on ouvre afin d’y pénétrer. Une fois cette porte franchie, visualisons-nous monter un escalier pour s’élever. La porte et l’escalier sont la 4ème dimension, qui nous permet de passer de la 3ème à la 5ème dimension.

 

Le passage via le chakra Anahataà savoir le chakra de l’émotionnel supérieur – implique forcément que le monde des émotions est contrôlé, puisque le chakra en lien avec l’émotionnel inférieur est situé en deçà d’Anahata (Manipura chakra).

Pour illustrer ce point, nous aimerions citer un passage de l’enseignement qu’un des guides vénusiens a donné à Anne Givaudan (dans son ouvrage « Alliance »), car il est, à notre sens, très significatif :

« Je sais que ton cœur est lourd, mais cela ne pourra être d’aucune utilité et ne fera qu’alourdir encore plus ce qui se passe sur Terre. Tu le sais, ton travail n’est ni de t’appesantir sur des faits, ni de juger, mais d’agir sans jamais perdre le But. Agis sans jamais réagir, car cela donne de la force à ce qui t’entrave ou ralentit la marche de la planète Terre. Réagir, c’est agir en fonction de faits ou de personnes et non en fonction de son cœur. Dans la réaction, il y a la vanité, l’orgueil, le vouloir gagner qui nous accompagnent, et souvent un peu d’agressivité, de colère envers ce qui se trouve face à nous, que ce soient des êtres ou des événements.

Agir, c’est garder le But en suivant la voie de son cœur : non pas de ses émotions, mais de l’Amour, sans que l’action de l’autre puisse nous contrarier dans cette marche. (…) dans l’agir, il n’y a pas de jugement, pas d’émotivité. Il n’y a que l’Amour et nous-mêmes, face à ce que nous voulons et à ce que nous ne voulons pas. »

 

Par son effusion sur Terre il y a plus de 2000 ans, notre Christ créateur nous a donné la possibilité de passer de la « réaction » instinctive et animale à « l’action » intuitive et aimante, en prenant sur lui tout le karma émotionnel de l’humanité. Il nous a montré comment agir sans jugement et avec pardon ; d’ailleurs ses dernières paroles en tant que Dieu incarné, cloué au bois du supplice, ont été : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font » (Luc 23 : 34). Même en ces instants terribles, il fut sans jugement et tout Amour.

 

L’enseignement de notre Créateur est encore plus vibrant aujourd’hui, en cette période apocalyptique, c’est-à-dire en cette période de fin de cycle.

L’humanité a échoué par deux fois déjà son passage à un niveau vibratoire supérieur, appelé également « Initiation ». Aujourd’hui se présente la troisième et dernière possibilité d’évoluer pour l’humanité actuelle. Notre Terre Mère a été très patiente et a accepté de ralentir sa propre évolution pour nous attendre. Aujourd’hui, les temps sont plus que mûrs et elle ne nous attendra plus. Elle prendra son initiation quoi qu’il advienne du règne humain.

 

Ainsi, par le contrôle constant de nos actions mentales, émotionnelles et physiques, c’est notre porte intérieure qui s’ouvre grand vers notre futur éthéré.

 

Aussi, que cette nouvelle année soit pour nous tous l’occasion de cultiver la joie intérieure constante, d’agir sereinement, mus par notre intuition, notre Entendement Intérieur, de rester le plus possible centrés en nos cœurs, qui est le siège de l’Amour-Sagesse christique en nous.

Il est temps pour nous tous de mettre en pratique de façon consciente et constante le suprême commandement de notre Christ créateur : « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. » (Jean 13/34).

Et de ne pas oublier, comme nous le rappelle Piotr Phénix, qu’une seule action et un seul acte, non dominés par le verbe « aimer », sont d’avance voués à l’échec, à la douleur et à la souffrance.

Lettre n°3 – Causes occultes éthériques de la maladie

Santé et Beauté

Lettre n°3

Lettre n°3

aux étudiants

Causes occultes éthériques de la maladie

Extrait tiré du livre « ALCHIMIE DE LA GUÉRISON » – Tome 1 (de la page 189 à 205)

II. INTRODUCTION GÉNÉRALE

Mon intention est de vous entretenir au sujet des causes éthériques de la maladie et des moyens ou solutions qu’il convient de mettre en place pour les résoudre. En vous parlant des causes éthériques de la maladie, obligatoirement je dois aborder le problème des chakras, donc révéler tout ce qui est en rapport avec ces structures subtiles qui interviennent dans le fonctionnement de notre économie chimique.

J’ai eu l’occasion de vous dire que les chakras, au niveau éthérique, sont ce que les hormones et les centres nerveux sont au corps physique. Les 7 centres hormonaux principaux sont la matérialisation et la conséquence normale de l’activité des 7 chakras.

Permettez-moi de vous rappeler trois points essentiels que vous devez constamment avoir présents à votre esprit :

Premier point : Toute maladie, de quelque nature qu’elle soit, est en finalité une crise d’évolution de l’Âme ou de la Conscience vivante qui se traduit par un désaccord ou un déséquilibre des énergies dans les structures des trois aspects de la forme composant la personnalité humaine.

La maladie apparaît donc sur le plan occulte comme une tentative de la Nature de redresser, corriger ou ajuster les énergies de la forme humaine, même si celle-ci doit aboutir à la mort. La mort est un phénomène relatif, c’est l’autre face de la vie. La mort est la séparation qui apportera finalement le grand rééquilibrage de notre Conscience.

Dans ce dernier cas, la mort libère l’Ego d’une forme dans laquelle il ne peut plus continuer à s’exprimer. La mort permet à l’Ego de retrouver le sens de son équilibre, c’est-à-dire la santé, en retrouvant son plan d’origine, à savoir le plan causal.

Or, rappelez-vous, lorsque nous abandonnons la série des trois corps, notre temps de vie terrestre est relativement bref (60 à 80 ans est le temps moyen aujourd’hui assigné à la race humaine), nous passons 1/3 de ce temps en astral ; donc la vie terrestre et la vie en astral, cela fait un siècle environ. Entre deux incarnations, il y a un laps de temps moyen de mille ans ; où passons-nous le reste de notre existence ? Eh bien, nous passons quelques “vacances” sur le plan mental, puis quand nous avons fini de travailler sur le plan mental, nous nous retrouvons sur le plan causal.

Nous passons donc 9 à 10 fois plus de temps de l’autre côté qu’ici-bas. La mort est une vieille amie, c’est quelqu’un de très connu. Personne n’a le sentiment qu’il va un jour mourir ; personne ne s’imagine que demain il ne sera plus de ce monde, parce que ce sentiment n’est pas naturellement inscrit en nous, parce que la mort n’est pas une réalité de la Nature. Car la mort n’est simplement qu’une phase de la vie, ce n’est qu’un changement d’état.

Ce changement d’état, nous ne le comprenons bien que dans la mesure où nous savons comment fonctionne la triple nature de notre personnalité, et que la personnalité n’est qu’un vêtement et rien d’autre. A la mort, nous abandonnons ce vêtement.

Second point : Parler des causes éthériques de la maladie revient à traiter des conditions et de la nature de l’équilibre du corps éthérique et de l’ensemble de ses centres de force appelés “chakras”. Rappelons que le corps éthérique ou vital constitue énergétiquement le moule vivant du corps physique chimique. Le corps éthérique est donc une forme physique subtile, indissociable normalement de la forme chimique humaine.

Troisième point : il nous faut ici savoir trois choses :

1. Les centres de force du corps éthérique (les chakras) sont des relais entre le véhicule physique dense et toute la série des véhicules supérieurs plus subtils, à savoir le corps astral, le corps mental, le corps causal. Quant aux Disciples avancés et aux Initiés, les chakras de la personnalité permettent de mettre en contact leur conscience terrestre émotionnelle avec la conscience spirituelle. A tous les niveaux, les chakras sont des relais entre le haut et le bas ; ce sont des portes d’entrée et de sortie de l’énergie et de la conscience.

2. Les centres de force reçoivent et communiquent les impressions imprimées sur le corps éthérique par les énergies matérielles et spirituelles, c’est-à-dire que les chakras sont impressionnés par la vie de l’homme dans la matière, mais ils sont aussi impressionnés par la vie émotionnelle, mentale et spirituelle de l’homme. Ceci vous permet déjà de situer tout ce qui agit au niveau des chakras.

Ainsi, les chakras éthériques ont leur homologue sur les plans supérieurs. C’est ce qui explique l’interaction des véhicules physique, astral et mental entre eux d’une part, et d’autre part l’influence de l’Âme, du corps causal, et des véhicules spirituels exaltés (le corps bouddhique et le corps atmique) sur le corps physique dense en particulier et la triple personnalité en général.

Vous avez là, dans toutes ces relations, la clef de tout ce qu’il faut savoir pour traiter les causes de toutes les maladies, mais aussi pour posséder les moyens d’évoluer et d’épanouir notre véritable nature ; par-là, nous avons la clef de notre épanouissement spirituel.

Guérir au fond, ce n’est rien d’autre que se réajuster à notre véritable mode d’évolution. C’est parce que nous ne suivons pas le chemin que nous aurions dû suivre depuis toujours que, ayant failli, les troubles et les déséquilibres s’installent.

3. Le corps éthérique, par toutes les caractéristiques de son activité au niveau de ses centres de force et de ses lignes de force énergétique (les nadis, les méridiens), reflète les états de conscience de l’ensemble de la personnalité humaine et marque le degré de lucidité ou d’évolution de l’Âme incarnée. Plus simplement, l’examen de l’état du corps éthérique nous permet de définir le degré d’évolution d’une individualité incarnée.

Le corps éthérique et ses centres sont ce qui relie l’homme physique mortel et l’homme spirituel immortel et éternel. Ce complexe corps éthérique-chakras constitue un véritable émetteur-récepteur d’énergie et de force mettant télépathiquement l’homme spirituel incarné en relation avec toutes les forces de vie du Cosmos.

Dans la mesure où les mécanismes télépathiques ne s’exercent pas à pleine puissance des possibilités des chakras du corps éthérique, l’Âme humaine ne parvient pas à impressionner la matière chimique ou supra-physique.

Les chakras ne fonctionnent pas en dehors de l’activité de l’Âme. Ce n’est pas par des moyens extérieurs que nous parviendrons à amener une modification interne des chakras. Nous pouvons modifier tant soit peu une aura, un champ de radiations, mais nous ne toucherons jamais le cœur du chakra. Il ne faut pas rêver sur tout ce qui se dit à propos des minéraux, des plantes, etc., qui influenceraient le corps de l’extérieur ; toute influence vient de l’intérieur.

Les minéraux, les cristaux, les couleurs, les sons, etc., peuvent être des catalyseurs de l’énergie de l’Âme, mais par eux-mêmes, ils n’agissent pas. Ils peuvent modifier un champ extérieur, mais ils n’amènent pas de modifications internes sauf s’ils deviennent de véritables catalyseurs de l’énergie de l’Âme ; mais savoir utiliser ces forces élémentales qui transitent à travers les formes végétales et cristallines, comme vecteurs de forces, comme concentrateurs, focalisateurs d’énergie est une autre affaire.

Il est important de savoir que l’Âme humaine, porte dans son atome germe permanent causal, tout le programme de son devenir divin. Les informations de ce programme spirituel parviennent à la conscience incarnée sous la forme de stimuli ou d’impulsions télépathiques. Lorsque les informations de ce programme divin parviennent à trouver une issue, d’abord dans les chakras et ensuite seulement dans le cerveau physique, en contrôlant le système hormonal tout entier, les impulsions télépathiques du corps causal prennent forme et substance ; à travers le jeu des chakras, les impulsions télépathiques de l’Âme traduisent par ce moyen toutes les caractéristiques de l’Harmonie divine. C’est tout le Plan divin qui cherche à s’exprimer à travers nous.

Les causes du mal, dès lors, ne peuvent plus affecter la forme humaine. Lorsque l’homme devient réellement le véhicule de l’Harmonie, et qu’il réalise toutes les conditions nécessaires à cette expression sans aucune entrave, le mal ne peut plus être. Il va sans dire que le devenir spirituel de l’homme est étroitement lié à celui de la planète et du Cosmos tout entier.

Cela signifie que les chakras sont entièrement reliés fonctionnellement aux centres planétaires. Mais à propos des centres planétaires, il ne sera rien dit. On verra de quelle façon l’énergie solaire sera captée par le centre de la rate. Nous captons cette énergie par le centre de la “rate” de notre planète. Il y a dans notre planète, un lieu géographique comparable à notre rate physique, et ce centre capte le Prâna, la force de vie solaire. C’est en passant d’abord par le centre Swadhisthana terrestre que cette énergie vitalisera finalement notre propre centre sous-ombilical. De là, l’énergie sera répartie dans l’ensemble de notre organisme pour assurer soit les fonctions de la vie terrestre, soit le fonctionnement de notre corps astral, soit pour permettre à nos pensées de s’exprimer et de trouver un substrat physique d’expression.

Nous puisons toute l’énergie à travers le Soleil qui distribue son énergie à la Terre qui nous la retransmet par le système de nos chakras.

Ce même chakra sous-ombilical apporte la part d’énergie nécessaire physique et éthérique pour assurer le fonctionnement des autres chakras. L’homme ne peut réaliser individuellement que ce qui est inscrit et prévu dans le Plan et le programme collectif assigné à toute la collectivité planétaire. L’homme seul n’est rien. Il répond à des impacts et à des influx d’énergie de type collectif.

Toute volonté personnelle qui se trouverait en désaccord avec ce Plan collectif est de nature à engendrer intérieurement un conflit psychique, une bataille psychologique réelle qui finit par créer les causes de la maladie.

On n’a pas beaucoup songé, et la médecine ne semble pas s’être tellement préoccupée d’essayer de comprendre comment finalement la vie de l’homme en société est responsable de bien des maladies, de bien des conflits. C’est que nous ne sommes pas seuls. Nous sommes des groupes qui progressons collectivement. Les contacts et les rapports des hommes étant différents, il naît là des tensions qui amènent des divergences d’énergie entraînant soit pléthore, soit carence, donc déséquilibre dans la forme.

Puisqu’il existe 7 chakras, 7 centres de force principaux, c’est que l’homme est appelé à travailler avec 7 types d’énergie. Chaque type de force est en relation avec un attribut de la Divinité, avec une qualité morale à laquelle correspond un vice. Le vice n’est rien d’autre qu’un état non réalisé de la Divinité. C’est la perception d’une force qui n’est pas exprimée selon la ligne d’action prévue pour elle.

Les 7 énergies avec lesquelles l’homme est appelé à travailler sont bien entendu d’origine divine et traduisent les 7 attributs ou caractéristiques de la Divinité prenant forme et substance dans la nature humaine.

C’est dire que le progrès de l’homme et son aptitude à ne plus engendrer les causes de la maladie ou à effacer les facteurs de troubles énergétiques dépendent de la formation de son caractère et du service pour l’humanité.

Il faudra beaucoup insister sur l’idée de formation du caractère, mais ce sera pour la partie réservée aux causes psychiques et psychologiques de la maladie.

Il y a une lacune profonde dans le programme d’éducation du monde ; c’est qu’on enseigne à l’enfant beaucoup de choses qui peuvent être utiles à la vie en société dans une mesure très limitée, mais on ne lui enseigne pas les véritables clefs de la formation et de la structuration de la personnalité et du tempérament.

Chacun doit forger son propre caractère et son propre tempérament au contact des expériences et des épreuves de la vie. Si nous apprenions à mieux connaître les fonctionnements des chakras et le type de forces passant à travers ces chakras, nous serions plus à même de comprendre à quoi correspondent les différents types de caractères. Car, indubitablement, si nous avions à classifier l’humanité, nous serions amenés à reconnaître 7 grands types de caractères ; et selon la période de l’histoire, nous notons la présence de trois ou quatre types de caractères (parfois moins) ; certains types peuvent devenir rarissimes et sont représentés par une toute petite catégorie d’êtres humains.

Ce serait intéressant de savoir à quoi tout cela correspond, car cela nous permettrait d’agir selon le Rayon de vie auquel nous sommes affiliés et nous pourrions alors accomplir le devoir qu’assigne notre caractère, c’est-à-dire le type de force avec lequel nous sommes amenés dès l’origine à travailler.

C’est ainsi que, peu à peu, par la voie de l’Initiation progressive, l’homme s’approprie et travaille avec les 7 types d’énergie essentielle qui ont créé les 7 chakras majeurs, ces 7 chakras qui, eux-mêmes, conditionnent les 21 chakras mineurs et les nombreux centres subsidiaires plus petits, bien connus des acupuncteurs chinois ; ces points sont tous dépendants des 7 chakras majeurs.

Mais aucune technique d’acupuncture ne permet de toucher à ces 7 chakras. Voilà pourquoi ils n’en parlent pas, parce qu’ils ne peuvent pas les contrôler. Ce sont des centres qui ne se contrôlent que de l’intérieur.

Ceci m’amène à vous révéler le pouvoir qu’exercent les vertus spirituelles sur les centres de force. Ce n’est pas la simple concentration de pensée ou la méditation seule sur un chakra donné qui favorise le développement et l’épanouissement de ses qualités, de ses facultés ou de ses possibilités d’expression.

La concentration et la méditation n’ont un pouvoir créateur sur les centres de force que lorsqu’elles s’exercent avec une pensée soutenue par les vertus spirituelles que l’on cherche à exprimer quotidiennement. C’est en ce sens que je vous indiquerai une technique de concentration et de méditation pour travailler les chakras et développer leurs activités spirituelles. Il s’agit ici de développer les 7 vertus spirituelles qui s’opposent aux 7 péchés capitaux.

Les 7 vertus spirituelles ont une puissante incidence sur l’activité des chakras. L’exercice de ces 7 vertus et leur développement dans l’Âme humaine sont de nature à supprimer les causes éthériques de la maladie. Chaque vertu ébranle une glande et un organe, et elle développe une vertu morale qui, si elle n’est pas exprimée, se traduit par le vice correspondant (voir tableau).

Si l’exercice des 7 vertus théologales et morales est de nature à supprimer les causes éthériques de la maladie, nous pouvons tout aussi bien affirmer que la pratique des 7 péchés capitaux et des 7 vices est de nature à engendrer les causes éthériques de la maladie. En examinant ces centres de force, vous comprendrez beaucoup mieux pourquoi les vertus et les vices sont vraiment des forces puissantes pour activer ou pour inhiber le système hormonal.

 

A.      LES 7 VERTUS THÉOLOGALES

LES 7 QUALITÉ MORALES

LES 7 VICES ou PÊCHÉS CAPITAUX

LEUR INFLUENCE SUR LES CHAKRAS

Tout thérapeute aurait intérêt à s’examiner très attentivement pour bien reconnaître comment tout cela fonctionne en lui, parce que lui aussi va évoluer et progresser ; ensuite, cela serait intéressant de voir comment les malades fonctionnent, en essayant de repérer les blocages au niveau des centres de force.

On est sûr qu’il existe toujours un problème au niveau d’une qualité ou d’un vice. On peut détecter les qualités qui peuvent être présentes ou celles qui ne demandent qu’à s’exprimer (qui se traduisent en général par la présence de vices) ; pour cela, il faut approfondir l’histoire du malade parce que personne ne s’imagine pouvoir manifester de l’orgueil, de la paresse, de l’avarice, de la colère, de la jalousie, de la luxure ou de la gourmandise.

Ce sont des défauts qu’on ne se plaît pas trop à reconnaître en soi, et pourtant… Pour pouvoir avancer et progresser, le premier pas à faire est de reconnaître et d’accepter ce qui est en soi, en commençant par admettre les états déplorables de notre caractère. A partir de là, on peut faire un effort pour se modifier et essayer d’acquérir les qualités et les vertus correspondantes.

Je vous avais dit (voir livre « Causes occultes physiques de la maladie ») que le thymus est une glande hormonale présentant quelques inconnues pour la science. On sait qu’elle fonctionne chez l’enfant puis qu’elle s’atrophie. Pourquoi ? C’est une glande importante pour assurer les fonctions immunitaires de l’organisme (qui joue un grand rôle dans les problèmes de Sida). Le thymus retrouvera son fonctionnement normal au fur et à mesure que l’homme sera capable de transcender son état de désir et de le transformer en une force d’Amour rayonnante, faisant vibrer non pas le Manipura-chakra, mais le centre du cœur.

A ce moment-là, l’homme manifestera le véritable sentiment de la Justice, accompagné des qualités correspondantes (Charité et Fraternité) ; dès lors, ce centre fonctionnera normalement. C’est dire que ce n’est pas pour demain. Il y a d’ailleurs une mise en fonction de cet organe chez certaines personnes, et cela s’accompagne de troubles d’adaptation de la personnalité, car les ajustements doivent se faire dans le temps, d’un point de vue racial, global.

N’oublions pas que nous avons nos antécédents, ce sont nos parents, nos géniteurs. C’est donc toute la race qui doit être modifiée dans ses composantes chimiques, biologiques, de façon qu’une formule de fonctionnement soit instaurée, et que les nouveaux enfants paraissent avec un organe qui fonctionne normalement. Sinon, il n’y a qu’une chose à faire : par l’ascèse, réajuster ses énergies et modifier son caractère.

On n’évitera pas totalement les troubles de la personnalité, mais on réglera au fur et à mesure les crises qui surgiront. C’est vous dire à quel point est difficile la vie des Disciples du monde qui suivent une voie initiatique, car ils sont confrontés à des ajustements de l’énergie à différentes étapes de leur parcours.

Ce premier travail d’ajustement est la phase la plus ingrate de l’épanouissement spirituel ; car, avant même d’avoir à travailler avec les centres de force et de bénéficier des avantages qu’offre un fonctionnement normal des centres par un travail de méditation permettant d’acquérir et de développer une connaissance de soi et du monde, on est confronté à des problèmes plus prosaïques, plus matériels, plus psychologiques, plus psychiques, mais on ne peut pas faire autrement. Il faut accepter de passer par là.

Le prix de la connaissance et de la sagesse passe par ce réajustement des énergies et de la forme. Même si cette forme est mortelle, notre cerveau, pour capter les impulsions de la pensée et les aspirations de l’Âme, doit se trouver dans un état normal. Bien entendu, lorsque l’Âme est désincarnée et se retrouve sur son propre plan, notre forme physique ne nous sert à rien. Mais pendant que l’Ego est incarné dans la forme, nous avons intérêt à faire en sorte que cette forme soit parfaitement adaptée aux vibrations de l’Âme. Il nous faut donc faire en sorte que les atomes et nos particules atomiques vibrent à la fréquence de l’Âme.

Des problèmes de diabète proviennent du dysfonctionnement de l’énergie au niveau du Manipura-chakra. On sait à quel point les états de colère psychologique ou psychique, les états de tension, de stress dans lesquels nous met la société aujourd’hui, sont responsables de bien des problèmes au niveau des reins, du pancréas et de l’estomac (maladies du siècle).

Le Muladhara-chakra, comme se l’imaginent certains, n’est pas le centre de la sexualité. Il est le support-racine.

Les vices et les vertus sont à la base des causes physiques de la maladie, car ils sont également les facteurs éthériques de la maladie. C’est là une vérité des plus scientifiques qui soit. On peut l’observer très facilement, et on aurait intérêt à s’observer soi-même parce que ce sont des signes que l’on reconnaît facilement en soi et autour de soi parmi les amis.

Un thérapeute a tout intérêt à bien connaître la psychologie de ses patients, car c’est le seul moyen par lequel il peut développer un système, une connaissance des critères lui permettant de dépister des éléments psychologiques simples ; ensuite il doit essayer d’analyser ce qui ne va pas sur le plan de la forme.

Il peut alors établir une relation de cause à effet pour essayer de mieux comprendre ce qui ne va pas au niveau de l’Âme, et c’est là qu’il faut apporter l’ajustement, car les substituts vont peut-être régler le problème, ils aideront peut-être à estomper, à atténuer, mais si nous n’apportons pas les modifications nécessaires au niveau de l’Âme (ce n’est pas une modification qui peut se faire en l’espace de quelques jours, c’est souvent une affaire de mois ou d’années), les ajustements nécessaires ne seront pas réalisés.

De nouveau, nous avons l’ascèse : c’est une affaire d’évolution, de progression, de transformation du caractère.

Comment modifier le caractère ? Il y a là d’autres techniques de travail ; on peut laisser tomber toute concentration sur les chakras et travailler essentiellement avec la pensée de manière très positive, de façon à chasser les états que nous ne souhaitons pas et à installer d’autres types de vibrations.

Il est prévu pour cela d’utiliser des mantrams et le pouvoir de la suggestion. Il y a plusieurs façons d’utiliser le mantram : ce n’est pas toujours par la psalmodie, par le chant ; on peut aussi l’énoncer, utilisant le pouvoir-force des mots, mais non pas en le prononçant une fois ; il faut apprendre l’art de vitaliser la puissance du verbe.

Comment peut-on le vitaliser ? Par la répétition et par la concentration. Là, oui, on utilise le pouvoir du Yogi (concentration et méditation) qui permet de centrer l’énergie en un point donné et d’amener ensuite la matérialisation. N’oubliez pas que le verbe, une fois qu’il est énoncé matériellement, est déjà la matérialisation d’une force mentale ou émotionnelle.

Il nous faut donc réfléchir avant d’énoncer le verbe ; il nous faut établir un plan intérieur avant de l’exprimer et de le lancer à l’aventure du monde. En fait, il ne faut jamais parler de choses vides. Il ne faut parler que dans la mesure où le verbe est réellement l’expression de la pensée.

Lorsqu’on énonce, on réalise. Heureusement que nous n’avons pas ce pouvoir de concentration car, à ce moment-là, chaque fois que nous disons une parole négative, nous engendrerions des dégâts extrêmement importants. Heureusement que souvent les paroles n’ont pas la puissance apportée par la force de pensée.

Néanmoins, à force de répéter certaines paroles, il y a quand même un état négatif engendré. C’est que la parole est franchement l’expression d’un état négatif bien installé et qui opère une destruction une fois qu’elle est énoncée ; il faut apprendre à s’en protéger.

Il faut d’abord éviter soi-même de prononcer des paroles qui ne vont pas dans le sens de la Loi, et si jamais cela arrive parce que la vie n’est pas facile et que la nature humaine répond à des stimuli matériels, souvent, avant d’atteindre autrui, ces paroles nous atteignent nous-mêmes en raison de la loi de causalité qui fait que tout ce que nous énonçons nous revient finalement. La loi du karma s’applique selon une trajectoire circulaire : tout ce que nous émettons nous revient.

Les causes engendrées il y a très longtemps ne sont pas perdues, elles reviennent toujours vers celui qui les a émises.

Les vices et les vertus sont aussi à la base des causes astrales et mentales de la maladie. C’est pourquoi il nous faudra prêter l’oreille la plus attentive au fait que nous nous trouvons là en présence de causes majeures de dysfonctionnement de l’énergie vitale. Ces causes majeures cachent les causes subsidiaires de la maladie éthérique.

Il doit donc être parfaitement clair pour tous que le corps éthérique (Prana-maya-kosha), corps véhiculant l’énergie de Prâna, la vitalité solaire, se compose de tissus énergétiques (qui, quoique subtils, sont parfaitement physiques), d’un système complexe d’émetteurs-récepteurs de l’énergie (appelés centres de forces ou chakras) et de tout un réseau complexifié de voies de circulation de cette énergie (ce sont les nadis ou méridiens).

Nous verrons que le Yogi travaille avec trois canaux principaux : un canal central s’identifiant à la colonne vertébrale, j’entends par là le canal subtil éthérique qui porte le nom de Sushumna-nadi ; les canaux de droite et de gauche sont Ida et Pingala-nadi.

Pingala-nadi véhicule une énergie positive, Ida-nadi une énergie négative ; la Sushumna-nadi ne fonctionne pas chez l’être humain actuellement, elle ne fonctionne que chez les Disciples et les Initiés. Tout le travail consistera justement à faire en sorte que les énergies positives et négatives soient concentrées à la base de la colonne vertébrale pour circuler en une énergie unifiée le long de la Sushumna-nadi.

Nous verrons à quoi cela correspond, car le fonctionnement de la conscience sera totalement différent. L’homme doit apprendre à établir des relations de conscience avec les plans supérieurs et avec sa propre Âme en cessant de passer par la voie du mental et par la voie de l’émotion, c’est-à­dire en cessant d’utiliser son corps astral et son corps mental.

Or, que fais-je en ce moment ? J’utilise le corps mental pour essayer d’exprimer des idées et des pensées. Et tout en utilisant le corps mental, j’utilise un autre corps, le corps causal. En fait, vous percevez les choses mentalement mais essayez de percevoir ce qui est dit d’un point de vue essentiellement causal ; essayez de percevoir l’idée derrière le mot, de ne percevoir les choses ni par la voie de l’émotion (en disant “j’aime – je n’aime pas”), ni par la voie du mental (le mental interprète ce que vous percevez par votre oreille), mais percevez les choses comme elles sont, là où elles sont, comme si vous étiez depuis toujours doués de la faculté de perception télépathique ; le mot exprimé en l’occurrence n’est que le vêtement de l’idée que je veux faire passer de causal à causal.

Toutes les structurations vitales ou éthériques sont évidemment sensibles aux facteurs d’influence chimiques, électriques, magnétiques, “ondulaires” (ondes de forme), psychiques, psychologiques et bien entendu spirituels.

Nous verrons comment une énergie peut être transformée en une autre énergie, que la matière est énergie, que l’esprit est énergie, que l’émotion est énergie, que la pensée est énergie, qu’une aspiration, une qualité, un vice sont des énergies qui ont leur polarité, et qu’une énergie peut être transformée en une autre, et comment finalement une énergie de pur type spirituel, de pur type causal, pourra se transformer en une énergie mentale qui, à son tour, se transformera en une énergie émotionnelle, celle-ci se transformant en une énergie électromagnétique qui finalement aura un impact et déterminera des états de température et de chaleur au plan corpusculaire, au plan atomique.

A partir de là, commence la mutation alchimique. C’est là que fonctionnent les hormones, c’est là que des processus essentiellement chimiques sont déterminés par des processus non chimiques.

Mais l’inverse est vrai aussi, c’est-à-dire qu’une activité, un mécanisme essentiellement physique peuvent être transformés en une énergie électromagnétique qui, à son tour, peut être transformée en une énergie émotionnelle, mentale, spirituelle. Cela va dans les deux sens. La cinétique peut être transformée en une énergie supérieure.

Quand on a bien saisi cela, on sait qu’on travaille de l’intérieur dans le cœur du chakra, et qu’émotion et pensée sont des forces terribles que l’on peut utiliser pour construire aussi bien que pour détruire. Nous percevons bien la destruction dans la vie de tous les jours, parce que l’on sait quels sont les dégâts opérés par nos émotions.

L’émotion bloque le Manipura-chakra. Une émotion, un traumatisme psychologique ou psychique, peuvent faire grisonner en quelques heures un individu. Un traumatisme psychologique ou psychique peut se somatiser en un mal physique puis être transposé. Une maladie connue dans l’enfance peut d’abord s’exprimer par un simple furoncle, un eczéma puis, si la somatisation se poursuit, si le problème n’a pas été résolu et que le dysfonctionnement s’étend au niveau astral puis mental, cela se traduira par de l’asthme qui sera ensuite transformé en dépression qui peut carrément aboutir à la folie.

C’est étonnant comment les choses fonctionnent d’un niveau à un autre niveau. On n’a pas affaire à des maladies imaginaires. Quand un thérapeute est en contact avec quelqu’un qui dit “j’ai mal, j’ai mal”, que les analyses et les examens ne trouvent rien, c’est qu’il a vraiment mal quelque part. Un déprimé affirmant qu’il a mal au cœur ou à la tête, n’est peut-être pas malade dans l’organe, mais une puissance présente fait que l’organe souffre ; un état de conflit est installé.

Quand on dit que l’on est bien dans sa peau, c’est parce qu’un état d’équilibre se fait au niveau du mental. Tout est dans tout. L’Âme est incarnée dans une mécanique, dans une structure complexe qui vibre aux moindres variations de l’émotion, de la pensée et de l’Âme.

En un mot, nos habitudes et nos états d’Âme qui reflètent notre degré d’évolution intérieure véritable sont de nature à perturber, à détruire ou à modifier, dans un sens heureux ou malheureux, les structures énergétiques de notre équipement vital.

Par ailleurs, les 4 types de karma (physique, astral, mental, collectif) que nous drainons avec nous, vie après vie, incarnation après incarnation, sont également de nature à imposer à notre corps énergétique des conditions vitales dont les causes, favorables ou défavorables, sont les résultats globaux acquis dans nos vies successives.

Ce qui fait que, même si nous avons la volonté de nous améliorer au cours d’une vie, il nous faudra tenir compte de l’importance et de la puissance du karma que nous avons engendré. Cela veut dire que tous les problèmes ne trouveront pas nécessairement leur résolution totale au cours d’une vie.

Pour accepter cela, il faut que l’individu soit amené petit à petit à accepter un état de limitation. Nous traînons avec nous des handicaps, et il y a des handicaps qui, nous le savons, ne seront pas guéris comme cela. Il nous faudra le temps. On pourra résoudre quelques problèmes, faire sauter quelques obstacles, libérer l’homme davantage du handicap.

Mais le handicap total, s’il est réellement le résultat d’un karma puissant présent et voulu pour permettre à l’individualité d’apprendre une leçon qu’elle n’apprendrait pas en d’autres conditions, est un bienfait qui l’amènera à avancer et progresser. Encore une fois, il faut développer en soi l’aptitude au discernement.


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Lettre n°1 – Yoga et Initiation

Yoga et Initiation

Lettre n°1

Lettre n°1

aux étudiants

Quel est le destin et l’évolution de l’homme dans l’univers ?

Si l’histoire ne va nulle part et n’a pas de sens, la vie n’a ni but ni signification. Pouvons-nous, de nous seuls, donner un sens à notre destin en l’orientant par nos choix, sans prendre en compte un éventuel dessein de la nature ou de la Providence Divine ?

Le destin et l’évolution de l’homme dans l’univers me paraissent indissolublement liés. Je n’adhère donc pas à la pensée de Raymond Aron qui, dans « Dimensions de la conscience historique », affirme : « Il n’est pas nécessaire qu’une Providence placée au-dessus de la mêlée, oriente l’histoire ». Notre Destin évolutif possède au contraire un sens parce que – précisément – une Providence qu’incarnent les « dieux démiurgiques » de la création universelle se tient au-dessus de la mêlée et oriente l’histoire non seulement de l’humanité (le règne humain), mais encore tous les autres règnes (minéraux, végétaux et animaux).

Il n’y a pas d’histoire sans hommes qui agissent en poursuivant des buts conscients. Pourquoi les hommes éprouveraient-ils le besoin impérieux de s’engager si quelque chose en eux ne transcendait pas leur nature matérielle ? Si je veux que ma vie ait un sens, je dois admettre que l’histoire dans laquelle elle s’inscrit en a un. Ce n’est pas nous, notre seul Moi animal, qui donnons un sens à l’histoire. L’histoire de l’humanité n’est pas celle d’une errance absurde et ce n’est pas l’homme qui lui donne un sens, mais bien les « dieux démiurgiques »(1) qui orientent le sens de cette aventure.

(1) – dieux qui créent les mondes et ses êtres.

Le désordre de l’histoire n’est qu’apparent. Si le destin de l’homme parait absurde, c’est l’ignorance du mental qui le considère comme tel. La diversité des événements particuliers donne au contraire l’impression qu’un ordre, qui échappe à la conscience mentale ignorante, gouverne toute l’histoire de la création. On peut découvrir d’ailleurs l’existence d’une loi générale gouvernant le genre humain. Il faut que l’histoire ait un sens, sinon nous serions obligés d’admettre que notre existence individuelle est absurde.

J’appelle Pouvoir Divin cet Être Suprême qui, à travers ses « dieux démiurgiques », oriente l’histoire non seulement de l’humanité, mais de toutes les humanités de l’ordre universel, car il est évident qu’au regard de l’entendement occulte, notre humanité n’est pas seule au milieu de ce miraculeux firmament.

Le divin se meut dans le champ immense de ce firmament et modifie chaque trame des multiples évolutions existentielles séparément et de nombreuses manières. Je dis cela en paraphrasant un verset du Shvetâsha Tara Upanisha (5 : 3/5) qui précise : « Unique, il préside à toutes les matrices et à toutes les natures ; lui-même est la matrice de tout, il est cela qui fait mûrir la nature de l’être et il donne à tous ceux qui doivent être mûris les résultats de leur développement, il affecte à leurs œuvres toutes leurs qualités ».

Ainsi, toute la tonique du destin de l’humanité est essentiellement une évolution spirituelle, une évolution de la conscience dans la matière dense physique, jusqu’à ce que la forme révèle l’esprit qui demeure au-dedans. Au début, cette signification est cachée par l’involution de l’Esprit, de la Monade, qui est la Divine Réalité personnalisée du Père absolu, dans une inconscience matérielle dense(2).

(2) – La Monade humaine (ou l’âme) est la projection de la Monade divine, elle-même projection parfaite du Père Absolu, en l’être humain, qui l’accompagne durant son pèlerinage terrestre, de vie en vie, pour un jour, peut-être, fusionnée à nouveau avec elle, au terme des initiations prises.

Plus exactement, la Monade a involué l’ombre d’elle-même dans la matière dense et ignorante et l’a fait évoluer successivement dans les règnes d’abord minéraux, puis végétaux et enfin animaux avant d’acquérir par le pouvoir des « dieux démiurges », des « Elohims » de la kabbale juive, le statut humain d’évolution.

C’est pourquoi, plongées dans la matérialité mortelle, les monades humaines (ombres des Monades divines) ne peuvent être transformées par un acte mystérieux de magie créative des « démiurges » en des « esprits perfectionnés ».

Si les Elohims avaient désiré produire des êtres parfaits, ils n’auraient pas plongé les Monades humaines au sein de la matière changeante en les faisant évoluer d’étape en étape par les jalons minéraux, végétaux et animaux ; ils auraient fait des hommes, des créatures directement et originellement parfaites. Mais ce ne fut pas le cas.

Quand les créatures démiurgiques, sous la direction du Fils Créateur Christique, désirent produire des êtres parfaits, ils le font par une création directe et originelle, mais ils n’entreprennent jamais de convertir en une seule étape des créatures matérielles d’origine animale en êtres de perfection.

Les croyances catholiques en la résurrection de la chair, qui imaginent que la mort a une vertu magique de transformation du mortel en immortel, sont des croyances hérétiques fondées sur des superstitions erronées et des fables plaisantes.

La mort ou la désincarnation de l’Ego n’a pas le pouvoir de transformer instantanément la pensée humaine et matérielle en un esprit immortel et perfectionné. Les âmes doivent se spiritualiser au fil des réincarnations pour s’éveiller toujours plus et atteindre, un jour, au stade d’éveil résurrectionnel.

En fait, la carrière résurrectionnelle commence là où finit le destin des êtres mortels réincarnés. Dans la vie incarnée dans les trois mondes inférieurs constitués de matière lourde, les monades humaines sont logées dans des formes de matière qui paraissent complètement inconscientes.

Cette inconscience toute psychique était totale à l’époque Atlantéenne. Avec l’émergence des races aryennes,(3) cette inconscience des monades évolua progressivement sous l’apparence d’une matière mentale vivante dont le processus actuellement est en pleine expansion et est loin d’être achevé.

(3) – La race aryenne n’est pas une distinction entre les diverses couleurs de peau, mais un niveau de développement du corps mental objectif, analytique.

Ce ne sera qu’au cours de la prochaine et sixième grande époque raciale, celle de la sixième race, qui sera unique, que l’on verra globalement l’homme mental évoluer vers la supra-conscience causale, qui correspondra à l’émergence d’une surhumanité spirituelle. Tous les êtres humains ne parviendront pas à obtenir ce statut, seuls s’incarneront dans cette race infiniment plus évoluée les Egos qui, actuellement, engagent leur vie sur le sentier de l’Aspirant et du Discipulat(4) actif.

(4) – Le discipulat représente trois stades distincts, à savoir celui du disciple probationnaire, du disciple appelé, puis accepté et initié.

Dans l’état actuel d’évolution, l’homme mental est entravé par ses défauts raciaux et doit encore évoluer par lui-même pour devenir pleinement conscient sur le plan causal spirituel. D’une façon générale, on peut dire que le jeu évolutif terrestre de la nature, allant du physique dense au causal spirituel, s’effectue selon un double processus :

  • Celui d’un processus externe visible d’évolution physique qui a pour mécanisme la naissance, le développement de la conscience dans la forme triple et la mort.
  • Celui d’un processus interne invisible d’évolution de l’âme qui a pour mécanisme la renaissance ou la désincarnation de l’Ego en des degrés ascendants post-mortem de forme et de conscience.

En soi, le premier processus n’est qu’une évolution cosmique ordinaire qui se prolonge dans l’hérédité des formes raciales périssables ; tandis que le second processus constitue une évolution cosmique extraordinaire qui se prolonge dans l’élaboration causale progressive du corps de résurrection.(5)

(5) – Corps élaboré à partir du corps causal transmuté par le travail intérieur initiatique.

Les renaissances successives dans ce monde et dans l’au-delà sont une condition indispensable à l’immortalité de la monade humaine, à son évolution dans l’existence terrestre. Ces processus de la réincarnation et de la renaissance peuvent être mis en doute par le mental humain, car celui-ci est encore dans l’état d’ignorance matérielle et n’a pas encore été éveillé à la vie spirituelle de l’âme causale. On peut douter que l’homme, par le processus de l’évolution, puisse se transformer en un être supérieur sur l’échelle ascensionnelle.

L’homme mental subjectif, surhumain, ne peut pas apparaitre tant que l’homme psychique ne s’est pas défait de son Esprit Racial, qui le maintient dans l’ignorance de la vérité supramentale en couvrant la monade humaine du voile de l’ignorance psychique.

Pour évoluer de la conscience mentale de la personnalité à la conscience causale de l’âme immortelle, il ne suffit pas seulement d’accepter l’idée de la réincarnation, d’admettre l’existence des sept degrés de la conscience ou d’accepter l’idée de l’éternité de la création. Il faut comprendre qu’en agissant ainsi, le Divin n’a qu’une seule intention : jouir du délice d’exister dans chaque forme de sa manifestation. Le jeu de l’involution et celui de l’évolution existent pour la joie de la création et de la manifestation.

Le destin de l’homme, dans le processus de la réincarnation, n’a pas d’autre but que de procurer de la joie au créateur suprême. La joie est le destin véritable de l’homme au sein de l’univers. La mort elle-même, qui est la face ignorée de la vie, est un facteur de joie et non de tristesse. Elle est un changement qui fait progresser l’être immortel vers une joie toujours plus transcendantale.

Dans son ascension vers l’état éternel, l’Âme connaîtra un certain nombre de changements qui surviendront au sein même de ses structures immortelles. Durant la vie terrestre de la monade humaine, de l’égo humain, la Monade divine l’habite presque comme un corps étranger, comme un envahissement de l’homme par l’esprit effusé du Père Universel.

Quand la monade humaine ou l’âme se stabilisera un instant pour s’unir définitivement à sa Monade divine créatrice, l’Esprit monadique du Père universel deviendra partie intégrante de notre personnalité ressuscitée. C’est ainsi que la monade humaine passera de l’état matériel à l’état spirituel de vie.

Paul fut informé de cet autre Destin éternel qui attend les âmes ressuscitées quand il écrivit dans ses Épitres aux Hébreux (11 :10) « Il (Abraham) attendait la cité aux fondements (éternels) dont Dieu est l’Architecte et le Maçon ».

Les sphères merveilleuses du plan causal sont une partie de l’âme, bien meilleure que la sphère terrestre (Hébreux 11 :16) où les Egos vivent comme en terre étrangère. L’Initié Paul parla de son accession au Troisième Ciel, le plan causal. Les autres cieux par lesquels l’âme passera au cours de son ascension résurrectionnelle sont :

  • Le plan cosmique intuitif ou bouddhique = 4ème
  • Le plan cosmique divin ou atmique = 5ème
  • Le plan cosmique nirvanique ou anapadaka = 6ème
  • Le plan cosmique monadique vierge ou adi = 7ème

Le premier ciel est constitué par le plan astral supérieur et le 2ème ciel par le plan mental objectif. La cosmogonie d’Urantia nomme « vie morontielle », la vie dans les 7 demeures ou les 7 maisons du Père Céleste ou de la Monade divine (fascicule 48). Le destin de l’Homme est de progresser en phase résurrectionnelle et en union avec sa monade divine du 3ème plan céleste au 7ème plan céleste (le plus élevé du Plan Cosmique Physique).

L’évolution spirituelle est le destin d’une monade humaine (Ego) qui, sous la poussée intérieure de la Monade Divine, et avec l’aide de certains Compagnons Célestes, va chercher à s’élever jusqu’au 7ème ciel. Le monde physique n’est que le tremplin par lequel aura lieu le déploiement spirituel de l’âme vers le 7ème ciel ou plan Adi de notre monde. Le mental n’est qu’un moyen terme de la conscience, un état de transition (le 2ème ciel) de la monade humaine vers le plan supra-mental qui est le 3ème ciel.

L’âme de l’homme est le pèlerin qui voyage du 1er ciel au 7ème ciel, du premier monde des maisons (le plan astral) au septième monde des maisons (le plan de Dieu ou plan Adi). Le Shvetashvatara Upanishad (1 : 6) avait connaissance de cette révélation quand il déclare : « L’âme de l’homme, cette voyageuse, erre en ce cycle de Brahman, immense, somme de vies, somme d’états, se pensant différente de l’ordonnateur du voyage, Acceptée par Lui, elle atteint son but d’immortalité ».

Voilà donc le message ou la révélation de l’Evangile : l’accession à ce royaume des cieux. Christ et tous les Maîtres de Sagesse nous apportent la certitude que ce monde, cet univers, n’est pas une masse aveugle et inexorable d’existences phénoménales se débattant de leur mieux dans leur orbite, au long de l’éternité. Le 7ème ciel, le royaume supérieur de Dieu, est cette émergence lumineuse qu’adorèrent nos aïeux aryens.

Le destin de l’homme, c’est cette montée vers la vie divine absolue de notre Plan Cosmique Physique : c’est là le voyage humain, le sacrifice acceptable, l’ascension qui sauve le genre humain des entrailles de la matière lourde. Cela seul justifie le sens de l’histoire humaine. Cette « Montée au Carmel » de Jean de la Croix est la véritable affaire de l’homme dans le monde et la justification de son existence terrestre. C’est dans le Monde de Dieu que l’âme ressuscitée trouvera sa véritable félicité.

Les désordres de l’histoire cesseront pour l’homme quand celui-ci discernera le secret d’un ordre plus parfait que le physique, quand il comprendra que nul n’est enchainé, nul n’est libéré, nul ne cherche la libération, car Dieu est le bien Absolu et Satan n’est que la négation de ce Bien absolu, c’est-à-dire le Bien Relatif de la Matière inconsciente.

Dieu est un être à la fois positif et négatif. Le Dieu négatif, c’est Satan-Maya. Mais Dieu reste une Liberté Parfaite. Le nom même de Dieu est celui que les sages chrétiens donnent à la Transcendance de la vie qui embrasse la totalité cosmique et universelle. La mort et le processus de la réincarnation sont des conventions qu’il s’est lui-même imposées.

Dieu s’est limité dans la multiplication des Egos ou des monades humaines. Sa limitation est l’artifice d’un jeu cosmique dans lequel l’homme-dieu part des niveaux d’existence les plus inférieurs pour atteindre le but d’une existence divine. Donc, accomplir Dieu dans la vie, sur les sept niveaux de conscience, c’est le destin sacré de l’homme.

L’homme dans l’histoire a ainsi une importance considérable, car celle-ci rend possible la transfiguration du monde par une parfaite découverte de soi. Dieu s’est donné un Destin en devenant l’homme, en devenant Forme Matérielle ; il s’est exprimé en manifestant son image dans la substance matérielle et cela à seule fin de jouir de sa propre manifestation sous les aspects d’une conscience relative et phénoménale.

L’homme ne peut connaître le dieu qui est en lui que s’il considère que le Bien et le Mal sont les oppositions à travers lesquelles il resplendit, sans se laisser cependant dominer par elles. Dieu resplendit de façon éclatante, positive, spirituelle à travers le Bien de l’Être de son Esprit ou de son Essence ; il resplendit aussi de façon obscure, négative, à travers le Mal de l’Être dans sa matière ou sa substance.

Mais puisque sa nature primordiale est la transcendance, Il domine les oppositions Bien-Mal, Lumière-Ombre, Dieu-Satan, en tant que Non-Être Absolu, indifférencié, indivisible et inaltérable.

Dans son ascension à la conscience supra-mentale, l’homme découvrira que :

  • Le Bien est la vérité de l’Esprit ; le Mal est le mensonge de la matière.
  • Le Bien est l’ultime réalité de l’existence, une et indivisible ; le Mal est l’irréalité des illusions.
  • Le Bien est ce qui est éternel ; le Mal est l’illusion, l’impermanence des choses.

Le mental objectif de l’homme mortel ne correspond qu’à une logique incomplète de l’intellect ; il faut se méfier de ces distinctions catégoriques ou les laisser carrément de côté, si l’homme ne veut pas s’exposer à l’erreur. Seul un mental spiritualisé par l’illumination peut percevoir l’univers physique comme un rêve sans réalité. Tandis que le mental matériel perçoit la réalité de l’Essence de Dieu comme une idée illusoire et fonctionne sur le témoignage déformé et dégradé des sens.

La pensée matérielle n’est capable que d’acquérir l’ignorance des choses inexistantes et irréelles ; cette connaissance de l’ignorance devient elle-même une sorte d’obscurité et une source d’imperfection.

Cependant, le Bien et le Mal sont nécessaires l’un à l’autre dans l’ascension de l’âme humaine. En vérité, ils existent toujours l’un pour l’autre, comme Satan pour Dieu, l’homme pour l’univers, la matière pour l’Esprit, la Femme-Eve pour l’Homme-Adam.

Dieu, par le processus même de l’involution, est devenu la Nature. La Nature, par le processus de l’évolution, cherche à devenir progressivement Dieu. Le destin de Satan, c’est de redevenir le Dieu qu’il a toujours été. C’est dans l’ignorance que l’homme franchit les portes de la mort. Après avoir de multiples fois franchi la mort, il découvrira enfin que son destin sublime et inévitable, c’est d’apprendre qu’il est Dieu. Il aura alors changé alchimiquement le plomb du mortel en cet or de l’Existence Divine.

Piotr Phénix


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Lettre n°2 – Santé et Beauté

Santé et Beauté

Lettre n°2

Lettre n°2

aux étudiants

Toujours en forme

Dr Otto WARBURG (1883)

et la cause du cancer :

l’acidité des cellules ;

pour guérir, rendre le corps alcalin

 

Lauréat du prix Nobel, le Dr Otto Heinrich Warburg, a consacré sa vie à l’étude et à la cause de la maladie du cancer. Dr Warburg était directeur de l’Institut Kaiser Wilhelm (aujourd’hui Institut Max Planck) pour la physiologie cellulaire à Berlin.

Né le 8 Octobre 1883 à Fribourg-en-Brisgau (Bade-Wurtemberg), décédé à Berlin, c’était un médecin, physiologiste et biochimiste allemand. Docteur en chimie et docteur en médecine, il fut lauréat du Prix Nobel physiologie et médecine pour sa découverte de processus-clés de la respiration cellulaire et de différents systèmes enzymatiques.

Le cancer n’est pas une maladie qui se déclare du jour au lendemain. Il se prépare au moins une décennie à l’avance par des processus réitératifs d’inflammation cellulaire. La maladie est d’abord inflammatoire, puis devient aigüe avant de devenir chronique et incurable si l’on ne fait rien en tenant compte des lois naturelles. La tumeur est une manière pour l’organisme de phagocyter le mal, le poison, la toxine.

Ayant démontré que les cellules cancéreuses changent leur métabolisme pour passer à un métabolisme anaérobie, le Dr Otto Warburg a formulé l’hypothèse que le cancer ne peut pas se développer dans un milieu riche en oxygène. Parmi ses étudiants, le plus illustre est Hans Adolf Krebs, prix Nobel lui aussi en 1953.

Il a été l’un des éminents physiologistes du 20ème siècle. Il a découvert que la cause du cancer est une acidité trop importante dans le corps, signifiant que le pH dans le corps est en dessous du niveau normal de 7,365, qui constitue un état « acide ».

Warburg a étudié le métabolisme des tumeurs et la respiration des cellules et a découvert que les cellules cancéreuses persistent et prospèrent dans un pH plus faible, à 6,0, à cause de la production d’acide lactique et d’une concentration élevée en CO2.

Il croyait fermement qu’il y avait une relation directe entre le pH et l’oxygène. Un pH plus élevé, qui est alcalin, signifie qu’il y a une concentration plus élevée en molécules d’oxygène, tandis qu’un pH plus faible, qui est acide, signifie qu’il y a une concentration plus faible d’oxygène… c’est ce même oxygène qui est nécessaire pour garder les cellules saines.

En 1931, il a été lauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine pour cette importante découverte sur la cause du cancer. Il a déclaré : « les tissus cancéreux sont acides, alors que les tissus sains sont alcalins. L’eau se divise en ions H+ et OH-, s’il y a un excès d’H+, c’est acide ; s’il y a un excès d’OH-, alors c’est alcalin. »

Dans son ouvrage “Le métabolisme des tumeurs“, il a prouvé que “toutes les formes de cancer sont caractérisées par deux conditions de base : l’acidose et l’hypoxie“. Le manque d’oxygène et l’acidose sont les deux faces d’une même pièce : si vous en avez une, vous avez l’autre.  

Toutes les cellules normales ont un besoin absolu d’oxygène, mais les cellules cancéreuses peuvent vivre sans oxygène, c’est une règle sans exception. Privez une cellule de 35 % de son oxygène pendant 48 heures, elle pourra devenir cancéreuse.

Le Dr Warburg démontre clairement que la première cause du cancer est un manque d’oxygène, ce qui crée un état acide dans le corps humain. Il découvre que les cellules cancéreuses sont anaérobies et ne peuvent pas survivre en présence de niveaux élevés d’oxygène, que l’on trouve dans un état alcalin.

 

Comprendre le pH , la cause du cancer et pourquoi on a le cancer ou d’autres maladies.

 

D’après les recherches du Dr Enderlein une guérison totale de maladies chroniques ne peut arriver que lorsque le sang est ramené à un pH normal, légèrement alcalin.

 

Cause du cancer : pourquoi le pH devrait-il nous concerner ?

 

Étant donné que nous sommes faits à 60-70 % d’eau, le niveau du pH a des effets très profonds sur la chimie du corps, la santé et les maladies. Tous les mécanismes régulateurs (respiration, circulation, digestion, production hor-monale) ont pour but d’équilibrer le pH, en débarrassant le corps et les tissus des résidus acides sans endommager les cellules vivantes.

Si le pH dévient trop acide ou trop alcalin les cellules s’empoisonnent avec leurs propres déchets toxiques et meurent.

Comme les pluies acides sur une forêt et la présence des déchets alcalins dans un lac, un pH déséquilibré corrode les tissus humains, consumant les milliers de kilomètres de veines et d’artères, comme les produits corrosifs s’attaquent au marbre.

S’il n’est pas régulé, un pH déséquilibré peut interrompre les activités et fonctionnements cellulaires, comme les battements de cœur et les étincelles entre les neurones du cerveau.

La cause réelle du cancer est liée à 2 facteurs qui sont toujours présents lors d’un cancer, le pH acide et le manque d’oxygène.

En apprenant à manipuler ces deux facteurs qui seraient la cause du cancer , on peut réduire ou inverser le processus du cancer. Rappelons-nous que le pH est un nombre exponentiel de 10 : donc une petite différence dans le pH se traduit par une grosse différence dans le nombre d’ions OH-.

En d’autres mots, un sang avec un pH de 7.45 contient 64.9 % plus d’oxygène qu’un sang donc le pH est 7.3.

Le cancer a besoin d’un environnement acide pauvre en oxygène pour survivre et se développer. D’où nécessité d’apprendre à respirer pour oxygéner suffisamment et quotidiennement les cellules organiques.

Les patients en phase terminale d’un cancer sont environ 1000 fois plus acides qu’ils ne devraient l’être. Cela veut dire un niveau d’oxygène dangereusement critique au niveau cellulaire.

En l’absence d’oxygène, le glucose fermente et devient acide lactique. D’où nécessité de supprimer tous les sucres industriels, mais non celui des fruits.

Cela baisse le pH des cellules. Le pH des urines et de la salive des patients en phase terminale de cancer se situe très souvent entre 4.0 et 5.5.

Quand le cancer se transforme en métastases, le pH chute davantage. Nos corps ne peuvent pas lutter contre la maladie si le pH n’est pas correctement équilibré. En d’autres termes, c’est “alcalinise ou meurt“.

 

Comment sait-on qu’un aliment et l’eau que l’on boit est acide ou alcalin ?

 

Il suffit de mesurer son potentiel Hydrogène au moyen d’un pH-mètre. C’est aussi simple que cela. Cependant, cet appareil de mesure ne peut mesurer les effets d’acidification qu’engen-drent la pensée et les émotions négatives ou les effets de l’alcalinisation qu’entraînent de façon heureuse les émotions et les pensées positives.

En revanche, l’effet Kirlian rend visible le changement d’état des couleurs dans l’aura électro-magnétique du corps humain. Un corps sain ne présente pas les mêmes teintes dans l’aura vitale selon que le corps est malade, intoxiqué et empoisonné autant par les aliments malsains que par l’influence d’une psyché négative. Est-ce un hasard si toutes les ascèses philo-sophico-religieuses insistent tant sur la purification du corps et le refus d’absorber tant la chair animale qu’un  certain nombre d’aliments néfastes à la santé ?

Faut-il se fier aux conclusions des travaux sur le cancer du Dr Otto Heinrich Warburg ? Bien entendu qu’il faut lui faire confiance. Enfin, soyons sérieux. Pourquoi la Nation lui a-t-il conféré un premier doctorat en chimie et un second doctorat en médecine, ce qui faisait de lui un physiologiste et un biochimiste d’une compétence internationale incontestable ?

Prix Nobel de physiologie ou de médecine en 1931 pour sa découverte concernant le cancer, maladie causée par une respiration cellulaire affaiblie en raison du manque d’oxygène au niveau cellulaire et qui se développe dans un milieu anaérobie (sans oxygène) ou des conditions acides, il était persuadé et convaincu des bienfaits d’une alimentation saine et biologique.

En Inde, l’ayurvéda a toujours associé vie spirituelle, respi-ration contrôlée, discipline de soi et alimentation saine basée sur une vie équilibrée, dans un environnement harmonieux, recom-mandant la consommation d’aliments végétariens, à condition que ces aliments ne soient pas pervertis par l’emploi de pes-ticides et d’insecticides en raison des pratiques agro-alimen-taires recherchant la performance et le rendement plus que la qualité des aliments produits. De même, l’air que nous res-pirons et l’eau que nous buvons ne doivent pas être contaminés d’une manière ou d’une autre.

En d’autres termes, la principale cause du cancer est l’aci-dité du corps humain. En 1924 Warburg en tira une hypo-thèse sur la formation de cellules cancéreuses : celles-ci tirent principalement leur énergie de la fermentation anaérobie du glucose et par conséquent la présence d’oxygène ne serait pas nécessaire à leur développement.

Dans son ouvrage « The Metabolism of Tumours » (Le métabolisme des tumeurs), il a démontré que toutes les formes de cancer sont caractérisées par deux conditions de base : l’aci-dose et l’hypoxie (manque d’oxygène). Le manque d’oxygène et l’acidose sont les deux faces d’une même pièce : là où vous avez l’un, l’autre est présent.

Il a démontré que l’anaérobiose était la principale cause du cancer, et ses propres recherches sur les agents cancérigènes lui firent craindre le pire concernant la consommation d’aliments transformés.


Le cancer n’a qu’une seule cause principale, c’est le rempla-cement de la respiration d’oxygène normal des cellules de l’organisme par un anaérobie (pauvre en oxygène).

La psychosomatique ou la psychologie des profondeurs met par ailleurs également en évidence comment un traumatisme psy-chique, psychologique ou mental (veuvage, divorce, perte d’un être cher, licenciement, chômage, peur, angoisse, stress, sur-menage, sentiment de culpabilisation, etc.) exerce un effet acidificateur sur les organes corporels ou révèle les parties corporelles, un système nerveux et hormonal, déjà fragilisés par l’acidification ou l’acidose et l’hypoxie.

Autrement dit, l’état de santé dépend aussi des vertus que l’on développe sur le plan de l’âme. La théologie catholique fait référence à la nécessité de développer les vertus cardinales (foi, espérance, charité, prudence, tempérance, force et justice) et de vaincre les vices.

Le Tao demande aux sages de laisser tomber la morale et la justice des hommes qui sont inhumaines et les gens feront systématiquement ce qui est juste. Ce qui entraîne la mort et la misère d’autrui, y compris celles du règne animal, ne peut nous rendre spirituellement serein. L’absence de paix intérieure est cause du traumatisme de l’âme dont l’impact sur la forme physique est inévitable. Veillons déjà à ce que nous mangeons et buvons, et nous serons psychiquement disposés à installer la paix dans notre âme spirituelle. Sans une certaine discipline de soi nul ne parvient à la maîtrise de soi. Et sans maîtrise personnelle nul n’obtient la santé.

Les vices sont l’absence des vertus théologales. Ce sont les sept péchés capitaux de la théologie chrétienne : la colère, l’avarice, l’envie, l’orgueil, la gourmandise, la paresse, la luxure. Elles entraînent la cupidité, la vanité, la prétention et l’arrogance, qui sont intolérables à la raison supérieure de l’âme. Il suffit d’observer l’état de nos sociétés et de nos nations pour comprendre immédiatement avec un peu de lucidité que les maux qui minent la condition humaine entraînent le chaos et la décadence jusqu’au sein de nos cellules organiques.

Qui veut retrouver la santé, l’entretenir et la maintenir, doit s’occuper du bien-être de son âme et de celui d’autrui, et mettre toutes les chances de son côté pour rétablir la sérénité jusqu’au plus profond de ses cellules organiques.

 

Quelles sont les caractéristiques métaboliques des cellules cancéreuses ?

 

Le métabolisme des cellules cancéreuses est différent des cellules normales. Les cellules normales ont besoin d’oxygène, par contre les cellules cancéreuses n’ont pas besoin d’oxygène pour se nourrir, lorsque le glucose est disponible. Le métabolisme des cellules cancéreuses se fait par un processus de fermentation.

Le métabolisme du cancer est environ 8 fois plus grand que le métabolisme des cellules normales.

L’acide lactique produit par fermentation abaisse le pH de la cellule et détruit la capacité de l’ADN et de l’ARN de contrôler la division cellulaire.

Les cellules cancéreuses commencent alors à se multiplier. L’acide lactique provoque simultanément une douleur locale sévère car il détruit les enzymes cellulaires. Le cancer apparaît sous la forme d’un revêtement externe de la cellule en croissance rapide, avec un noyau de cellules mortes.

 

Suppression radicale du sucre industriel

 

Le sucre nourrit le cancer et le corps meurt de faim, en essayant de nourrir le cancer. De ce qui précède on peut deviner que le cancer aime le sucre.

Sachant que le cancer a besoin de sucre, est-il normal de le nourrir de sucre ? Le seul sucre qui convienne à l’organisme humain est celui fourni naturellement par les fruits, les céréales, les légumineuses et les légumes.

 

Est-il logique d’avoir une alimentation riche en glucides ?

 

Le Dr Otto Warburg disait : “Par exemple la première cause de la peste est le bacille de la peste, mais les causes secondaires de la peste sont la saleté, les rats et les puces qui transmettent le bacille de la peste du rat à l’homme. Par la principale cause d’une maladie, je veux dire celui qui se trouve dans tous les cas de la maladie. Le cancer comme toutes les autres maladies, ont d’innombrables causes secondaires. Presque tout peut causer le cancer. Néanmoins, même pour le cancer, il y a seulement une cause première. La cause principale du cancer est le rempla-cement de la respiration de l’oxygène (oxydation du sucre) dans les cellules normales de l’organisme par la fermentation du sucre“.

Le Dr Otto Warburg avait terminé un de ses discours les plus célèbres avec la déclaration suivante :

“ (…) personne ne peut aujourd’hui dire que l’on ne sait pas ce qu’est le cancer et sa cause principale, au contraire, il n’y a pas de maladie dont la cause principale est mieux connu. De sorte qu’aujourd’hui, l’ignorance n’est plus une excuse pour que l’on ne puisse pas faire plus de prévention“.

 

Pourquoi malgré la découverte du Docteur Otto WARBURG le cancer, sous toutes ses formes, n’a jamais cessé d’évoluer pour être le mal du siècle ?

 

La cupidité, mesdames et messieurs. Celle qu’entretiennent les forces de l’ombre et de l’ignorance. Cette cupidité des hommes qui recherchent l’argent pour le pouvoir. La nature nous donne tout gratuitement. Là où est le mal, là est le remède du mal, disait le charitable Hippocrate. Le remède naturel ne coûte rien. On veut absolument maintenir les individus dans l’ignorance pour mieux les contrôler mentalement, les abêtir par des récréations stupides et des enfantillages. Les laboratoires de la mort créent des molécules qui sont sources de mort et non de vie, et de plus coûtent affreusement chères au porte-monnaie des pauvres.

Les chercheurs reconnaissent actuellement que le ciblage précis des mutations du gène du cancer ne donne pas les résultats espérés et attendus. Non seulement les mutations sont remar-quablement diverses, et différentes entre les individus et entre les secteurs au sein d’une seule tumeur, mais les cellules cancé-reuses deviennent vite résistantes à de nouveaux médicaments.

 

Sucre, inflammation et Cancer

 

C’est le sucre (glucose) qui fournit l’énergie nécessaire à chaque cellule de l’organisme. Le sucre semble donc essentiel au bon fonctionnement du corps. Cette constatation est valable lorsque tout fonctionne correctement.

Qu’en est-il lorsque tout fonctionne de travers ?

La consommation de sucre a-t-elle un lien avec la formation de tumeurs cancéreuses ? Il y a le sucre industriel et les autres sucres, naturels, des fruits, du miel, des hydrates de carbone.

Une étude de Lewis Cantley soumise à la prestigieuse Univer-sité Havard a démontré, au début des années 1990, l’impact du glucose sur certaines cellules cancéreuses. Notons également que le “PET scan” (TEP en français), détecte la présence d’un cancer, en mesurant les régions de notre organisme qui consomment le plus de glucose. Le cancer se nourrit de toute évidence de sucre.

 

Le glucose favorise t-il ainsi la formation des tumeurs cancéreuses ?

 

Une étude d’une équipe américaine de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center, établit de façon certaine qu’il existe bien un lien entre la consommation de sucre, notamment le saccharose et le fructose (lorsque celui-ci est isolé des fruits qui le contiennent) utilisé dans les aliments industriels, et le cancer :  ils ont identifié avec précision le mécanisme, une production d’enzyme 12-LOX (12-lipoxygénase) et d’acide gras 12-HETE, qui seraient en cause dans le processus de croissance tumorale mammaire sur des rongeurs.

Cette voie pourrait, selon les auteurs, favoriser l’inflammation des tumeurs et par conséquent leur croissance en entraînant le développement des métastases. Le sucre blanc (ou roux d’ail-leurs, sucre qui n’est pas vraiment complet) est le premier sucre auquel l’on pense. Les bonbons et le chocolat auxquels on a rajouté du sucre industriel.

Faut-il y ajouter les pâtes, pommes de terre, céréales, etc… ? Et le sucre est aussi présent dans les sodas.

La revue médicale Cancer Researche tend à démontrer que les différents sucres sont métabolisés selon des voies métaboliques distinctes et que cela a des conséquences majeures sur l’appro-visionnement en nourriture des cellules cancéreuses et sur leur prolifération.

Que dire du fructose naturel contenu dans les fruits et les légumes ? Pour l’instant la science reste muette sur ce point. C’est un sujet tabou pour les producteurs de sucre qui s’inquiètent pour le capital que produisent les industries sucrières. Mais on a tout lieu de penser que le sucre naturel des fruits et légumes forment une synergie avec les autres composantes chimiques d’un aliment, et donc ne peut être cause de cancer. Il faut donc manger les fruits dans leur totalité et dans un état de non-contamination par les pesticides, les insecticides et autres substances chimiques employées pour leur préservation.

Le fait à retenir est que les cellules cancéreuses ne métabolisent plus le glucose correctement. La cause du cancer est donc plutôt d’ordre métabolique : un dysfonctionnement de la cellule qui aurait alors besoin de beaucoup plus de sucre pour pouvoir fournir de l’énergie.

 

La solution pour guérir

 

La solution pour enrayer le développement du cancer est simple : affamer les cellules cancéreuses en ne consommant plus de glucose (régime cétogène par exemple).

Le Dr Otto WARBURG a démontré que le cancer est une maladie de la digestion cellulaire et, plus précisément, de la digestion du sucre. Cette piste a été longtemps oubliée.

En 2012, des chercheurs japonais dirigés par le professeur Tatsushi Igaki, de l’Université de Kobe, ont élucidé un mécanisme cellulaire fondamental qui transforme les tumeurs bénignes en tumeurs malignes.

Ils ont pu notamment observer une diminution du rendement des mitochondries, et ont pu montrer que la baisse de l’activité mitochondriale associée à l’activation du gène oncogène RAS provoquait un stress cellulaire qui se transmettait aux cellules voisines par la production de cytokines inflammatoires et de facteurs de croissance. Sous l’effet de ces mécanismes, les cellu-les périphériques se transforment alors en cellules cancéreuses.

 

La lipogénèse

 

Les lipides sont des constituants majeurs de nos cellules : la membrane plasmique est composée de phospholipides, tout comme les membranes présentes à l’intérieur des cellules. En situation normale, les lipides apportés par notre alimentation suffisent aux besoins journaliers de nos cellules. Pour proliférer, les cellules ont donc besoin de produire une grande quantité de phospholipides pour construire les membranes des cellules-filles.

Par conséquent, les cellules cancéreuses produisant une part importante des lipides dont elles ont besoin pour fabriquer les membranes, il devient important de supprimer de l’alimentation toutes les mauvaises graisses, et apporter à l’organisme les oméga 3 dont il a un besoin urgent.

Une alimentation pauvre en graisse est nécessaire dans le traitement de la suppression du cancer en mode naturel.

Pour conclure : le métabolisme des cellules cancéreuses décrit par Otto Warburg dans les années 1930 est devenu une marque spécifique associée au cancer, appelée “effet Warburg“. Les cellules cancéreuses puisent leur énergie essentiellement à partir du glucose, à travers la glycolyse, afin de répondre à leurs besoins en énergie, mais également à leur besoin en biomasse nécessaire à leur division accrue.

Pour guérir, on retiendra :

 

GUÉRISON DU CANCER

 

Pour guérir du cancer avant qu’il ne soit trop tard, il convient :

 

  1. Rééquilibrer son métabolisme basal. Une cure de plusieurs semaines s’imposent très sérieusement, au moins deux ou trois fois dans l’année dans le cas d’un cancer déjà avancé.
  2. Boire de l’eau de qualité de pH 9,5 : 2 à 4 litres par jour selon le poids (3 % d’eau d’eau alcaline).
  3. Se nourrir d’aliments alcalins : fruits et légumes crus, débarrassés de pesticides et d’insecticides.
  4. Éviter viandes, poissons, excès de céréales, pains et farine.
  5. Supprimer radicalement tous les sucres industriels.
  6. Éliminer toutes les mauvaises graisses.
  7. Prendre des oméga 3 en équilibre avec les oméga 6.
  8. Apporter à l’organisme l’ensemble des vitamines et des oligo-éléments en synergie avec les acides ami-nés dont l’organisme a besoin.
  9. Rééquilibrer la flore intestinale. Éviter les antibio-tiques dangereux.
  10. Pour reconstituer les cellules et les régénérer, prendre du soufre végétal naturel (MSM). Voyez Lifeplus.
  11. Jeûner au moins un jour par semaine. Seule boisson admise : eau propre, débarrassée de ses pesticides, insec-ticides, métaux lourds, perturbateurs endocriciens, boues, etc. L’eau à boire sera de pH 9,5. S’adonner à un jeûne long ( 15 à 40 jours) est également souhaitable. Abordez-la avec un spécialiste de la question, au sein d’une clinique ou d’un institut spécialisé. Consultez les ouvrages du Dr Edmond Bertholet sur le Jeûne. Voyez aussi la “Fontaine d’eau“, machine Kangen.
  12. Prendre le temps de respirer profondément, lentement, calmement, pendant au moins 30 minutes, deux fois par jour, matin et soir, aqfin d’oxygéner suffisamment le sang et les cellules.

 

ALIMENTS ANTI-CANCER

 

Fruits secs anti-cancer :

  • Amandes sèchées
  • Amandes séchées d’abricot
  • Noisettes
  • Noix séchées
  • Pistaches

 

Fruits en général :

  • Banane mûre
  • Figue
  • Poire
  • pomme
  • Pruneau
  • Raisin
  • Melun
  • Pastèque
  • Ananas
  • Citron
  • Clémentine
  • Grenade
  • Groseille
  • Mandarine
  • Orange
  • Pamplemousse
  • Pêche
  • Cerise
  • Prune
  • Tomate
  • Fraise
  • Abricots
  • Dattes
  • Figues

 

Légumes :

  • Betteraves
  • Carottes
  • Céleri rave
  • Choux de Bruxelles
  • Échalottes
  • Navet
  • Aubergine
  • Brocoli
  • Cardon
  • Champignon
  • Chicorée
  • Choux
  • Choux-fleurs
  • Oignon
  • Panet
  • Persil
  • Petits pois frais
  • Pissenlit
  • Rutabaga
  • Salsifis
  • Ciboulette
  • Concombre
  • Courgette
  • Endive
  • Épinards
  • Haricotes verts
  • Laitue
  • Mâche
  • Oseille
  • Poireaux
  • Poivrons doux
  • Potiron
  • Radis
  • Rhubarbe
  • Scarole

 

Légumes à amidon concentré :

  • Chataignes
  • Pommes de terre
  • Topinambour

 

Légumes riches en lipides :

  • Avocat
  • Olives

 

Légumineuses :

  • Soja
  • Riz complet

 

Céréales et dérivés :

  • Orge complète

 

Laitages : 

  • Caillé de lait
  • Fromage blanc
  • Yahourt

 

Œufs non fécondés :

  • Jaune

 

Viande :

  • Toutes les viandes, les charcuteries et les poisons sont acidifiants et pourvoyeurs d’acide urique, de déchets et de toxines variées.

 

Il est évident que les patients doivent renoncer définitivement au tabac, à l’alcool, à la drogue, aux remèdes allopathiques, pour se soigner naturellement avec ce que la Nature offre de meilleur à l’humain.

On sait donc parfaitement soigner les cancers à condition de mettre toutes les chances du côté des patients qui ont réellement la volonté de guérir en CHANGEANT RADICALEMENT DE MODE DE VIE. À chacun de voir…

 

Rappelons, au risque de nous répéter, que l’acidose toxique est susceptible de générer :

  • La sinusite
  • La bronchite
  • La pneumonie
  • L’otite
  • Le rhume
  • La grippe
  • L’asthme
  • Toutes les maladies respiratoires
  • L’eczéma
  • Les boutons
  • Le psoriasis
  • Le lupus
  • Toutes les maladies de la peau
  • Le vieillissement prématuré de la peau
  • Les varices
  • Les hémorroïdes
  • Toutes les maladies de la circulation veineuse
  • Les maladies intestinales.
  • La rectocolite hémorragique (maladie inflammatoire des intestins comme pour la maladie de Crohn)
  • La maladie de Crohn
  • La variole
  • La tuberculose
  • Les maladies orphelines
  • Les maladies cardiaques
  • Les maladies nerveuses
  • Les maladies hormonales
  • Les caries dentaires
  • La dépression, la nervosité, les maux de tête, les migraines
  • La fatigue chronique,
  • La fatigue et la paresse de l’estomac,
  • Les calculs rénaux
  • Les calculs biliaires
  • Les crampes
  • La sciatique
  • les maladies des os ou du squelette
  • Les problèmes dentaires
  • Les problèmes ligamentaires
  • Les maladies rhumatismales
  • L’hernie discale
  • La fragilité des os (ostéoporose, os creux)
  • Risque accru de fracture
  • La polyarthrite déformante conduisant à la paralysie des membres supérieurs et inférieurs
  • La sclérose en plaque
  • Les maladies sexuelles
  • La syphilis (la vérole)
  • Les maladies du bas ventre
  • Les maladies urinaires
  • La prostate
  • La stérilité
  • L’impuissance sexuelle
  • Les maladies du foie
  • La cyrrhose
  • Les maladies du métabolisme
  • Les maladies lymphatiques
  • Les maladies du pancréas
  • Le diabète
  • Etc…

 

Il est déplaisant de penser que nous avons tous une maladie sous une forme ou une autre. Chaque forme de maladie est susceptible de se transformer d’abord en maladie chronique, puis en maladie cancéreuse. Globalement, les multiples erreurs et les vices de l’humanité l’ont conduite à diversifier les formes d’une unique maladie. Les maladies héréditaires se transmettent d’âge en âge selon les idiosyncrasies raciales ou ethniques. Il est presque impossible pour une âme spirituellement avancée de s’incarner au sein d’une famille ou d’une ethnie qui ne soit pas affectée par tels ou tels maux. C’est symptomatologique de l’existence de causes occultes de la maladie. On doit pouvoir admettre que les maladies humaines ont une origine lointaire (vies antérieures), proche (chronique) ou récente (aigüe ou accidentelle). La loi de causalité universelle implique que les mêmes causes engendrent toujours les mêmes effets. C’est en connaissant la cause du mal qu’il devient possible de vaincre la maladie avec quelque espoir de succès. Tels sont les effets concrets et objectifs de l’acidose qui produit ces oxydants empêchant l’élimination des déchets ou des produits de la combustion cellulaire, sources de maladie et de vieillissement pramaturé de l’organisme humain. Une eau propre est indispensable pour dissoudre les déchets de l’oxydation.

Lettre n°1 – Santé et Beauté

Santé et Beauté

Lettre n°1

Lettre n°1

aux étudiants

Toujours en forme

Vivre jeune, longtemps, en pleine forme, voilà des préoccupations qui ne peuvent laisser personne indifférent. L’auteur examine pratiquement toutes les méthodes, techniques ou moyens, accessibles à tous, susceptibles de préserver et d’améliorer l’état de santé. 

Il dénonce les dangers de la vie moderne, l’environnement des ondes nocives, la pollution de l’habitat, les dépenses d’énergie. Il montre comment nous pouvons réapprendre à vivre, à manger, à gérer notre sommeil et notre énergie biologique, à créer les conditions d’un habitat salubre, à vivre dans un lieu vibratoirement bénéfique. 

Il nous indique comment maîtriser les divers facteurs de fatigue chronique et bénéficier d’une protection efficace contre l’atteinte des graves maladies. Il nous apprend à placer notre tonus musculaire sous le contrôle de notre conscience. La santé est notre bien le plus précieux. Agissez et soyez toujours en forme avec les exercices simples que vous offre l’auteur. Ce livre vaut la meilleure des méthodes anti-vieillissement. 

Les effets sont très rapides : vous marchez mieux, vous respirez mieux, vous récupérez mieux, vous pensez mieux, vous êtes plus alertes et plus en forme sexuellement, vous vous sentez plus libres. La fatigue et la vieillesse cesseront d’être à jamais pour vous une fatalité. Avec des dessins originaux qui émaillent le livre, vous entrez immédiatement dans la pratique d’une vie nouvelle et radieuse. Quels que soient votre âge et votre sexe, pratiquez l’alchimie de la régénération cellulaire pour vivre jeune et longtemps.

 

(voir notre catalogue, Piotr Phénix, Toujours en forme, 2001)

Lettre n°3 – Erotisme

Erotisme

Lettre n°3

Lettre n°3

aux étudiants

Les canaux de manifestation de l’amour :

la voix, le cœur, le sexe

L’amour s’exprime dans l’intimité individuelle par trois canaux principaux : la bouche (tête), partie externe de l’organe d’expression de la parole ; le cœur (poitrine), organe figuré d’expression des sentiments ; le sexe (bassin), organe d’expression de la vitalité sexuelle et de la créativité de l’esprit.

Le principal canal de communication partant du cœur passe par le larynx et par la bouche. C’est le premier canal utilisé par le nourrisson lorsqu’il tend ses lèvres et sa bou-che vers le sein maternel.

En tendant ses lèvres, le nourrisson tend aussi son cœur vers sa mère. Ce mouvement qui exprime l’amour se retrouve dans le baiser et la succion, dans l’acte de fellation chez la femme et dans celui du cunnilingus chez l’homme.

Le second canal de communication du cœur passe par les bras et les mains lorsqu’ils se tendent pour toucher. Les bras sont reliés au tronc et à la poitrine (siège du cœur). Cela signifie que les sentiments d’amour sont manifestés par les mains et les bras.

Chez l’humain on a l’image de l’amour qui s’exprime com-me le contact doux, tendre et caressant des mains amoureu-ses. Les mains, organes de manifestation des sentiments amoureux, sont très chargées énergiquement. Leur contact est salutaire.

La circulation de l’énergie magnétique dans le centre des mains peut être bloquée par les tensions de l’épaule ou par les crispations musculaires de la main. Les tensions des petits muscles de la main résultent des impulsions refou-lées à étreindre ou à saisir, à griffer ou à étrangler. Ces tensions sont d’une certaine manière responsables de l’arthrite rhumatismale des mains.

Le troisième canal de communication du cœur vers le monde extérieur descend vers la taille et le pelvis jusqu’aux organes génitaux situés dans le bassin. Les rapports sexuels sont un acte d’amour, mais il dépend de la participation du cœur, peu importe qu’ils soient un simple geste ou l’expression d’un sentiment sincère.

Lorsqu’on éprouve un amour passionné pour son parte-naire, l’expérience sexuelle a une intensité et atteint un niveau d’excitation qui font de l’orgasme ou du paroxysme une expérience extatique.

Faire l’amour sans affectivité, c’est comme manger sans appétit ou courir avec une seule jambe. Le problème dans l’instant de l’actuelle évolution planétaire est que la plupart des individus ne fonctionne pas en reliant le bas et le haut du corps. Il est difficile d’aimer corps, âme et esprit.

Le bas du corps est généralement développé, et même très développé, chez l’ensemble des individus composant l’hu-manité.

En revanche, le haut du corps laisse à désirer, car la plupart des individus pratiquent les rapports sexuels avec une conscience peu développée de ce que constitue spirituellement l’acte d’amour. Chez d’autres, le haut du corps est développé, mais le bas présente quelque atrophie musculaire et présente un aspect infantile.

Chez les femmes, le cœur a un lien direct et immédiat avec les seins, qui réagissent de façon érotique ou glandulaire ou hormonale aux impulsions venant du cœur. En cas d’exci-tation sexuelle, les mamelons sont engorgés de sang et se durcissent ; en cas d’allaitement, les glandes sécrètent du lait.

Le fait d’allaiter, marqué par le phénomène de succion chez l’enfant qui prend le lait, est donc normalement l’une des expressions les plus évidentes de l’amour maternel. Par la succion le bébé, en absorbant le lait nourricier, réceptionne dans le même temps une énergie subtile d’amour que la mère donne par l’organe émetteur vital des seins, les chakras des seins.

Sucer, c’est par conséquent, l’acte de prendre, de récep-tionner, d’absorber, d’assimiler ce qui est donné généreu-sement par le donateur amoureux ou la donatrice amou-reuse. Lorsque l’homme tend sa bouche vers le mamelon du sein que sa partenaire lui offre, deux phénomènes se pro-duisent : elle donne son affection et le partenaire l’honore en lui donnant la sienne, d’où résulte un échange harmo-nieux et équitable d’amour.

De la même manière, lorsque la partenaire suce le gland du pénis masculin, on note également un double phénomène : l’homme offre généreusement à sa partenaire l’énergie sub-tile qui émane magnétiquement de son pénis et la femme, par la succion pénienne, démontre sa tendre affection tout en recevant le don d’énergie magnétique que lui offre son partenaire.

Il est difficile d’imaginer que le lait de la mère ne puisse pas convenir à son nourrisson. C’est un lait imprégné du ma-gnétisme vital de la mère, donc le seul qui convienne véri-tablement au nourrisson.

Ce n’est qu’en cas de nécessité absolue (absence ou maladie de la mère) qu’on remplacera le lait maternel par un lait de substitution. Il existe une relation symbolique entre le lait maternel et le sperme de l’homme car l’un et l’autre sont porteurs de vie. En suçant le mamelon, l’homme retrouve une partie des sensations qu’il a connues lorsqu’il était bébé.

Dans le même sens, la femme se retrouve dans la position de l’enfant à la mamelle lorsqu’elle suce le pénis du parte-naire qui, en éjaculant, lui offre la substance précieuse de vie. Même sans éjaculation, elle bénéficie de l’énergie ma-gnétique émise par le chakra du pénis.

Le cœur ou le centre cardiaque Anahata-chakra est le point central de toute évolution de la conscience de soi. Il n’y a pas de joie de vivre, donc de bonheur réel ou de béatitude spirituelle, si la conscience intuitive de l’amour n’a pas été ouverte.

Sans manifestation du principe de l’amour, l’individu reste froid malgré une intelligence plus ou moins parfaitement développée. Il n’est possible de vivre pleinement et harmo-nieusement de façon plus totale que si l’on ouvre son cœur à la vie et à l’amour.

L’amour n’est manifesté que s’il s’incarne dans la chair et se trouve exprimé envers son prochain proche, immédiat ou lointain. C’est de notre cœur que s’écoule la chaleur qui nous unit au monde dans lequel nous vivons. Cette chaleur est aussi celle de l’amour et non de l’intellect froid et possessif tourné vers l’acquisition des choses matérielles.

Il nous faut réaliser que le cœur est, avec le cerveau et le sexe, l’organe le plus sensible du corps. Il réagit immédia-tement à l’influence des émotions et des sentiments.

Notre vie dépend de son activité continue et rythmique. Lorsque le rythme cardiaque est affecté, même momenta-nément, comme par exemple lorsque le cœur s’emballe ou manque un battement, nous éprouvons instantanément de l’angoisse au centre de notre être psychique.

Les paroles exercent une grande influence sur la nature de nos sentiments et donc sur le rythme cardiaque. Le cerveau va réagir aussitôt de façon à solliciter le système hormonal et combattre l’agressivité exogène.

Ces défenses s’élaborent tout au long de la vie jusqu’à ce qu’elles finissent par constituer une puissante barrière contre toute tentative d’atteindre le cœur. L’examen de conscience, chaque soir avant de nous endormir, permet d’éclairer les causes internes ou externes qui influent sur notre état psychologique.

Observons que le hurlement joue le rôle d’une explosion à l’intérieur du corps du désir de la personnalité, qui mor-celle momentanément la rigidité engendrée par les peurs, les craintes et les angoisses de l’être profond.

Les cris, les pleurs et les sanglots profonds produisent un effet semblable en adoucissant et en réduisant les rigidités physiques, psychiques et mentales.

L’effet cathartique des hurlements, de la rage, de la pani-que, de la crainte, et de la tristesse n’est que de courte durée. La peur est plus difficile à faire remonter à la surface car ses racines sont beaucoup plus profondes.

Tant que l’individu n’arrive pas à se confronter à sa propre peur et à en comprendre les raisons, il va continuer à s’agiter, hurler, crier, aboyer, enrager, critiquer, tenir un discours négatif et destructeur et pleurer sans que l’en-semble de sa personnalité ne change beaucoup.

Il aura simplement substitué le processus cathartique au processus inhibiteur du refoulement, sans apporter aucun changement significatif dans le sens de la croissance de la conscience.

Sa personnalité profonde restera emprisonnée entre les for-ces inhibitrices dont elle ne sait interpréter l’influence et le désir d’obtenir un soulagement cathartique momentané.

Les rires et les pleurs, comme les cris et les gémissements de l’orgasme, constituent en soi des moyens de défense contre les angoisses sous-jacentes dans les diverses couches du psychisme subconscient, ainsi qu’un exutoire de la force vitale sous tension. Les rires nerveux sont aussi de cet ordre-là. On rit par habitude. On rit pour ne pas pleurer. On rit pour libérer les tensions intérieures. On rit de joie, de bonheur et de plaisir. On rit de tristesse, de douleur, de souffrance. On rit pour se soulager.

Le rire chez l’humain est mystérieux. Les animaux ne rient jamais. Les évangiles ne font jamais référence à un CHRIST rieur. Le BOUDDHA nous est toujours montré avec un très léger sourire au coin des lèvres. La femme qui jouit dans l’extase de l’orgasme sourit aux anges, de même l’homme satisfait.

En outre, il est intéressant de noter que, parallèlement, sur le plan amoureux, dans les instants qui précèdent l’orgas-me ou juste avant l’acmé orgasmique, la femme libère ses puissantes tensions émotives par des râles, des gémisse-ments, des cris, des hurlements et même des sanglots irré-pressibles de bonheur.

Il y a donc dans l’orgasme un processus qui favorise aussi la catharsis des peurs accumulées durant la semaine ou une certaine période accumulant les inquiétudes, les soucis ou les angoisses de tous ordres. Nous savons que le rire, dont les mécanismes reposent sur les drames de la vie, a égale-ment une fonction cathartique.

Le rire comme l’orgasme ou l’éternuement est un phéno-mène de soulagement. La psychanalyse tend à dire que l’éternuement serait une sorte de coït interrompu et le rire qui, selon Bergson, est le propre de l’homme, serait un processus de décompression des tensions émotives résultant de causes variées.

Le rire est un exutoire de tensions de diverses natures. Pour que l’orgasme érotique prenne une véritable dimen-sion mystique et extatique, il conviendrait préalablement que l’amour reliant deux personnes confine à la sagesse, produisant de puissantes émotions sexuelles venant du cœur.

S’il en était ainsi, le monde serait peuplé de mystiques marqués par les expériences de l’orgasme-extase. Ce n’est malheureusement pas le cas. Il ne suffit pas de revêtir la tunique du moine pour être moine ou avoir les fesses de Brigitte Bardot au temps de sa splendeur pour être Brigitte Bardot.

En dernière analyse, lorsqu’il y a accord entre la gorge, le cœur, le sexe et la pensée spirituelle, l’orgasme-extase attire de puissantes énergies subtiles en provenance des plans supérieurs de conscience qui se répandent dans toutes les parties de l’être, aussi bien physique que psychologique, d’où découle la forme suprême du plaisir nommé béatitude, source de la parfaite quiétude intérieure.

Dans l’amour tantrique, pour bénéficier des avantages spi-rituels qui en découleraient, l’accord devrait exister chez chacun des partenaires.

Ce plaisir, qui n’est pas uniquement sexuel, dénote que les mouvements du corps des amants, tout particulièrement les mouvements internes généralement imperceptibles et discrets, sont rythmiques, libres, et dirigés harmonieuse-ment vers l’extérieur, se traduisant par une large expan-sion de conscience et une ouverture exceptionnelle de la pensée inclusive ou intuitive.

Au moment de l’orgasme, les muscles du vagin et du pénis se contractent un certain nombre de fois dans un laps de temps donné.

Lorsqu’on éprouve le plaisir d’Éros, les yeux brillent, la peau est agréablement tiède et colorée, les lèvres sont épanouies et plus charnues, les manières vivantes et aisées, et l’allure calme et détendue.

Ces signes visibles sont la manifestation ostensible du dé-placement de l’énergie d’amour et du sang vers la péri-phérie du corps, ce qui constitue la contrepartie physio-logique d’un mouvement d’énergie spirituelle.

Par contre, l’absence de ces signes ostensibles de l’amour manifeste révèle qu’on n’éprouve pas de plaisir érotique, mais une douleur de frustration, qu’on la per-çoive ou non. Des yeux sans éclat indiquent que l’émotion est absente.

Une peau froide et blanche ou livide est due à la constric-tion des capillaires et des artérioles, indiquant que le sang est tenu à l’écart de la surface du corps.

Le corps dans son ensemble est marqué par la rigidité et son manque de spontanéité suggère que la charge éner-gétique ou magnétique du corps éthérique vital ne circule pas librement dans le système musculaire.

Cet état de contraction de l’organisme est une représen-tation somatique de la douleur. Ce tableau physique indi-que la présence d’un blocage de la circulation de l’émotion amoureuse et aimante au niveau des structures périphé-riques de l’organisme.

Tout plaisir tend à générer une réaction chaude et aimante, car le cœur communique alors directement avec le monde extérieur et les paroles deviennent chaleureuses traduisant de généreuses pensées et exprimant une volonté pleine de compassion pour le genre humain.

Lorsque les sentiments du cœur, dirigés par une volonté de générosité, ne parviennent pas à se manifester à travers les activités sexuelles pour un ou une partenaire donné(e), on peut ressentir une impression douloureuse de frustration et d’insatisfaction de l’existence, ainsi que de l’angoisse et de la dépression.

Le plaisir spirituel dans l’extase-orgasme se traduit par une réaction d’expansion de l’énergie magnétique ou prâ-nique (bioénergétique) impliquant un déplacement de char-ge vitale allant du cœur des centres cardiaque (Anahata-chakra) et sexuel (Swadhisthana-chakra) via la tête (Sahas-rara-chakra), les mains et les pieds.

Lorsqu’un fort contact s’établit avec l’environnement, l’interaction énergétique est intense en ces points. Par exemple, lorsque deux personnes chargées d’excitation sexuelle établissent un contact par le regard, on peut sentir la charge qui passe entre les yeux. Lorsque le contact passe par les yeux, il est à peu près assuré que l’amoureuse se mettra aussitôt à mouiller sa culotte et l’amoureux à bander.

De la même façon, ce qu’on éprouve en étant touché par des mains chargées est tout à fait différent de ce qu’on éprouve en étant touché par des mains froides, sèches ou contractées. Le plus intense de tous les contacts est, bien entendu, l’interaction énergétique des rapports sexuels.

En ce domaine, le caractère et le degré de cet échange dépendent de la quantité de charge qui circule dans cette zone de contact. Lorsque les lèvres des amants se collent, les décharges érotiques sont impressionnantes, l’homme bande rapidement et la femme mouille très vite.

L’usage de la voix dans le langage amoureux est parfois essentiel, pour ne pas dire toujours essentiel, pour conduire la partenaire vers l’extase de l’orgasme. En effet, les mots sont le langage de l’âme ou de la personnalité comme le mouvement est celui du corps.

La partenaire en ce domaine ne doit pas demeurer passive et se contenter de savourer les paroles de son amant.

Il lui faut participer en jouant avec la magie des mots qui édifient l’Eros et non l’inverse. Les mots permettent d’ame-ner le conflit vers la tête, c’est-à-dire de le faire émerger dans le mental objectif et le résoudre.

La parole extériorise le conflit intérieur. Le langage amou-reux permet de désamorcer les charges agressives refoulées. Lorsque les mots de quelqu’un ne viennent que de ses lèvres, il leur manque cette simplicité et cette relation inti-me qui viennent du cœur.

C’est dans l’affection érotique la plus profonde que s’opère avec le plus de succès la transmutation des conflits inté-riorisés.

Les mots, comme produits de la seule cérébralisation, sont techniques et intellectuels et ne permettent de réaliser aucune expansion de conscience dans l’acte amoureux. Les intellectuels qui parlent bien, mais qui n’expriment par leurs paroles aucun amour de l’âme, ne sont pas capables d’infuser dans le corps de leurs partenaires l’énergie ma-gnétique spirituelle dont ils devraient être les vecteurs.

(extraits de Acharat, Le corps féminin, cet inconnu, ouvrage en instance d’édition aux éditions Pierre Benacchio, 57100 Thionville)

Lettre n°2 – Erotisme

Erotisme

Lettre n°2

Lettre n°2

aux étudiants

Le corps féminin, cet inconnu

La femme ou le corps féminin, dans lequel s’emboîte le corps masculin, est le grand mystère de la création.

La particularité de la grande race planétaire est le mystère du sexe qui permet à la conscience de l’âme de s’épanouir et de s’éveiller à la vie nouvelle de l’esprit interne. Tel est le sens de la vie humaine et de toute vie mystique.

L’humain par essence est mystique. Toutes les opérations humaines ne peuvent et ne doivent être que spirituelles. C’est par les opérations d’une alchimie spirituelle ou interne que l’Esprit humain découvrira et développera sa divinité de fils de Dieu.

L’homme se connaît par la femme et la femme se découvre par le corps de l’homme. Ainsi est la loi universelle. Les deux s’unissent symboliquement pour former les deux polarités de la même réalité universelle.

La pornographie occidentale, et même asiatique, n’est rien que du vénalisme et ne reflète conséquemment rien du véritable érotisme divin, qui devrait rimer avec spiritua-lisme et hermé-tisme. L’homme et le cosmos sont régis par la loi universelle. Cette loi ne peut être connue que par la connaissance de la Doctrine secrète ou de la Sapience sacrée que Dieu le père donne aux humains lorsqu’ils s’en montrent dignes.

Malgré la débauche d’images de corps nus, une grande partie des femmes, du moins en France, méconnaissent leur corps concernant l’anatomie de leurs parties génitales, mais aussi les règles et le plaisir sexuel féminin, selon une étude portant sur un panel de 26.439 femmes et réalisée par la marque de protections hygiéniques bio Gina. Elles ignorent jusqu’à l’existence de cet étrange organe qu’est le clitoris. L’homme n’est pas mieux loti : il possède un pénis mais n’en connaît pas la véritable signification.

On y apprend entre autres choses que les hommes con-naissent mal le corps des femmes, les enfants connaissent mal le corps des femmes, et les femmes connaissent elles aussi extrêmement mal leur propre corps. La cause de l’ignorance de cet inconnu qu’est le corps féminin serait imputée au tabou autour de la nudité et de la sexualité féminine.

On a cru à tort que l’internet ferait connaître à la femme la véritable nature de son corps, de ses pulsions libidiniques et du plaisir orgasmique. Si certaines femmes en parlent aisément, d’autres considèrent la question encore très tabhoue.

Le torse d’un homme n’est pas critiquable, mais le téton d’une femme se fait censurer sur Instagram. Le corps féminin a été pendant plus d’un demi siècle tellement sexualisé et si dénudé sur les panneaux publicitaires qu’on a fini par entièrement l’ignorer.

(extraits de Acharat, Le corps féminin, cet inconnu, ouvrage en instance d’édition aux éditions Pierre Benacchio, 57100 Thionville)

Lettre n°1 – Erotisme

Erotisme

Lettre n°1

Lettre n°1

aux étudiants

Introduction à la sexualité spiritualisée

Imbéciles mortels ! Vous croyez être maîtres d’éteindre les passions que la nature a mises dans vous. Elles sont l’ouvrage de Dieu. Vous voulez les détruire, ces passions, les restreindre à de certaines bornes. Hommes insensés ! Vous prétendez donc être de seconds créateurs plus puissants que le premier ? Ne verrez-vous jamais que tout est ce qu’il doit être, et que tout est bien ; que tout est de Dieu, rien de vous, et qu’il est aussi difficile de créer une pensée que de créer un bras ou un œil ?

Le cours de ma vie est une preuve incontestable de ces vérités.

(p. 5/6, Boyer d’Argens, Thérèse philosophe, 18ème siècle)

Hermès Trismégiste, le patriarche des alchimistes, le cla-mait déjà : ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. Il venait d’énoncer une grande vérité : la galaxie est le corps visible de la Mère divine que le christianisme nomme Saint-Esprit.

Notre personnalité est le corps galactique dans l’état microcosmique. Il est le vêtement de l’âme humaine, de la conscience pensante. Il nous appartient d’en découvrir le mystère comme le recommandait Pythagore : Homme, connais-toi toi-même, et tu connaîtras le monde et ses dieux.

L’érotisme sexuel, par ses multiples pratiques, s’efforce de connaître l’autre soi-même, car, à moins de nous voir dans un miroir, nous ne nous voyons jamais tel que nous som-mes. En vérité, nous apprenons à nous connaître par le corps de l’autre, en l’occurrence notre partenaire d’amour. C’est par le sexe que les partenaires, dans la philosophie tantrique, sont appelés à se découvrir.

Les jeux de l’amour que l’on appelle les préliminaires ne sont-ils par les moyens de la divine exploration ? La sexua-lité est le moyen de la connaissance du monde. Les baisers, les contacts, les caresses, la fellation, le cunnilingus, le coît, les pénétrations et autres pratiques érotiques, sont les ou-tils de notre propre exploration intérieure. Le monde exter-ne n’existe que de l’intérieur.

Par l’exercice de la sexualité se manifeste dans la nature humaine le “Je Suis“ global. La notion de l’esprit érotique est inséparable du plaisir sexuel en général. C’est un point essentiel du bonheur dans le couple.

Il n’y a pas le corps d’un côté en tant que vie impersonnelle et l’existence ensuite de la Psyché, de l’Âme, de la Conscience, en tant que liberté et volonté. Le corps n’a pas d’existence sans la présence de sa Psyché animatrice.

En état de sommeil ou de rêverie éveillée, le corps réagit à la vie psychique de l’Âme qui se poursuit dans la conscience astrale, maintenant son lien avec l’organisme et le cerveau.

C’est ainsi qu’une rêverie érotique peut provoquer l’éjaculation chez le garçon ou l’homme et l’orgasme chez la fille ou la femme. Ces expériences prouvent que la vie sexuelle n’est pas indépendante de la vie de l’Âme, mais qu’elle est tout entière l’expression de la conscience de l’Âme.

La sexualité, c’est donc la force du « Je Suis » de l’être tout entier, dans lequel le corps, l’âme et l’esprit ne forment qu’une seule unité. La vie sexuelle engage toute notre vie personnelle, tout le pouvoir de la créativité de la con-science, tout le désir d’expression de l’Âme, toutes les inhi-bitions ou les désinhibitions de la Personnalité.

Elle révèle la réalité de l’Âme, autant que l’état de nos passions, de notre affectivité, de notre intelligence, de nos agressivités, de nos colères, de nos peurs, de notre violence incontrôlée.

Le fait que l’instinct sexuel se manifeste dès la naissance, sous des formes diverses, prouve suffisamment l’existence d’une relation entre la Psyché, son besoin de créativité et le corps, organe d’expression de cette créativité.

S’il est vrai que la sexualité est étroitement liée à la procréation biologique, elle ne lui est pas indispensable. On ne peut toutefois douter que la vitalité sexuelle, même si elle apparaît médiocre physiquement, est une énergie constituant le fondement des créativités mentale et spirituelle.

Notre corps et toute notre vie sexuelle qui s’y attache ne fonctionnent pas comme une vulgaire machine, décompo-sable en rouages et en opérations distincts.

Il existe au contraire une étroite unité de la conscience et du corps, très claire pour la vie. Le corps humain est un être sexué, habité par la Présence d’un Moi spirituel et immortel, d’une Conscience transcendante, d’un “Je Suis“ qui est permanence de la vie une et indéfectible. Le corps est le support vibratoire du mental, de l’âme et de l’esprit.

L’amour humain est donc à la base de l’amour sexuel. Tout en concédant qu’une amitié asexuelle soit possible entre l’homme et la femme, il s’agit là néanmoins d’un domaine truffé de pièges. Souvent, ce genre d’amitié n’est qu’une compensation d’amour sexuel, dont les éléments sensuels sont refoulés dans le subconscient astral du psychisme humain. Bien entendu, tout rapport masculin-féminin ne se traduit pas par une relation sexuelle. Toutefois, le langage de la communication humaine fait très souvent référence à la sexualité.

On ne peut s’empêcher de penser “sexe“ lorsqu’un homme rencontre une femme. Les jeux de séduction émaillent tout comportement humain du plus primaire au plus intelli-gent.

Qu’on le veuille ou non le sexe conduit l’humanité.

La libido est la clef psychologique de tous les comportements humains.

Beaucoup d’hommes et de femmes s’engagent dans une relation amoureuse « platonique », cachée et spiritualisée, pour échapper aux exigences grandissantes de son instinct sexuel.

Cette forme platonique de l’amour est donc une compensation analogue à la masturbation, mais d’aspect différent. La vérité est que là où l’homme et la femme s’entretiennent de sentiments, l’élément sexuel existe.

Le philosophe viennois Otto Weininger, dans son ouvrage “Le Sexe et le Caractère“ pensait que « l’amour n’a rien de commun avec la sexualité » : « Le véritable amour est platonique ; il ressemble, dit-il, au sentiment que Dante a éprouvé pour Béatrice, ou à la vénération pour la Vierge Marie ». Ces paroles n’engagent que ce philosophe.

Ce n’est pas si sûr qu’il n’existe aucun rapport entre la sexualité et l’amour. On a vu au contraire que la sexualité, c’est l’être tout entier, les Tantras l’affirment comme une vérité universelle. Dans tout amour, il y a le désir secret d’être uni avec son (ou sa) bien-aimé(e). Le Soi personnel de chaque individu éprouve le besoin de s’arrimer au Soi d’autres individus. Là commence le jeu de la séduction humaine.

Il y a dans l’amour, qu’il soit humain ou mystique, le besoin irrépressible de fusionner avec l’être aimé. Cet amour suppose un abandon de soi dans l’être aimé, une espèce de résorption de son organe de créativité dans celui de l’autre.

À l’idée d’amour se mêle très vite l’idée de mort, l’idée de se donner, de se perdre, de s’abandonner, en vue d’une régénération de soi et d’une renaissance de l’être-té sur un autre plan d’existence.

Le Dr A. Willy disait à propos de “L’Amour Sexuel“ (page 86, Tome 1, La Sexualité, Paris, Marabout, 1964) : « Pour notre part, il nous semble que l’union des éléments physi-ques et psychiques dans l’amour du couple est le plus bel accomplissement de la nature humaine ».

La sexualité est une force du “Je Suis“ d’un homme qui l’attire vers le “Je Suis“ d’une femme, afin de réaliser ce que la nature cosmique commande de faire : l’union des polarités complémentaires. L’union de ces “Je Suis“ fait que “nous sommes“.

Le résultat de l’union des polarités contraires est toujours une créativité, pas nécessairement biologique. Lorsqu’on s’éprend d’amour pour quelqu’un, il y a aussitôt manifes-tation d’un phénomène de sympathie ou d’empathie qui nous lie à l’autre, et dans l’inconscient se trouve aussitôt exprimé le désir de rapprochement sexuel.

Néanmoins le sentiment d’union sexuelle peut être refoulé immédiatement, soit parce que l’autre n’est pas responsif à notre attente, soit en raison de l’existence des tabous de la morale qui régissent socialement les rapprochements et les rapports humains, surtout sexuels.

Le refoulement de la sexualité dans la sympathie amou-reuse ou aimante est fréquent. Il est justifié par les tabous, les interdits, le savoir-vivre, l’éducation, les limites que les règles de la convenance morale et de la bienséance sociale nous imposent de ne pas outrepasser. L’amour spontané, le “coup de foudre“, est une réalité psychique. Son existence témoigne de la puissante influence du subconscient sur la vie sexuelle.

Dans tout phénomène amoureux ou aimant, le « Je Suis » de l’amoureux ou de l’amant est projeté vers le “Je Suis“ de l’autre à l’égard duquel existe un puissant sentiment de sympathie. Ces deux « Je Suis », s’ils ont un quelconque degré d’attirance mutuelle, vont éprouver le besoin sexuel d’unité.

Citons cette magnifique pensée de Krishnamurti : « Nier la vie sexuelle est une forme de brutalité. Elle existe. Le fait est là. Quand l’action n’est qu’une répétition mécanique et non pas un mouvement libre, il n’existe plus de Libération. Quand demeure en nous cet incessant besoin de s’accom-plir, nous sommes émotionnellement en échec. Il y a blo-cage. C’est ainsi que la vie sexuelle devient notre seule issue, la seule qui ne nous vienne pas de seconde main. La sexualité peut être aussi chaste que le ciel bleu sans nuage, mais avec la pensée survient le nuage qui assombrit tout. C’est la pensée qui est le poison et non pas l’amour, ni la sexualité, ni la chasteté. Ce qui est innocent est toujours chaste, mais l’innocence n’est pas le produit de la pensée. »

La sexualité, c’est la plénitude de la Vie Une en action, de la vie transcendante de l’Âme, de la vie suprême de l’Esprit Divin.

Dans tout phénomène amoureux ou aimant, le « Je Suis » de l’amoureux ou de l’amant est projeté vers le “Je Suis“ de l’autre à l’égard duquel existe un puissant sentiment de sympathie. Ces deux « Je Suis », s’ils ont un quelconque degré d’attirance mutuelle, vont éprouver le besoin sexuel d’unité.

Citons cette magnifique pensée de Krishnamurti : « Nier la vie sexuelle est une forme de brutalité. Elle existe. Le fait est là. Quand l’action n’est qu’une répétition mécanique et non pas un mouvement libre, il n’existe plus de Libération. Quand demeure en nous cet incessant besoin de s’accom-plir, nous sommes émotionnellement en échec. Il y a blo-cage. C’est ainsi que la vie sexuelle devient notre seule issue, la seule qui ne nous vienne pas de seconde main. La sexualité peut être aussi chaste que le ciel bleu sans nuage, mais avec la pensée survient le nuage qui assombrit tout. C’est la pensée qui est le poison et non pas l’amour, ni la sexualité, ni la chasteté. Ce qui est innocent est toujours chaste, mais l’innocence n’est pas le produit de la pensée. »

La sexualité, c’est la plénitude de la Vie Une en action, de la vie transcendante de l’Âme, de la vie suprême de l’Esprit Divin.

(extraits de Acharat, Le corps féminin, cet inconnu, ouvrage en instance d’édition aux éditions Pierre Benacchio, 57100 Thionville)

Lettre n°2 – Cosmogonie

Cosmogonie

Lettre n°2

Lettre n°2

aux étudiants

Christianisme, Réincarnations et Loi de causalité universelle

Lorsque nous cherchons à résoudre l’énigme de la vie et de la mort, nous commençons par nous interroger sur les inégalités de la condition humaine.

Nous nous demandons pourquoi un homme vient au monde dans un milieu aisé, tandis qu’un autre est élevé dans la pauvreté, pourquoi un homme jouit d’une santé florissante, alors qu’un autre est malade ou infirme, pourquoi un homme a de la réussite et des occasions de se mettre en valeur, alors qu’un autre est poursuivi par la guigne, pourquoi une femme est une reine de beauté, tan-dis qu’une autre manque de grâce, pourquoi un homme a le don de la musique ou des mathématiques, alors qu’un autre est un simple d’esprit.

À toutes ces questions, ni les matérialistes ni les théologiens n’apportent de réponses satisfaisantes.

Pourtant, la loi de Réincarnation offre une réponse raisonnable à toutes les inégalités de la vie lorsqu’on l’associe à son corollaire la loi de Cause à Effet ou loi de Conséquence que Moïse enseigna aux juifs dans le concept de la “loi du talion“ (œil pour œil , dent pour dent, exil pour exil).

La loi de Conséquence est la loi de Justice dans la nature, celle que la doctrine secrète des Brahmanes enseigne depuis des millénaires sous la forme de la “Loi du Karma“.

Elle décrète que ce que l’homme sème, il le récolte, dans cette vie ou dans une autre. La loi des conséquences ou loi de causalité universelle est admise par la science rationnelle.

En ce qui concerne notre comportement envers les autres, la mort ne liquide pas plus nos dettes que le fait de changer de lieu de résidence n’efface notre passif.

La loi de réincarnation nous procurera, dans la vie suivante, un nouveau milieu. Mais nous y retrouverons d’anciens amis et d’anciens ennemis. Lesquels, éventuelle-ment, nous porteront assistance ou nous causeront des en-nuis.

Nous les reconnaîtrons d’ailleurs parfois en éprouvant en face de certaines personnes une vive sympathie ou au con-traire une profonde antipathie. Il s’écoule environ mille ans entre deux incarnations, délai qui peut varier entre 7 siècles à 13 siècles.

Et l’Esprit s’incarne tour à tour dans un corps masculin et dans un corps féminin. Mais il s’agit là d’indications générales, susceptibles d’être modifiées par la loi des conséquences.

Rien ne peut être entendu dans la Bible si l’on refuse les concepts de réincarnation (à ne pas confondre avec la résurrection et l’ascension) et de causalité.

La résurrection commence là où finit la réincarnation. Certaines personnes penseront que ni le judaïsme ni le christianisme n’ont adopté la doctrine de la réincarnation, commune à toute l’Asie.

Cela est à la fois vrai et faux. Vrai parce que, effectivement, l’enseignement judaïque exotérique n’enseigne pas cette doctrine à leurs fidèles, quoique les pharisiens étaient convaincus de l’idée que l’âme renaissait de multiples fois.

Quant au christianisme exotérique, il avait enseigné la réincarnation jusqu’au 5ème siècle de notre ère : il suffit de consulter les œuvres et la pensée de ce Père de l’Église nommé Origène. En revanche, le christianisme ésotérique a toujours enseigné la loi de réincarnation, secrètement il est vrai.

D’ailleurs, si nous lisons attentivement les Évangiles, il est facile de constater que le Christ et ses interlocuteurs connaissaient parfaitement cette loi et qu’ils y ont fait allusion à plusieurs reprises.

Au cours de l’entretien avec Nicodème, Jésus déclare :

“En vérité, je te le dis, à moins de naître de nouveau, nul ne peut voir le royaume des Cieux.“

Les traducteurs embarrassés ont écrit : “naître d’en haut“, en signalant toutefois que l’on pouvait traduire par “naître de nouveau“.

Dans le même Évangile de saint Jean, au neuvième chapitre, concernant la guérison d’un aveugle de naissance, Christ interpelle ses disciples par une question : “Qui a péché, lui ou ses parents, pour qu’il soit né aveugle ?“

Comment un homme aurait-il pu pécher avant de naître, sinon dans une vie antérieure ?

Cette éventualité, envisagée par les disciples, montre que ceux-ci connaissaient la loi de réincarnation. La réponse du Christ laisse d’ailleurs beaucoup de personnes perplexes et mérite une explication :

“Ni lui ni ses parents n’ont péché, répond-il, mais c’est pour qu’en lui soient manifestées les œuvres de Dieu.“

Ne serait-il pas étrange de rendre aveugle un homme innocent ? Dieu serait-il capricieux, distrait ou incompétent, Lui qui a engendré l’univers et réglé l’ordre du monde jusque dans les moindres détails ?

Effectivement, ni l’homme physique ni ses parents ne sont responsables de son état actuel ; en fait, en raison de fautes commises antérieurement par l’égo, le Dieu intérieur a été incapable de construire un corps sain.

La Doctrine Secrète enseigne que l’atome-permanent causal, une sorte de mémoire dure permanente, enregistre toutes les actions et actes de nos vies antérieures, ce qui a pour conséquence de générer les causes déterminantes des conditions de notre vie future.

Dans l’Évangile de Saint Matthieu (11 : 13), nous lisons :

“Tous les prophètes en effet, ainsi que la Loi, ont mené leurs prophéties jusqu’à Jean (Jean-Baptiste). Et lui, si vous voulez m’en croire, il est cet Elie qui doit revenir.“

Jean-Baptiste est donc Élie. Peut-on le dire plus clairement et simplement. Faut-il rappeler que l’Ancien Testa-ment se termine par l’annonce du retour d’Elie, le prophète.

Nous trouvons en effet à la fin du livre de Malachie la déclaration suivante :

“Voici que je vais vous envoyer Élie le prophète, avant que n’arrive mon Jour, grand et redoutable.“

Toujours au sujet d’Élie (Matthieu 17 : 11), le Christ déclare :

“Oui, Elie doit venir et tout remettre en ordre. Mais je vous le dis, Elie est déjà venu, et ils ne l’ont pas reconnu…“

Et un peu plus loin :

“Alors les disciples comprirent que ses paroles visaient Jean-Baptiste.“

On ne peut être plus clair. Ces citations, tirées de la Bible de Jérusalem, établissent sans équivoque que Jean-Baptiste est la réincarnation du prophète Élie.

Dans le livre apocryphe judéo-chrétien intitulé “L’ascension du prophète Isaïe“ (qui fait partie de la Bible canonique des chrétiens d’Éthiopie), nous pouvons lire :

“Tandis que je prophétisais comme vous l’avez entendu, je vis un ange rayonnant de gloire, mais d’une gloire qui ne ressemblait en rien à celle des (autres) anges.

Celui-là avait une gloire et une activité si grandes qu’il m’est impossible d’en donner une idée. Je le vis me prendre par la main, et je lui dis : Qui es-tu ? Quel est ton nom ? Et par quelle voie me feras-tu monter au ciel ?

Car j’avais reçu la faculté de converser avec lui. Il me répondit : lorsque je t’aurai élevé et que je t’aurai montré la vision que j’ai mission de te faire connaître, tu com-prendras aussitôt qui je suis ; mais tu ne connaîtras pas mon nom : car il te faut retourner encore dans ta prison mortelle ; mais tu apercevras la voie par laquelle je te ferai monter au ciel, car c’est bien pour cela que j’ai été envoyé vers toi.“ (Livre de l’Ascension d’Isaïe 2ème partie versets  2 à 5).

Dans ce passage, la réincarnation n’est ni une hypothèse ni une simple croyance : c’est un fait sur lequel reposent les fondations de la Sagesse des Anciens d’Israël.

En réalité, l’homme est un Esprit immortel, et le corps physique n’est qu’un instrument, un véhicule temporaire et purement illusoire dans sa temporalité, dont il se sert pour acquérir de l’expérience et développer ses pouvoirs divins. L’Esprit seul est vivant. Et lorsqu’il abandonne son corps animal au moment de la mort, ce dernier commence aussitôt à se décomposer. Le corps physique n’est pas non plus l’unique véhicule de l’homme.

L’Esprit possède d’autres corps, plus subtils, qui lui permettent de se manifester dans des mondes supérieurs entre deux incarnations. Ces mondes supérieurs sont invisibles aux yeux physiques, mais ils sont néanmoins très réels, et de plus ils sont la cause de tout ce qui existe dans notre monde matériel.

Dans son état actuel de développement, l’homme est soumis à l’action de deux grandes lois qui le guident sur le chemin de l’Évolution : 

  • La loi de Cause à Effet ;

  • La loi de Réincarnation.

Selon la mythologie grecque, il existait dans les environs de Thèbes un monstre qui désolait la région. Ce monstre était le Sphinx. Il proposait une énigme aux voyageurs qu’il rencontrait et dévorait tous ceux qui ne trouvaient pas la solution. Mais lorsqu’enfin Œdipe donna la réponse correcte, le monstre se détruisit lui-même.

Il en est ainsi de l’énigme de la mort. Celui qui ne peut apporter de réponse à cette question doit être dévoré par le monstre de la mort. Mais celui qui trouve la solution voit le monstre s’évanouir, car il découvre qu’en réalité la mort n’existe pas et qu’elle n’est que le changement d’un état à un autre.

Chacun est ce qu’il est en fonction de ce qu’il a fait. Personne ne peut avoir un corps plus parfait que celui qu’il a appris à se construire.

Devant la Loi Universelle chacun est responsable individuellement et collectivement de sa vie et de sa destinée.

Selon la loi de la réincarnation chacun reprend son évolution dans la vie prochaine au point exact où il l’a abandonné dans la vie précédente.

Des liens de causalité relient les individus et les autres règnes de la nature. Il s’ensuit que l’homme peut pécher contre les règnes minéraux, végétaux et animaux, et être comptable de ses comportements vis-à-vis de toutes les for-mes de vie.

Si la mort est une illusion, pourquoi est-elle ? Nous venons d’affirmer que la mort n’existe pas puisqu’elle est un changement d’état.

Nous appelons mort le processus par lequel l’âme se désolidarise de ses véhicules physique, éthérique, astral et mental objectif.

L’âme s’incarne dans une forme physique afin d’y développer sa conscience jusqu’à complète maturation spirituelle. Mais en elle-même, la terre n’est pas sa patrie.

La patrie de l’âme se situe sur les plans supérieurs de con-science : c’est au troisième ciel, nous dit la Doctrine Se-crète, que les “dieux“ (pitris solaires) dotèrent l’embryon d’âme d’un“corps causal permanent“.

Voilà constitué l’égo, l’individualité pensante, qui, pour les besoins de l’expérimentation dans les trois mondes inférieurs (physique, astral, mental), se construit une triple personnalité, constitué des corps mental objectif, du désir (astral/psychique) et physique/vital.

Autrement dit, l’égo s’enferme, s’emprisonne dans une triple forme dense dans la seule intention de développer sa soi-conscience divine.

Il s’ensuit que ce que nous appelons “mort“ n’est rien d’autre qu’un processus de libération de l’âme se dégageant cycliquement des liens de la matière dense. La libération de l’âme du monde triple de la forme dense est tout ce qu’il y a de plus bienfaisant.

L’immortalité physique, au sens d’une âme éternellement emprisonnée dans la cage matérielle, serait tout ce qu’il y aurait de plus tragique pour l’être-en-soi.

D’ailleurs, toutes les techniques spirituelles d’évolution que l’on appelle “yoga“ visent à élaborer ce “corps lumineux de résurrection“ afin de pouvoir un jour échapper à l’attraction du cycle des renaissances successives et ascensionner dans les sphères-plans de mondes supérieurement évolués.

C’est justement ce à quoi faisait référence le Christ lorsqu’il discourait du “royaume des cieux“.

Nous devons concevoir que notre existence sur terre est justifiée par le fait que notre planète est un monde expérimental de vie.

Pour dire les choses autrement, lorsque l’Esprit n’est plus en mesure de tirer profit des conditions de l’existence matérielle, l’archétype (le corps causal) du corps physique cesse de vibrer et, quand sa note s’éteint, la vie terrestre se termine par la mort, c’est-à-dire par le retrait de l’égo sur les plans supérieurs de conscience.

Cet événement peut nous sembler prématuré lorsqu’il survient brusquement, à la suite d’un cataclysme, d’un accident, ou encore sur un champ de bataille. En réalité, ces circonstances font partie de la destinée karmique.

Au moment de la mort, le corps éthérique vital, le corps du désir (astral) et le corps mental concret (l’Intellect analytique) abandonnent le corps physique dans un mouvement en spirale, emportant avec eux “l’énergie“ d’un atome physique. Non pas l’atome lui-même.

Max Heindel explique la situation de la façon suivante :

“Les résultats des expériences effectuées pendant la vie qui vient de finir ont été gravés sur cet atome spécial. Seul, parmi les autres atomes (qui sont sans cesse renouvelés), il est resté stable.

Et cela de vie en vie, car il a fait partie de tous les précédents corps physiques de l’Ego et il servira de noyau au corps suivant. C’est pourquoi il a reçu le nom d’Atome-germe. Pendant la vie terrestre, l’atome-germe anime le cœur. Il est situé dans le ventricule gauche de cet organe, près de la pointe.

Quand les autres véhicules ont quitté le corps physique, ils lui sont encore reliés par une corde subtile et extensible, appelée : Corde d’argent. Une extrémité de cette corde est attachée au cœur par l’atome-germe.

Le départ des forces de l’atome-germe cause l’arrêt du cœur. Mais la corde d’argent n’est pas brisée tant que le Panorama de la vie, inscrit sur l’éther réflecteur du corps vital, n’a pas été passé en revue. Ce panorama se présente à la conscience de l’homme en sens inverse. Il commence par les scènes de la vie précédant la mort et se termine à la naissance.

Au fur et à mesure qu’il se déroule, il est enregistré sur le corps du Désir. Il servira ainsi de base à l’existence qui va suivre, au Purgatoire d’abord, et ensuite au Premier Ciel.

La durée du panorama est fonction de l’endurance du corps vital. Elle peut atteindre 3 jours 1/2 au maximum. Cela correspond au temps durant lequel une personne pourrait rester éveillée en cas de besoin.

Quand le corps vital s’affaisse, l’homme se retire dans le monde du Désir.

La corde d’argent se brise, et le corps vital est abandonné à son tour. Il retourne au corps physique, mais il ne le pénètre plus comme pendant le sommeil. Il plane au-dessus et se désintègre en même temps que lui.

En réalité, le corps vital ne retourne pas entièrement au corps physique. La partie la plus subtile, comprenant l’éther lumière et l’éther réflecteur, reste avec les véhicules supérieurs et forme la base de la conscience dans le monde du Désir.)“

Max Heindel va encore plus loin en donnant les précisions suivantes :

“Toute atteinte faite au corps physique avant la rupture de la corde d’argent, telle que l’autopsie ou l’embaume-ment, sera dans une certaine mesure ressentie par le défunt.

Ce dernier sera également troublé par des conditions environnantes bouleversantes : guerre, accident ou encore lamentations bruyantes des parents. Tous ces événements dérangent l’égo et l’empêchent d’apporter une extrême attention au déroulement du panorama.

Celui-ci ne pourra s’inscrire convenablement sur le corps du Désir, et les expériences de la vie qui vient de finir seront perdues, en partie ou en totalité.

La crémation devrait être évitée pendant les 3 jours 1/2 qui suivent la mort, car elle a pour effet de causer la désintégration du corps vital, qui doit être conservé intact pendant cette période.

Nous verrons, un peu plus loin, les mesures prises par les grands Êtres qui dirigent notre évolution pour remédier aux mauvais traitements que notre ignorance inflige aux mourants et compenser les circonstances dramatiques qui entourent certains décès. Quand la corde d’argent se brise, le corps est complètement mort.“

Le même auteur dans sa “Cosmogonie des Rose-Croix“ observe :

“Au sujet de la corde d’argent, il est utile de préciser qu’elle se compose de trois segments reliant entre eux les atomes-germes des différents véhicules de l’homme.

Pendant les heures de veille, sa localisation et celle des atomes-germes est la suivante : le premier segment, constitué d’éther, relie l’atome-germe du corps physique, situé dans le cœur, à l’atome-germe du corps vital, qui se trouve dans le plexus solaire.

Le second segment, constitué de substance désir, relie l’atome-germe du corps vital à l’atome-germe du corps du Désir, situé dans le foie.

Le troisième segment, constitué de substance mentale, relie l’atome-germe du corps du Désir à celui de l’Intellect, qui se trouve dans le sinus frontal.

À la fin du panorama, la corde d’argent se brise à la jonction des deux premiers segments. L’homme abandonne la partie dense de son corps vital, c’est-à-dire les deux éthers inférieurs qui entretenaient la vie dans le corps physique. Il emporte les forces de l’atome-germe. Elles serviront de noyau au prochain corps vital. L’Ego quitte alors la région éthérique. Il se retire dans le monde du Désir, et son corps émotionnel prend la forme du corps physique abandonné.“

Après avoir effectué son Purgatoire, l’âme intègre les bonnes et les mauvaises expériences de sa vie dans la mémoire de l’atome-permanent et abandonne son “corps astral“ pour s’élever sur le plan mental objectif : là, le corps mental prend la forme que l’égo avait sur le plan terrestre et, sous la direction de “guides célestes“, l’égo travaille à transformer en qualité les expériences acquises sur terre, car celles-ci lui serviront dans les prochaines existences.

Après plusieurs siècles d’existence sur le plan mental inférieur (deuxième ciel, nommé “dévachan“ par les Théosophes), l’égo abandonne définitivement le corps mental concret et, s’élevant sur le plan causal (troisième ciel, sa patrie originelle), il entre dans ses nouvelles conditions d’existence, où il demeure généralement dans un état de sommeil, de rêve ou de totale conscience selon son degré d’éveil spirituel.“

Quand le moment propice à la réincarnation est venu, les Seigneurs de la Destinée (ou Anges de Justice), qui administrent la loi de Cause à Effet, présentent à l’égo, sous forme d’images, les grandes lignes de plusieurs vies possibles.

Ces images se déroulent à la manière d’un film de cinéma et vont du berceau à la tombe.

Certaines vies sont plus difficiles que d’autres, car elles permettraient de faire plus de progrès et de liquider une plus grande quantité de dettes contractées dans les existences antérieures.

Lorsque l’Esprit humain a fait son choix, sa destinée est définitivement scellée. Elle ne pourra pluq être changée pour la prochaine existence.

Nous devons remarquer que ce sont les actions accomplies dans le passé qui l’ont créée. La destinée “mûre“ ne comporte que les principales circonstances de l’existence.

Face aux circonstances qui lui sont imposées, l’homme est toujours libre d’agir à sa guise.

Malgré la précipitation de son karma, il est toujours en son pouvoir de se forger une nouvelle destinée, mettant en action des causes qui produiront leurs effets dans cette vie même ou dans la vie suivante.

L’Esprit humain descend ensuite dans la région de la Pensée concrète pour y construire, avec l’aide des Hiérarchies créatrices, l’archétype de son corps physique.

Cet archétype est une forme vibratoire mélodieuse, dans laquelle viendront s’insérer les particules du corps physique, qui seront attirées par l’atome-germe. Une certaine durée de vie est infusée dans l’archétype.

Max Heindel précise :

“Ensuite, l’Ego rassemble la matière qui formera son nouveau corps mental. A cet effet, l’atome-germe de ce véhicule attire, à la manière d’un aimant, une quantité et une qualité de substance déterminée.

La descente se poursuit dans le monde du Désir, où l’atome-germe du corps émotionnel attire à son tour la substance qui constituera le nouveau corps du Désir. Dans la région éthérique, l’atome-germe du corps vital entre lui aussi en activité et rassemble la matière qui formera le nouveau corps vital.

Toutefois, la construction de ce véhicule étant complexe, elle est dirigée par les Anges de Justice et leurs agents. Une partie de la substance éthérique est façonnée pour servir de moule au corps physique, le reste sera utilisé plus tard au cours de la croissance.

Ce moule éthérique est alors placé dans l’utérus de la future mère. Dans le même temps, l’atome-germe du corps physique est déposé dans la tête triangulaire d’un des spermatozoïdes de la semence du père. Sans ces deux facteurs, toute union sexuelle est obligatoirement stérile.

Environ 18 à 21 jours après la fécondation de l’ovule, l’égo pénètre à l’intérieur du corps maternel et participe à la construction de son corps physique jusqu’à la naissance de l’enfant.“

Il ajoute :

“Après la naissance, le corps physique doit encore grandir pendant un certain nombre d’années afin de devenir un instrument parfaitement utilisable. Cette croissance va de pair avec le développement des autres véhicules de l’Ego qui, eux aussi, passent par une période de gestation et de mûrissement. Le corps vital, le corps du Désir et l’Intellect sont présents chez le petit enfant, mais aucune de leurs facultés positives n’est active.

Les véhicules subtils de la planète leurs servent de matrice protectrice et remplissent à leur égard les mêmes fonctions que le corps maternel accomplissait pour le corps physique. Le corps vital “naît” (en se libérant du corps vital planétaire) à l’âge de 7 ans environ. Ce qui a généralement pour effet d’accélérer la croissance.

L’enfant peut maintenant être instruit. Mais il doit s’en remettre à l’autorité de ses éducateurs, car la raison lui fait encore défaut. Vers 14 ans, le corps du Désir naît à son tour. Il freine la croissance, et la force vitale ainsi inemployée devient disponible pour la reproduction.

C’est la puberté ! L’adolescent montre maintenant sa véritable nature. Il lui est souvent difficile de contrôler son corps émotionnel, car l’Intellect qui doit servir de frein n’est pas encore né. L’éducation morale qu’il aura reçue et les conseils de ses parents et instructeurs l’aideront à traverser cette période critique.

Finalement, le jeune homme atteint sa majorité au moment de la naissance de l’Intellect, vers 21 ans. L’Ego dis-pose alors de tous ses véhicules, et il est désormais capable d’assumer ses responsabilités dans la Grande Ecole de l’existence physique.“

Ce que nous sommes, ce que nous avons, toutes nos qua-lités sont le résultat de notre travail dans le passé. L’absence de certains dons physiques, moraux ou mentaux résulte de notre négligence antérieure.

Mais si nous cherchons à nous améliorer, les opportunités de la vie nous permettront d’acquérir, dans l’avenir, les facultés qui nous manquent aujourd’hui.

La doctrine secrète des Pythagoriciens comme celles des Platoniciens, des Esséniens, des Thérapeutes et bien en-tendu celle des Rose-Croix alchimistes enseigne que la vie est une école d’apprentissage, un centre d’entraînement.

Elle nous dispense des leçons destinées à nous faire avancer sur le chemin de l’Evolution. L’Esprit Humain possède en lui, à l’état latent, toutes les qualités “de notre Père qui est dans les Cieux“.

Et c’est grâce à l’expérience acquise sur cette Terre, dans des corps physiques de plus en plus perfectionnés, que nous transformons lentement nos qualités latentes en pouvoirs effectifs.

 

Pour plus de détails,

voyez l’ouvrage en

5 tomes :

Piotr Phénix

Pèlerinage aux coulisses de la vie

(Éditions Pierre Benacchio, 2021)

(tirage limité)

Commande sur ce site

 

 

 

Pèlerinage aux Coulisses de la vie

TOME 1

 

Vivre n’est pas vivre. Mourir n’est pas mourir.

L’homme n’est qu’une apparence d’homme.

Derrière l’humain se tient l’éternelle Réalité.

L’auteur vous convie à un

Pèlerinage aux coulisses de la vie,

jusqu’aux confins des Frontières de l’Inconnu.

La personnalité meurt, non l’esprit qui l’a engendré

aux fins d’un pèlerinage dans les mondes

de la matière dense et changeante.

Parmi les thèmes abordés dans ce Tome 1 :

Attitude face à la mort – la matière et l’esprit

les quatre plans vibratoires

avant et après la mort du corps physique dense

témoignages de mort temporaire

naissance et réincarnation des égos

les demeures célestes : vie céleste des enfants décédés prématurément

La vie de l’âme dans les trois cieux (le DEVACHAN)

les états modifiés de conscience :

le danger des pratiques magiques et de la médiumnité

l’organisation cosmique : le triple logos

le logos solaire et ses trois aspects

la hiérarchie initiatique des Pléiades

Les processus de reproduction du corps physique pour abriter l’égo ou l’âme humaine

relation de l’humanité avec le système solaire de Sirius

les multiples races humanoïdes extraterrestres

origine extraterrestre des hermaphrodites et des androgynes

vie sexuelle des mystiques véritables – la sexualité sacrée dans l’univers

Qui sont les Pléiadiens et comment participent-ils à l’évolution de l’humanité ?

La physiognomie de Lavater (18ème siècle) et les caractères humains

Relations de l’humanité avec les autres constellations proches :

Alpha du Centaure, Sirius, la grande et la petite Ourse, l’Étoile Polaire

Krishna, le dieu humain, extraterrestre à la peau bleu-violet

Comment les diverses races humaines naquirent de

l’intervention des porteurs de vie extraterrestres ?

Qu’est-ce que les soucoupes volantes ?

Pèlerinage aux Coulisses de la vie

TOME 2

L’univers infini est peuplé d’êtres

vivant dans des états de conscience fort

différents dont l’homme n’est qu’une variable temporaire et temporelle.

Il faut remonter aux sources de la vie

pour comprendre qui est l’homme,

comment il naît, meurt, renaît un grand nombre de fois,

avant de ressusciter

dans le royaume céleste de la vie éternelle,

ainsi que l’a promis Christ,

Seigneur souverain absolu de notre galaxie locale.

La résurrection commence là où finit

la réincarnation.

Parmi les thèmes abordés dans ce Tome 2 :

Les anges et les neuf chœurs angéliques, manifestations du Saint-Esprit et de la Mère divine :

anges, archanges, principautés, vertus, puissances, dominations, trônes et chérubins

Leurs rôles et leurs missions dans l’économie de la nature

La vision du monde selon les anges

Le gouvernement planétaire par les archanges

Toutes les planètes et les satellites sont habités

Les habitants des autres Terres de notre système solaire – les esprits supérieurs de

notre planète, de notre Lune, de Saturne, de Jupiter, de Mars, de Vénus, de Mercure

physionomie des esprits supérieurs vivant sur les

plans supérieurs de conscience des planètes et des soleils

La pneumatologie ou la science des esprits : la science des miracles

les séraphins-gardiens de la destinée

Psychurgie, théurgie et thaumaturgie

Le corps causal immortel : sa transmutation en corps lumineux de résurrection

au jour du jugement dernier

Comment s’opère la mort du vieil homme et la résurrection céleste ?

L’entrée dans le royaume des cieux

La doctrine des renaissances successives

Les régions de l’au-delà

Comment s’effectue le processus de la réincarnation ?

L’oubli des vies antérieures

L’initiation : le sentier de la sagesse

Les leçons de Sophiel de Philous : le grand secret de l’existence

La conscience suprême

Pèlerinage aux Coulisses de la vie

TOME 3

Dans ce tome 3 l’auteur poursuit son pèlerinage dans

les méandres des mondes post-mortem.

Il vous indique ce qu’il advient de l’égo

après la destruction du corps de chair.

Le voyage aux frontières de l’inconnu se poursuit.

Le voyage de la connaissance (suite)

Parmi les thèmes abordés :

Le monde astral et le corps du désir

Les régions inférieures de l’astral : l’enfer (l’Hadès) ou le purgatoire

Les esprits de la nature : daïmons, fées, elfes, nains, naïades,

sylphes, djinns, borrowers, satyres, faunes, kobolds, lutins, génies…

Les 7 classes d’élémentaux

La quatrième région limitrophe du monde astral et les anges du karma

Les coques astrales des défunts désincarnés

Le monde de la pensée : les régions inférieures (le deuxième ciel),

les régions supérieures (le troisième ciel ou

le plan causal : patrie de naissance de l’âme ou le petit paradis céleste)

Les habitants du monde astral ou du désir

Les habitants du monde de la pensée

Se libérer du karma qui enchaîne : les trois causes génératrices de karma

Les différents types de karma (Kriyamana-karma, Prarabdha-karma,

Sanchita-karma, les autres formes de karma)

Le karma collectif – les conditions de la neutralisation du karma

Karma et astrologie – La loi du sacrifice

La résurrection de l’âme et son ascension commencent

au-delà du Monde de la pensée, là où finit

le cycle des réincarnations

Pèlerinage aux Coulisses de la vie

TOME 4

Dans ce Tome 4, l’auteur vous emmène

aux confins du pèlerinage terrestre

Parmi les thèmes abordés :

Le voyage de la connaissance (suite)

Christianisme, Réincarnations et Loi de causalité universelle

Formes-pensées cosmiques et archétypes de la vie

Importance de la sexualité dans l’humanité terrienne

Usage dangereux des formes-pensées

dans l’érotisme et la sorcellerie

Les origines de la sexualité tantrique : le Kamasutra

La sexualité égypto-atlante antique :

les origines de la sexualité judéo-chrétienne

Les hauts mystères tibéto-himalayens :

le Bardo Thödol et le Livre des Morts tibétains,

le secret du yoga tantrico-tibétains

Traité de

La Voix du Silence

livre de l’instructeur spirituel à l’usage des disciples élus

(commentaire inédit de l’auteur)

L’évolution de la connaissance cachée :

le sentier de l’initiation, la  voie du service mondial,

la lutte dans l’instant éphémère

Lettre n°1 – Cosmogonie

Cosmogonie

Lettre n°1

Lettre n°1

aux étudiants

Le Bien et le Mal : le message du CHRIST

« Christ n’est pas un homme. C’est Dieu fait Homme. C’est le Créateur même de notre univers. On a que trop tendance à faire une confusion entre le christianisme historique, notamment latin, influencé par la pensée helléno-hébraïque d’un saint Paul, lui-même influencé par le mithracisme aryen de l’Hindouisme ou du Brahmanisme, qui a fondé une religion à propos de Jésus, mais non une religion à propos de Christ.

Christ est une entité cosmique qui transcende toutes les religions. Il n’a pas voulu le christianisme tel que certains disciples l’ont voulu. La religion universelle du Christ est d’abord et avant tout une philosophie d’amour et de vérité selon laquelle il n’y a pas de plus grande religion que la vérité de l’amour et l’amour de la vérité. Elle n’a pas lieu de s’imposer par la force ou le prosélytisme ou n’importe quelle forme de militantisme idéologique. Elle s’impose d’elle-même par la grâce du Père céleste qui descend dans le cœur de tous les hommes de bonne volonté, investis par le « désir d’être » et non par le « désir d’avoir ».

En cela seul elle se distingue radicalement du judaïsme et de l’islamisme qui prônent l’élitisme racial, la supériorité « théologique », la conquête du monde et la mort des chrétiens ou, pour le moins, leur soumission à l’ordre mondial que les partisans du judaïsme ultra-orthodoxe et du coranisme entendent imposer au fil du temps. Dans le christianisme, il n’a jamais été question d’un quelconque racisme ou d’une quelconque ségrégation appuyés par des appels aux meurtres comme le mentionnent l’ancien Talmud de Babylone, le Coran, les hadiths et la biographie de Mahomet.

Il n’a donc jamais été dans l’intention de Christ de diffuser sa doctrine universelle par la violence et l’épée. Il suffit de lire attentivement les évangiles pour s’en rendre compte immédiatement. Ce que les hommes ont ensuite fait du christianisme est une autre affaire qui entre souvent dans le domaine du temporel et de l’humain. Si les hommes sont faillibles, le Christ, créateur universel, lui, ne l’est pas car il ne fait que ce que le Père céleste veut, et la Volonté du Père traduit la perfection infinie du Paradis absolu central.

Les imperfections de la condition humaine ne sont pas de son fait, mais celui de « forces adverses cosmiques » tombées autrefois dans la rébellion luciférienne et satanique, entraînant l’humanité dans la perversion. Ce que mentionne d’ailleurs le mythe d’Adam et Eve, tentés par le « serpent luciférien » dans le Paradis terrestre du premier Eden, situé dans ce royaume que beaucoup connaissent aujourd’hui sous le nom d’Agartha.

Là est le péché originel de l’humanité. C’est celui d’une humanité qui s’est laissé griser par les paroles trompeuses de Satan, bras droit de Lucifer. Ce même Satan, dont les jours sont comptés, se manifeste par l’activisme secret des Illuminatis.

Les disciples de la lumière du véritable Nouveau Monde auront à combattre les disciples de l’Ordre Noir s’évertuant à instaurer le règne du Nouvel Ordre Mondial comme il est programmé dans les Protocoles des pseudo-sages de Sion.

Des hommes et des femmes de toutes nations, de toutes races, de toutes ethnies, blancs, jaunes, bruns, noirs, aryens, non-aryens, arabes, juifs, pourvu qu’ils soient de bonne volonté, acceptant le message d’amour et de sagesse, pourront rejoindre et former le corps évangélique planétaire des disciples du Christ. Il s’agit de ne pas tomber dans les pièges tendus par l’Antique Serpent et les doctrines fallacieuses de tous ses faux-prophètes qui sont aujourd’hui légions sur la terre.

Le Christ a promis qu’il reviendrait sur les nuées. C’est à ses disciples du Nouveau Monde qu’il s’adressera par le cœur et non par le mental objectif. Quant à l’heure, au jour, au mois et à l’année, de son retour, personne ne le sait, pas même les anges ou ses missionnés terrestres. Bien malin qui pourra donner la date de sa venue.

À chaque instant, l’humanité doit être prête. Il viendra à l’improviste, au moment où les « fils de l’ombre » tenteront de continuer la corruption de la pensée humaine.

Christ est Seigneur et Roi de son univers local. Il est le Souverain absolu et incontestable de son royaume dont la nature énergétique le fait exister sur sept niveaux de sphères-plans de conscience. Il est le Chef Suprême de la Voie Lactée qui est un univers local parmi des centaines de milliers d’autres univers locaux répartis en supergalaxies comportant des milliards de planètes habitées ou habitables, réparties en sept superunivers hypergalactiques.

Les systèmes solaires sont administrés par groupe de 1.000 soleils, ensemble constituant une seule unité au sein d’une constellation faisant partie d’autres constellations, formant des secteurs spatio-temporels mineurs, lesquels s’assemblent en secteurs majeurs spatio-temporels, lesquels forment un univers local. Nous simplifions.

À la tête de chaque univers local se trouve un Souverain Créateur. Le nôtre nous est connu sous le nom de Christ-Michaël. Il est le Souverain absolu de la Confédération Galactique des Nations Stellaires de son univers local. Dans le passé, avant sa chute, Lucifer fut l’administrateur en chef de notre constellation dont fait partie le système local de Satania comportant mille systèmes solaires dont notre système solaire avec notre planète d’habitat humain.

Le système de Satania fut gouverné administrativement et localement par Satan, bras droit de Lucifer. La planète Terre fut administrativement gouvernée voici 500.000 ans par le prince planétaire Galigastia.

Comme le mentionne l’Apocalypse de saint Jean, en tombant dans le piège de l’orgueil, Lucifer entraîna dans sa chute Satan, le prince planétaire Galigastia, un tiers des anges célestes, une partie des retardataires de notre précédent manvantara solaire et de plusieurs autres systèmes solaires dont font partie ceux que nous nommons parfois sur Terre les « esprits lucifériens martiens » ou encore « esprits reptiliens » qui furent voués à confiner leur existence sur la planète Mars et la face sombre de la Lune actuelle.

Notre Terre eut plusieurs satellites. Chacun avait en son temps sa fonction spécifique. Les planètes ou les systèmes solaires, tombés dans l’insurrection luciférienne, ne siègent plus en tant que membres de la Confédération Galactique des Nations Stellaires.

Bien que les responsables « lucifériens » et « sataniques » furent définitivement jugés devant le Tribunal céleste, la miséricorde du Christ leur offrit une dernière opportunité pour être sauvés.

C’est pourquoi ils disposent jusqu’à ce jour d’une certaine liberté d’action sur des planètes telles que Mars, la Terre et son satellite lunaire. Les « reptiliens » s’efforcent toujours de « tenter » la partie de l’humanité demeurée fidèle à Christ. Ils sont à l’origine de la misère humaine. Il leur est facile de posséder les personnalités sans spiritualité et à l’esprit matérialiste. Comme le mentionne le Livre de Job, l’Éternel a permis aux « Shatans » de devenir les tentateurs de l’homme.

L’humanité doit cependant savoir qu’elle a été dotée d’un certain libre-arbitre. Il lui est possible par conséquent de réagir pleinement contre ces forces du sombre séjour et d’acquérir le statut spirituel de ceux qui appartiennent aux « nations avancées de l’espace-temps ».

Le pouvoir du « serpent tentateur », qu’il agisse à travers les Illuminatis, désormais totalement démasqués ou à travers les influences sournoises des « esprits sataniques et lucifériens », ne peut exercer aucune influence sur l’homme de bonne volonté.

La vie est partout dans tous les univers. Le firmament est peuplé d’une multitude infinie de populations, les unes divines et spirituelles dès l’origine, comme celles que l’on nomme les chœurs angéliques, les couples adamiques, les architectes et les porteurs de vie, les directeurs de pouvoir, les recteurs de la gravité universelle, etc., les autres humaines, parmi lesquelles nombreuses sont les populations galactiques infiniment plus avancées que l’humanité de la planète Terre ou Gaya.

Selon les principes qui unissent inconditionnellement tous les membres humains divinisés admis à siéger dans le royaume céleste, au sein de la Confédération Galactique des Nations Stellaires ou des Frères Cosmiques de Lumière, toutes les Nations de l’espace-temps se doivent une aide inconditionnelle et les richesses de l’univers sont à la portée de toutes les entités de bonne volonté.

Tout cela n’est pas de la science-fiction, mais la réalité actuelle régnant dans toute la Voie Lactée d’un bout à l’autre de l’immense hypergalaxie. La fraternité et l’entraide sont choses communes pour tous ceux qui, parmi les humains, ont développé leur conscience spirituelle d’enfants ou de fils de Dieu.

La filialité divine est le résultat de la reconnaissance de la paternité du Christ, car « qui a vu le Christ, a vu Dieu le Père paradisiaque ».

Lorsqu’une humanité atteint un certain degré dans l’éveil de sa conscience, elle s’ancre définitivement dans la lumière. Par télédiffusions universelles, il lui est permis d’entrer en contact avec des civilisations plus avancées de l’espace-temps. Elle bénéficie alors de la pleine collaboration des personnalités divines et spirituelles du royaume céleste. Elle obtient ainsi l’aide inestimable et le concours précieux des humanités technologiquement et spirituellement plus évoluées.

Cette aide céleste ne peut lui être accordée aussi longtemps que la rébellion n’a pas été définitivement mâtée sur Terre. L’humanité doit élever son niveau spirituel de conscience.

La spiritualisation de l’auto-conscience est le résultat de l’accroissement de sa fréquence vibratoire qui va de pair avec la croissance de l’âme et l’expansion de conscience qui l’accompagne nécessairement.

Aucun pouvoir spirituel ne peut lui être accordé aussi longtemps qu’elle n’aura pas développé son esprit d’absolue non-nuisance. Nous en sommes encore bien loin.

L’incapacité de nuire implique le respect de la nature humaine, du règne animal et de l’ensemble de la nature avec ses éco-systèmes variés.

Le développement technologique n’assure pas celui de la conscience spirituelle. Les technologies terrestres ne sont pour l’heure que d’ordre extrêmement primitif.

L’humanité ancrée dans la lumière spirituelle devient incapable d’une quelconque nuisance et peut dès lors espérer positivement entrer en contact suivi avec d’autres civilisations de l’espace-temps.

Pour l’heure, elle se trouve en quarantaine spirituelle. Elle est séparée des « nations galactiques ». Le signal annonçant la cessation de la séparativité de l’humanité terrestre avec les autres nations spatio-temporelles ne peut venir que du Christ lui-même.

En rétablissant les télédiffusions universelles et intragalactiques, elle reprendra contact en temps opportun avec les Frères de Lumière stationnés dans le royaume de l’Agartha.

Elle établira peu à peu le contact fraternel avec les Supérieurs de la constellation de Sirius et, enfin, pourra être admis pour la première fois, et définitivement, dans l’alliance de milliers de civilisations avancées de notre Voie Lactée.

Les membres de cette Fraternité Galactique sont tous de nature pacifique et, naturellement, cette Fédération d’hommes-dieux est fondée sur les principes de coopération et d’échanges harmonieux, en accord avec les lois universelles.

La situation dans le monde terrestre est dramatique pour toutes les raisons que nous avons évoquées, liées d’une part au diktat des Illuminatis et d’autre part à l’égoïsme d’une bonne partie de l’humanité matérialiste.

Les premiers doivent renoncer définitivement à leur quête de l’or et du pouvoir, restituer l’argent volé aux nations de la Terre et se mettre inconditionnellement au service de tous sans aucune contrepartie;

les seconds doivent s’efforcer d’élever leur niveau de conscience morale, cesser de satisfaire leur soif de consommation et de développer le sens du service mutuel.

Cette Fédération Galactique Fraternelle est liée par un code d’honneur et sa juridiction s’étend à l’ensemble de la Voie Lactée. Toute contravention à ce code d’honneur équivaut à renier le Christ créateur, à rejeter la loi d’amour universel et à lui retirer toute allégeance à l’ordre cosmique dont Christ est le garant en sa qualité de Père universel.

Comme toute institution fraternelle, elle comprend des organes décisionnels législatifs, exécutifs et judiciaires de nature confraternelle. Le libre-arbitre est la loi pour toutes les Nations cosmiques. Chacune, en fonction de ses particularités, possède le droit de s’exprimer librement, sans crainte de ne pouvoir dire ce qui doit être impérativement exprimé si l’ordre cosmique se trouve en cause.

L’évolution spirituelle implique la liberté de pensée. Elle n’est pas la manifestation de la pensée unique. Les représentants des civilisations, membres du Conseil Fédératif Cosmique, s’expriment librement sur tous les sujets se rapportant à la vie galactique commune.

Chaque Conseil tient compte du niveau de conscience de ses membres-nations. Il s’ensuit que les débats sont pacifiques et ne débouchent jamais sur des disputes violentes ou des discordes grégaires. Les civilisations galactiques se doivent mutuellement respect et entraide. Les consensus sont donc aisés.

Dans la mesure où les formules génétiques se trouvent appropriées, le brassage des ethnies, d’origines et de dimensions d’existence différente n’engendre jamais aucun rejet et ne provoque aucun incident diplomatique. Les barrières culturelles sont transcendées.

Tous parlent le même langage universel et exprime les mêmes aspirations lorsque les civilisations se trouvent ancrées dans la lumière de l’esprit. La règle de l’harmonie et de l’amour est la diversité dans la complémentarité.

Cette Fédération Galactique ne sert pas les intérêts spécifiques d’une planète ou d’un système ou d’autres civilisations intragalactiques en particulier. Toutes les civilisations sont unies par le même dénominateur commun : l’amour, l’échange, le service, le partage, la gratuité.

Aucune civilisation, membre du Conseil de la Confédération, ne cherche à tirer profit d’une autre civilisation. Ainsi que le disait Krishna dans la Bhagavad-Gîta, un avatar du Divin envoyé sur notre Terre : « Celui qui reçoit sans donner est un voleur ».

L’application universelle du principe de l’amour implique nécessairement l’échange, la mutualité, l’égalité et donc la justice et la bonté. La beauté réside dans la manifestation des attributs civilisateurs. Les civilisations douteuses et rebelles, qui ne s’engagent pas dans des accords mutuels, ne sauraient faire partie de la Fédération Galactique.

Les civilisations fort avancées vivent dans un espace-temps dont la fréquence vibratoire les situent dans ce que l’ésotérisme rosicrucien ou théosophique nomme les Mondes de la Pensée et du Désir, c’est-à-dire les plans-sphères spatio-temporels astro-mentals. Elles sont donc habituellement invisibles aux civilisations vivant dans le Monde Physique.

Elles disposent, de ce fait, d’un champ d’action spatio-temporel infiniment plus vaste, ce qui leur permet de construire aisément des stations orbitales géantes, soit en forme de tubes, soit en forme de toroïdes, qui constituent en même temps d’immenses « vaisseaux-mères » pouvant avoir un diamètre et une hauteur de plusieurs centaines de kilomètres.

À l’intérieur de ces immenses vaisseaux, élaborés par la pensée créatrice, sont reconstitués des paysages artificiels où la technologie se marie parfaitement avec l’éco-système vital, comportant des habitations, des terres, des cours d’eau, des nuages, un soleil artificiel, une atmosphère, des centres d’études, des usines, et bien entendu des bases pouvant abriter, au cours des longs déplacements spatio-temporels, un grand nombre de flottilles d’aéronefs individuels.

Tout cela paraît incroyable. Mais l’étudiant instruit des structures occultes de l’univers doit se souvenir que les matières éthérique et astro-mentale se travaillent et se moulent avec une facilité déconcertante pour les hommes-dieux collaborant avec les « ordres angéliques » (les dévas) et les « puissances élémentales ». Ces « hommes spiritualisés » emploient sans difficulté les facultés de la pensée créatrice.

Il s’ensuit que ces immenses vaisseaux-stations intragalactiques ne sont pas des engins de nature matérielle au sens où nous entendons la « substance matérielle ».

Ce sont des aéronefs littéralement vivants, pouvant se propulser dans l’espace-temps à des vitesses supra et super-luminiques avec des accélérations équivalentes à plusieurs milliers de jets, ce que la science physique sur notre planète ne saurait encore concevoir.

Les nations fort avancées, à quelques exceptions près, ne sont pas autorisées de se montrer à l’humanité. Une telle manifestation serait un facteur de perturbation pour le monde humain et une violation des lois universelles.

Les astronefs individuels ne se rendent visibles au regard humain que si la situation l’exige. Tout vaisseau cosmique individuel dispose d’une certaine autonomie énergétique lors de ses déplacements, mais demeure généralement toujours attaché à son vaisseau-mère.

Ce n’est pas sans raison qu’on les nomme « vaisseaux de lumière » car ils vibrent à très haute fréquence. Chevauchant plusieurs dimensions spatio-temporelles, ils rayonnent sur le plan éthérique une lumière extrêmement vive qui constitue leur aura. Chaque vaisseau-mère étant une substance vivante possède une conscience « élémentale » qui lui est spécifique.

Les vaisseaux-mères sont de véritables îles ou cités flottantes. Ils disposent de toutes les commodités et moyens logistiques qu’une civilisation dispose au sol. Ce ne sont pas de simples machines même complexes.

Ce sont véritablement des consciences vivantes et dynamiques très évoluées, capables d’abriter en leur matrice des éco-systèmes planétaires entiers comportant l’évolution des règnes élémentaux, minéraux, végétaux, animaux, humains et supra-humains.

À très basse fréquence vibratoire, les parois astro-mentales des vaisseaux-mères se matérialisent et s’objectivent au regard humain physique dense. Les paysages y sont merveilleux et d’une harmonie parfaite entre technologie et nature. Certains terriens « initiés » de haut grade spirituel sont parfois autorisés à venir les visiter. Ils en gardent au réveil un souvenir impérissable. Ils peuvent même s’en trouver puissamment inspirés.

Naturellement, les civilisations qui n’appartiennent pas à la Confédération Cosmique des Frères de Lumière disposent aussi d’une haute technologie comparée à celle des humains. Mais celle-ci est infiniment moins avancée que celle dont disposent les Nations-membres de la Fédération Galactique. C’est le cas pour les vaisseaux galactiques dont se servent les « esprits lucifériens, sataniques, martiens, lunaires ou reptiliens ».

Les nations galactiques rebelles ont intérêt à garder la réserve dans leur volonté de tester le genre humain, car les « vaisseaux bienfaiteurs » sont prêts à intervenir à tout moment pour les anéantir ou les neutraliser si besoin est.

Ainsi, la Lune et Mars furent et font toujours l’objet d’une étroite surveillance par les flottilles amicales qui patrouillent les espaces interplanétaires. Il ne sera pas permis aux hommes de conquérir les territoires lunaire et martien. S’ils le font, ce sera à leur risque et péril. Ils ont déjà été avertis.

Les aéronefs appartenant aux « reptiliens » sont généralement grossiers, peu lumineux et rudimentaires. Les âmes terrestres évoluées doivent apprendre à les différencier.

La Confraternité des Frères Cosmiques n’a pas pour mission d’interférer avec les évolutions planétaires ni même d’embarquer des groupes humains sélectionnés pour un voyage sans retour.

Leur charte de solidarité et de non-ingérence dans les affaires évolutives d’un royaume planétaire l’interdit. Les membres embarqués dans ces vaisseaux-mères sont principalement missionnés pour rehausser le niveau spirituel de la conscience planétaire, tous règnes confondus. Les humains n’ayant pas atteint un degré élevé de conscience spirituelle n’y sont jamais admis.

Le but de cette charte est de favoriser la maturation spirituelle des jeunes humanités et leur intégration dans l’égrégore universel du Christ, Souverain des mondes intragalactiques.

La Confédération Galactique des Nations cosmiques accomplit des missions fort variées dans l’espace-temps multi-dimensionnel : spirituelle, diplomatique, scientifique, philosophique, etc.

Globalement et concrètement, elle doit porter une assistance spirituelle à l’évolution des jeunes humanités planétaires. Pour les civilisations, plus avancées, qui ne sont pas en quarantaine spirituelle, demeurées fidèles à leur serment d’allégeance christique, elle assure l’échange de technologie à énergie libre entre humanités ancrées dans la lumière spirituelle et incapables de nuisance.

Ces technologies fort avancées, dont ne peut pour l’instant pleinement profiter l’humanité de Gaya, disposent d’un système d’approvisionnement pratiquement illimité. Elles sont en outre totalement non-polluantes et disponibles gratuitement pour tous.

Elles obligent à un changement radical et définitif des styles de vie à la mode. Ailleurs dans notre cosmos, on ne vit pas de la même façon que sur Terre lorsque l’âme est appelée à exister sur les plans astro-mentaux supérieurs de vie.

Les technologies qui sont offertes par la Confédération Cosmique à une humanité qui progresse spirituellement sont et doivent toujours être en rapport avec le niveau exact de conscience générale de l’humanité.

Il est dangereux d’offrir à l’humanité une technologie trop avancée si sa conscience demeure primaire et ne progresse pas parallèlement. La gratuité d’une l’énergie pratiquement illimitée implique l’absence totale d’égoïsme individuel et collectif. Elle permet d’établir une saine économie. Dans ces conditions, de grandes avancées s’opèrent dans le domaine de la médecine transcendantale.

Le changement de niveau de conscience et l’élévation de la fréquence vibratoire de l’âme transparaissent de manière patente dans l’architecture urbaine.

L’humanité qui mène un mode spirituel d’existence découvre des structures harmonieuses de forme. De plus, la technologie sophistiquée, travaillant avec les forces vivantes de la nature, permet de nettoyer l’environnement planétaire en un temps record.

Les objectifs et les termes de la culture s’en trouvent modifiés et complètement bouleversés. Les priorités humaines changent au profit des valeurs éternelles et impérissables.

La Confédération Galactique partage sans intrusion son savoir-faire en matière de management de tous les départements de la vie avec tous les peuples de la galaxie. Cela ne signifie pas uniformité dans la façon de vivre, mais complémentarité et richesse.

L’union des nations cosmiques est bénéfique à l’ensemble de l’univers local et du superunivers. Les nations bénéficiaires de l’aide que peuvent apporter les Frères de Lumière ne sont pas soumises à des contraintes et à des obligations particulières à leur égard. Ils n’exigent qu’on les honore tels des dieux.

L’aide cosmique est apportée sans contrainte de réciprocité appelée « dette ». La seule chose demandée est le respect et l’application de la loi universelle d’amour qui est prospérité et abondance pour tous.

La Confédération Cosmique n’agit pas comme un Sauveur ou un Messie. L’humanité doit se sauver elle-même. L’aide nécessaire lui est déjà offerte. Elle n’a qu’une seule chose à faire : saisir la main tendue de la Providence.

Elle n’est pas autorisée à s’immiscer dans les affaires d’une civilisation sans le consentement de celle-ci. Les serviteurs cosmiques n’agissent jamais sans l’approbation du Seigneur Christ et des « esprits angéliques » qui constituent le prolongement de l’activité de la Mère Divine.

Elle n’intervient qu’après avoir pris elle-même conseil auprès des « esprits angéliques » appartenant à des ordres divers de service. Elle ne peut résoudre du jour au lendemain les problèmes humains qui résultent de causes profondes et lointaines.

L’homme, collectivement et individuellement, est responsable de ses actes et pensées. Il en assume karmiquement les conséquences. Cependant, la Providence n’étant pas un vain mot, il peut bénéficier de facteurs atténuants et du principe de compensation qui permet de neutraliser les mauvaises causes par de bonnes actions.

Son but est de soutenir les efforts d’évolution du genre humain dans n’importe quel secteur de l’univers local, en se conformant toujours aux injonctions du Christ, Souverain absolu de la Voie Lactée.

Les membres de la Confraternité Cosmique possèdent tous le statut d’enfants ou de fils de Dieu. Ce sont des dieux-hommes comme sont appelés à le devenir tous les hommes de la planète Gaya.

Il faut se rappeler ce que Christ, au temps de son incarnation dans le corps de Jésus de Nazareth, rappelait fréquemment à ses disciples et aux pharisiens eux-mêmes :

« Ne savez-vous pas que vous êtes des “dieux“ », ainsi qu’il est écrit dans les psaumes, et aussi conformément à ce que Moïse a déclaré : “L’homme a été fait à l’image et à la ressemblance de Dieu. “

En conséquence de quoi, les Frères de Lumière ne réclament de la part des humains ni adoration ni vénération, mais simplement respect et dignité dans la voie du service cosmique.

À plus forte raison, les hommes doivent cesser de s’adonner au culte de la personnalité rendu à leurs leaders politiques, éducatifs ou religieux. Les sages ou les maîtres de sagesse ne réclament aucun culte.

Ils font simplement partie d’une organisation-parente des étoiles, désireuse d’entretenir et de maintenir des rapports fraternels avec ses parents de la Terre.

Aucun homme, aucun illuminati, aucun esprit reptilien, n’a le droit d’exiger de tout homme une marque quelconque de soumission et encore moins d’adoration ou de vénération.

Les Frères Cosmiques font ce qui est nécessaire pour protéger l’humanité contre les agressions extérieures, les effets des éruptions solaires, les catastrophes naturelles, les conflits nucléaires et tous types de pollution jusqu’à ce qu’elle soit elle-même en mesure de se protéger efficacement.

C’est pourquoi les Frères de Lumière ont intensifié comme jamais leur intervention au cours du siècle qui vient de s’écouler.

Ils s’efforcent d’aider les hommes de bonne volonté à élever leur propre fréquence vibratoire, à dilater leur conscience dans le sens de l’infini et à leur faire prendre pleinement conscience des facultés créatrices qui sommeillent dans leur âme comme dans chaque être.

Tous les êtres, les hommes comme les animaux, les pierres comme les plantes, les anges comme les élémentaux et les esprits de la nature, les hommes primitifs comme les hommes spiritualisés ou divinisés, sont Un dans l’Être Cosmique absolu, que nous nommons Dieu-Père.

Ce Dieu paternel et aimant, infiniment bon et compatissant, n’est pas le dieu courroucé des juifs ou le dieu jaloux et guerrier des musulmans. Ce n’est le dieu d’aucune croyance évolutionnaire que l’on qualifie à tort de « religion ».

Dans tout l’univers il n’y a jamais eu qu’un seul et unique Dieu qui est l’Être suprême sans commencement ni fin, qui siège au Paradis central : celui que professait Jésus-Christ. Le Dieu de Jésus-Christ est non seulement immanent à la nature humaine, mais de plus il transcende le temps et l’espace multi-dimensionnel et toutes les limitations de l’espace-temps.

Le Paradis central est un point dont le centre est partout et la circonférence nulle part. L’esprit humain ne saurait le concevoir. Là réside la Tri-Unité, c’est-à-dire l’Absolu indifférencié. Aucun prophète ne saurait prétendre se trouver en rapport avec le Divin paradisiaque.

Dieu ne saurait être ni courroucé ni jaloux ni affecté par les insultes humaines. Dieu-Père est le « Je Suis » de tout être. Chaque humain est appelé à réaliser ce « Je Suis » éternel. La Confédération des Fils de Lumière du cosmos entend aider tous les hommes à obtenir cette réalisation spirituelle et divine.

Les pécheurs sont invités à faire amende honorable et sont admis comme tous les autres frères à réaliser cette « divinité » qui sommeille dans leur cœur, à recevoir dans le temple de l’âme et de l’esprit ce Père céleste infiniment bon et aimant, qu’ils soient goyims, aryens, juifs ou Gentils de n’importe quelle nation ou peuple terrestre. Aucun être ne doit être laissé à la traîne.

L’homme est responsable de lui-même. Les Frères de Sagesse ne sont là que pour l’aider et l’instruire dans le processus de la grande transmutation alchimique de soi.

Le fait que les apparitions des vaisseaux spatio-temporels soient de plus en plus fréquentes est un signe remarquable : les temps sont mûrs, des décisions définitives doivent être prises. L’heure n’est plus à la tergiversation. Les Frères de Sagesse révèlent publiquement et à l’échelle planétaire leur existence officielle.

De la façon dont les hommes interprèteront le signe des temps dépendra le retour plus ou moins rapide du Christ sur les nuées comme il nous l’a promis. Christ ne saurait nous mentir. Il a promis le retour et il sera parmi nous en temps opportun.

Ce qui doit arriver, aucun dirigeant politique, aucun illuminati, aucun « esprit reptilien », ne peut en empêcher l’accomplissement. Les « esprits sataniques » tentent, par toutes les manières possibles, de répandre la peur et les fruits de leur turpitude dans l’âme de l’humanité en vue d’empêcher le retour imminent du Christ.

Mais le Dragon se meurt. Sa fin est proche. Les adorateurs du Veau d’or, tous les Illuminatis, doivent se repentir avant qu’il ne soit à jamais trop tard pour eux. Ils n’ignorent rien de ce qui est en voie d’accomplissement.

Ils ont peur. Pour faire leur « mea culpa », ils doivent s’approcher les mains vides de l’autel de Dieu, se débarrasser de leurs ors et de leurs bijoux, et les offrir en gage de sacrifice et de bonne volonté à la condition humaine qu’ils ont dépouillée.

Il n’y aura pas d’autres issues pour eux. Ils peuvent encore échapper à la redoutable épée de Damoclès suspendue dangereusement au-dessus de leurs têtes.

Les Illuminatis répandent la peur des extraterrestres, les Frères de sagesse, car ils les craignent. Ils ont entretenu et attisé la haine des peuples. Ils ont volontairement créé la confusion dans toutes les couches sociales.

Ils entretiennent l’esprit racial et sont les racistes qu’ils prétendent combattre. Ils sont les antisémites qu’ils prétendent dénoncer. Ils sont par nature des ségrégationnistes. Ils sont le brandon de discorde de l’humanité. L’abondance et la prospérité pour tous ne les intéressent pas. Ils ne veulent pas d’une humanité libre et entreprenante. Ils ne veulent pas la fraternité des hommes et des peuples.

Ils veulent museler la liberté tant des nations que des individus. Ils terrorisent la condition humaine pour l’asservir toujours davantage. Ils veulent continuer de s’abreuver de votre sang.

Ils ne veulent pas que vous exprimiez votre potentiel créateur infini. Ils veulent faire de vous les exécutants serviles de leurs sales besognes. Ils créent volontairement la pénurie mondiale pour mieux vous manipuler et vous asservir.

L’heure est venue de se libérer de toutes les entraves, de tous les diktats, tant intérieurs qu’extérieurs. Tout doit être fait afin que s’étende le règne de l’amour, du partage, du respect de toute vie, qu’elle soit animale ou humaine.

Les Frères Aînés de l’humanité injectent dans le tissu éthérique de la planète des « forces spirituelles d’une puissance inouïe ». Celles-ci aideront l’homme à créer les conditions favorables à son développement spirituel et à se souvenir qu’il est vraiment lui aussi un « fils de la lumière ».

Devenez une personne réellement aimante et spirituelle. Ne répondez pas à la haine par la haine et à la violence par la violence. Personne ne peut faire le travail de transmutation créatrice à votre place.

L’humanité est arrivée à la croisée des chemins. Choisissez la bonne voie, la seule qui vaille la peine d’être suivie, la voie de l’amour christique, l’évangile de la paix. Il vous appartient de contribuer à mettre un terme définitif à l’âge de souffrance et des ténèbres. Recouvrez votre liberté.

Faites entendre la voix de votre émancipation. Connaissez la vérité. La vérité vous affranchira, dit le Souverain de l’univers. Soyez un acteur actif de la transition planétaire en transmutant à votre propre niveau les basses vibrations planétaires en hautes vibrations.

Vous n’êtes pas seuls dans l’univers. Les Frères Aînés de l’humanité vous assistent et vous accompagnent. Depuis la nuit des temps, ils ont été à vos côtés. Ils sont les serviteurs du Christ. Rejoignez-les.

Le pouvoir « illuminati » cherche à imposer au monde la future colonisation selon les principes suivants :

  • Celui qui contrôle les réserves de nourriture contrôle les personnes.
  • Celui qui contrôle l’énergie contrôle les continents et toute la géo-politique.
  • Celui qui contrôle l’argent contrôle l’humanité entière.

Cherchez les adorateurs du Veau d’or et vous trouverez la source de la crise mondiale. Celle-ci n’existe que pour les pauvres et les laissés-pour-compte. Dans quatre domaines cruciaux, à savoir l’énergie, l’agro-alimentaire, l’industrie militaire et la pharmaco-dynamique, les mêmes familles d’élite issues du monde de la banque et des finances internationales ont pris le contrôle du monde et les conséquences sont dévastatrices pour la planète.

Voilà ceux qui profitent de la suppression de la recherche scientifique capable de mettre au profit du monde une énergie libre à portée de tous. Certaines nouvelles technologies ne sont pas souhaitées par les Illuminatis adorateurs du Veau.

La Hiérarchie des Puissances de l’Ombre ne veut pas que l’humanité connaisse l’existence de la Fraternité des Frères de l’Espace qui soutient le monde libre, se voulant indépendante de la tutelle que s’évertuent de maintenir les forces ténébreuses du mal.

Les banquiers « illuminatis » créent de l’argent à partir de rien. Ils ne travaillent pas, n’engrangent pas, ne produisent rien. Ils emploient simplement votre argent. Les 10.000 euros que vous déposez à la banque de dépôts, ils les prêtent plusieurs fois et les transforment en 100.000 euros, tout en ne faisant rien, ou plutôt en inscrivant seulement des chiffres sur des comptes différents. Ils jouent avec les nombres. Ils vous maintiennent dans l’ignorance des rouages économiques et vous manipulent.

Mais jouer n’est pas travailler. C’est cela la réalité de la tromperie des Forces de l’Ombre. Elles manipulent votre force de travail ou de créativité. Vous produisez et eux mangent, dorment, s’amusent, se paient des palais et tout le confort possible, tandis que le reste du monde les sert comme de bons et loyaux domestiques que nous devons tous être. Le monde finit par crever les doigts de pieds ouverts en éventail. Les nantis-voleurs épuisent leurs esclaves et ces derniers meurent dans l’apparent repos des domestiques épuisés par l’effort constant qu’ils traiteront d’ailleurs de « fainéants ». Ce n’est pas cela le message de Jésus-Christ ou de la Confraternité des Nations libres du cosmos.

Henry Ford, en 1922, disait : « Il est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire parce que si tel était le cas, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. » C’est un maître, un gourou « illuminati », un renard rusé qui parle. Il sait de quoi il parle. C’est le principe sur lequel fonctionnent tous ceux qui entassent des fortunes.

Ne vous y trompez pas. Ces « forces ténébreuses » veulent entraîner le monde à adorer le Veau d’or dont les grands-prêtres sont appelés « illuminatis » de tous grades. Elles ne s’intéressent pas au bien-être et à l’évolution de l’humanité.

Les hommes ne sont pour eux que des animaux, des sous-hommes, des esclaves, qui méritent le châtiment de la mort si besoin est.

Eux et leurs enfants portent de beaux costumes, leurs femmes et leurs filles portent de belles robes avec de beaux bijoux de valeur. Ils mènent un grand train de vie. Les goyims ne seront jamais à leurs yeux que de vils domestiques qu’ils traitent moins bien que leurs chiens. Ils veulent qu’on les honore.

Ils veulent partout la première place. Il n’y a qu’eux qui comptent et les gens de leur espèce. Ils sont de la race des seigneurs et cela doit se savoir. Ils ne sont rien en vérité, mais par l’argent ils s’imposent.

Ils ont tout ce qu’ils veulent. L’argent leur donne la superbe des rois. L’argent leur donne cette assurance faite d’arrogance, de prétention et de suffisance insupportable.

Supprimez-leur le Veau d’or, ils deviennent aussitôt moins que rien, car ils ne savent rien faire de leurs mains ni à la sueur de leur front. Nous parlons de cette sueur qui résulte de cet effort qui rend tout homme digne d’être appelé homme.

Ce qu’ils veulent, c’est votre dépendance à leur égard. Vous ne devez rien contrôler et ne rien posséder en propre. Eux doivent tout contrôler et tout posséder.

Ils emploient votre propre force de productivité créatrice pour servir les intérêts de leur propre caste de nantis qui s’engraissent sur le dos de l’humanité, des goyims, et boivent avidement votre sang et celui de vos enfants.

Les maîtres ésotériques, c’est-à-dire Lucifer, Satan, Mammon, Belzébuth et toute la clique des « démons », tous les « esprits lucifériens et sataniques » constituent le haut clergé occulte du monde païen et laïque, siégeant dans les bas-fonds de l’astralité psychique.

Cette élite financière, fabriquant de fausses monnaies, faisant tourner la planche à billets des états et arnaqueuse de métier, vous engage sur le terrain de la prétendue démocratie et vous lui donnez naïvement et innocemment votre sang et celui de vos enfants, croyant défendre l’idéal de la liberté, de l’égalité et de la fraternité.

Les juifs ordinaires n’y sont pour rien dans l’application de ce machiavélique programme monté par les « seigneurs de la race ». Ils en sont les victimes autant que tous les goyims de la planète. Au sommet de la pyramide, il y a l’élite des seigneurs financiers de la race. Il en est de même pour une certaine élite sémitique qui avance masquée et ceux qui leur ressemblent.

Vous ne faites que les enrichir davantage, leur donnant dans le même temps le bâton qui viendra vous frapper si vous vous avérez être de mauvais domestiques. Vous devenez les esclaves d’une classe dirigeante de maîtres. Vous travaillez toute votre vie pour payer vos dettes « artificielles ».

Quand vous avez fini de payer, si jamais vous y parvenez un jour, vous êtes si usés par toutes ces années de travail que vous n’avez plus la force ni même les moyens de jouir paisiblement de votre retraite.

Quant à cette « élite de seigneurs » ils finissent par être punis par là-même où ils ont péché. Ils meurent sous les monceaux d’or qu’ils ont accumulés. La roue de la fortune tourne aussi pour eux. Ils devraient s’en souvenir.

L’élite dirigeante bancaire et financière est au sommet de la pyramide du pouvoir. Elle contrôle les états, fait et défait les présidences autant qu’elle peut. Il est même probable que tous les membres de ces familles dominantes et même leurs serviles domestiques, constitués d’aryens et de non-juifs, ignorent tout du projet occulte, mais ils participent, qu’ils le veuillent ou non, à l’application du programme.

Personne ne vous demande de renier vos racines ethniques, vos parents, votre famille. Cependant, vous avez le droit de renoncer aux croyances de la mort et de l’esclavage.

Vivez pleinement l’idéal christique. Il n’est qu’une seule religion dans tout le cosmos : celle du CHRIST. Tout le reste n’est que croyances et superstitions. Qui n’est pas pour lui est contre la loi universelle de l’amour et de la vérité.

Rappelez-vous que vous ne faites qu’Un avec l’univers et le Christ. Le temps viendra où tous les hommes seront vraiment frères et la Terre intègrera la Confédération Galactique des Nations Stellaires sous la houlette du Grand Pasteur universel.

 

 

(Althotas, Livre 3, La Grande Loge Noire, le message du CHRIST, ouvrage à paraître ;

voir aussi de « Piotr Phénix, Réincarnations et résurrection, enseignement d’un alchimiste »,

 

ouvrage édité encore disponible)