Ouvrage exclusivement réservé aux amateurs en la sainte science et aux étudiants de l’hermétisme.

La clef alchimique est le fondement de toute la sagesse des anciens hiérophantes. L’évidence est qu’il existe une interaction entre la lumière et la matière.

Le paradoxe EPR (Einstein-Podolsky-Rosen) oblige à penser qu’il existe une relation entre la théorie des quantas, les lois de la relativité, la matière et la gravité, l’anti-matière et l’anti-gravité./em>

L’espace-temps est multidimensionnel comme le veut la Doctrine Secrète. L’homme, par sa propre transmutation, est appelé à évoluer par ascension vers des espace-temps de plus en plus transcendants, ce que Jésus-Christ nomme le Royaume des Cieux.

Giordano Bruno avait proclamé en son temps la pluralité des mondes habités, ce qui lui valut le bûcher de la part des instances inquisitoriales de l’Église catholique romaine infestée par les « puissances de l’ombre ».


Les savants physiciens Niels Bohr et Albert Einstein avaient débattu de la question. D’après la vision quantique, il existe une réalité objective, un monde de particules, dont la quantité de mouvement et la position sont définies avec précision, même quand on ne les observe pas. C’est à ce stade qu’Einstein, Podolsky et Rosen ont un avis divergent de celui de la plupart de leurs collègues et de l’école de Copenhague, dans leur article sur le paradoxe EPR.

L’immortalité, la téléportation, la dématérialisation, la lévitation, le voyage dans l’espace-temps multidimensionnel ne sont plus de l’ordre de la fiction fantastique.

On a beau spéculer jusqu’à l’infini sur les théories de la relativité ou des quantas, cela ne suffit pas pour percer le secret magique de la pierre philosophale. Quel est donc cet espace-temps infranchissable qui sépare l’Art Sacré de l’alchimie de l’Art profane de la chimie et de la physique ? La réponse pourrait bien se trouver dans les mots « initiation » et « magie ».