Lettre n°3 – Causes occultes éthériques de la maladie

Santé et Beauté

Lettre n°3

Lettre n°3

aux étudiants

Causes occultes éthériques de la maladie

Extrait tiré du livre « ALCHIMIE DE LA GUÉRISON » – Tome 1 (de la page 189 à 205)

II. INTRODUCTION GÉNÉRALE

Mon intention est de vous entretenir au sujet des causes éthériques de la maladie et des moyens ou solutions qu’il convient de mettre en place pour les résoudre. En vous parlant des causes éthériques de la maladie, obligatoirement je dois aborder le problème des chakras, donc révéler tout ce qui est en rapport avec ces structures subtiles qui interviennent dans le fonctionnement de notre économie chimique.

J’ai eu l’occasion de vous dire que les chakras, au niveau éthérique, sont ce que les hormones et les centres nerveux sont au corps physique. Les 7 centres hormonaux principaux sont la matérialisation et la conséquence normale de l’activité des 7 chakras.

Permettez-moi de vous rappeler trois points essentiels que vous devez constamment avoir présents à votre esprit :

Premier point : Toute maladie, de quelque nature qu’elle soit, est en finalité une crise d’évolution de l’Âme ou de la Conscience vivante qui se traduit par un désaccord ou un déséquilibre des énergies dans les structures des trois aspects de la forme composant la personnalité humaine.

La maladie apparaît donc sur le plan occulte comme une tentative de la Nature de redresser, corriger ou ajuster les énergies de la forme humaine, même si celle-ci doit aboutir à la mort. La mort est un phénomène relatif, c’est l’autre face de la vie. La mort est la séparation qui apportera finalement le grand rééquilibrage de notre Conscience.

Dans ce dernier cas, la mort libère l’Ego d’une forme dans laquelle il ne peut plus continuer à s’exprimer. La mort permet à l’Ego de retrouver le sens de son équilibre, c’est-à-dire la santé, en retrouvant son plan d’origine, à savoir le plan causal.

Or, rappelez-vous, lorsque nous abandonnons la série des trois corps, notre temps de vie terrestre est relativement bref (60 à 80 ans est le temps moyen aujourd’hui assigné à la race humaine), nous passons 1/3 de ce temps en astral ; donc la vie terrestre et la vie en astral, cela fait un siècle environ. Entre deux incarnations, il y a un laps de temps moyen de mille ans ; où passons-nous le reste de notre existence ? Eh bien, nous passons quelques “vacances” sur le plan mental, puis quand nous avons fini de travailler sur le plan mental, nous nous retrouvons sur le plan causal.

Nous passons donc 9 à 10 fois plus de temps de l’autre côté qu’ici-bas. La mort est une vieille amie, c’est quelqu’un de très connu. Personne n’a le sentiment qu’il va un jour mourir ; personne ne s’imagine que demain il ne sera plus de ce monde, parce que ce sentiment n’est pas naturellement inscrit en nous, parce que la mort n’est pas une réalité de la Nature. Car la mort n’est simplement qu’une phase de la vie, ce n’est qu’un changement d’état.

Ce changement d’état, nous ne le comprenons bien que dans la mesure où nous savons comment fonctionne la triple nature de notre personnalité, et que la personnalité n’est qu’un vêtement et rien d’autre. A la mort, nous abandonnons ce vêtement.

Second point : Parler des causes éthériques de la maladie revient à traiter des conditions et de la nature de l’équilibre du corps éthérique et de l’ensemble de ses centres de force appelés “chakras”. Rappelons que le corps éthérique ou vital constitue énergétiquement le moule vivant du corps physique chimique. Le corps éthérique est donc une forme physique subtile, indissociable normalement de la forme chimique humaine.

Troisième point : il nous faut ici savoir trois choses :

1. Les centres de force du corps éthérique (les chakras) sont des relais entre le véhicule physique dense et toute la série des véhicules supérieurs plus subtils, à savoir le corps astral, le corps mental, le corps causal. Quant aux Disciples avancés et aux Initiés, les chakras de la personnalité permettent de mettre en contact leur conscience terrestre émotionnelle avec la conscience spirituelle. A tous les niveaux, les chakras sont des relais entre le haut et le bas ; ce sont des portes d’entrée et de sortie de l’énergie et de la conscience.

2. Les centres de force reçoivent et communiquent les impressions imprimées sur le corps éthérique par les énergies matérielles et spirituelles, c’est-à-dire que les chakras sont impressionnés par la vie de l’homme dans la matière, mais ils sont aussi impressionnés par la vie émotionnelle, mentale et spirituelle de l’homme. Ceci vous permet déjà de situer tout ce qui agit au niveau des chakras.

Ainsi, les chakras éthériques ont leur homologue sur les plans supérieurs. C’est ce qui explique l’interaction des véhicules physique, astral et mental entre eux d’une part, et d’autre part l’influence de l’Âme, du corps causal, et des véhicules spirituels exaltés (le corps bouddhique et le corps atmique) sur le corps physique dense en particulier et la triple personnalité en général.

Vous avez là, dans toutes ces relations, la clef de tout ce qu’il faut savoir pour traiter les causes de toutes les maladies, mais aussi pour posséder les moyens d’évoluer et d’épanouir notre véritable nature ; par-là, nous avons la clef de notre épanouissement spirituel.

Guérir au fond, ce n’est rien d’autre que se réajuster à notre véritable mode d’évolution. C’est parce que nous ne suivons pas le chemin que nous aurions dû suivre depuis toujours que, ayant failli, les troubles et les déséquilibres s’installent.

3. Le corps éthérique, par toutes les caractéristiques de son activité au niveau de ses centres de force et de ses lignes de force énergétique (les nadis, les méridiens), reflète les états de conscience de l’ensemble de la personnalité humaine et marque le degré de lucidité ou d’évolution de l’Âme incarnée. Plus simplement, l’examen de l’état du corps éthérique nous permet de définir le degré d’évolution d’une individualité incarnée.

Le corps éthérique et ses centres sont ce qui relie l’homme physique mortel et l’homme spirituel immortel et éternel. Ce complexe corps éthérique-chakras constitue un véritable émetteur-récepteur d’énergie et de force mettant télépathiquement l’homme spirituel incarné en relation avec toutes les forces de vie du Cosmos.

Dans la mesure où les mécanismes télépathiques ne s’exercent pas à pleine puissance des possibilités des chakras du corps éthérique, l’Âme humaine ne parvient pas à impressionner la matière chimique ou supra-physique.

Les chakras ne fonctionnent pas en dehors de l’activité de l’Âme. Ce n’est pas par des moyens extérieurs que nous parviendrons à amener une modification interne des chakras. Nous pouvons modifier tant soit peu une aura, un champ de radiations, mais nous ne toucherons jamais le cœur du chakra. Il ne faut pas rêver sur tout ce qui se dit à propos des minéraux, des plantes, etc., qui influenceraient le corps de l’extérieur ; toute influence vient de l’intérieur.

Les minéraux, les cristaux, les couleurs, les sons, etc., peuvent être des catalyseurs de l’énergie de l’Âme, mais par eux-mêmes, ils n’agissent pas. Ils peuvent modifier un champ extérieur, mais ils n’amènent pas de modifications internes sauf s’ils deviennent de véritables catalyseurs de l’énergie de l’Âme ; mais savoir utiliser ces forces élémentales qui transitent à travers les formes végétales et cristallines, comme vecteurs de forces, comme concentrateurs, focalisateurs d’énergie est une autre affaire.

Il est important de savoir que l’Âme humaine, porte dans son atome germe permanent causal, tout le programme de son devenir divin. Les informations de ce programme spirituel parviennent à la conscience incarnée sous la forme de stimuli ou d’impulsions télépathiques. Lorsque les informations de ce programme divin parviennent à trouver une issue, d’abord dans les chakras et ensuite seulement dans le cerveau physique, en contrôlant le système hormonal tout entier, les impulsions télépathiques du corps causal prennent forme et substance ; à travers le jeu des chakras, les impulsions télépathiques de l’Âme traduisent par ce moyen toutes les caractéristiques de l’Harmonie divine. C’est tout le Plan divin qui cherche à s’exprimer à travers nous.

Les causes du mal, dès lors, ne peuvent plus affecter la forme humaine. Lorsque l’homme devient réellement le véhicule de l’Harmonie, et qu’il réalise toutes les conditions nécessaires à cette expression sans aucune entrave, le mal ne peut plus être. Il va sans dire que le devenir spirituel de l’homme est étroitement lié à celui de la planète et du Cosmos tout entier.

Cela signifie que les chakras sont entièrement reliés fonctionnellement aux centres planétaires. Mais à propos des centres planétaires, il ne sera rien dit. On verra de quelle façon l’énergie solaire sera captée par le centre de la rate. Nous captons cette énergie par le centre de la “rate” de notre planète. Il y a dans notre planète, un lieu géographique comparable à notre rate physique, et ce centre capte le Prâna, la force de vie solaire. C’est en passant d’abord par le centre Swadhisthana terrestre que cette énergie vitalisera finalement notre propre centre sous-ombilical. De là, l’énergie sera répartie dans l’ensemble de notre organisme pour assurer soit les fonctions de la vie terrestre, soit le fonctionnement de notre corps astral, soit pour permettre à nos pensées de s’exprimer et de trouver un substrat physique d’expression.

Nous puisons toute l’énergie à travers le Soleil qui distribue son énergie à la Terre qui nous la retransmet par le système de nos chakras.

Ce même chakra sous-ombilical apporte la part d’énergie nécessaire physique et éthérique pour assurer le fonctionnement des autres chakras. L’homme ne peut réaliser individuellement que ce qui est inscrit et prévu dans le Plan et le programme collectif assigné à toute la collectivité planétaire. L’homme seul n’est rien. Il répond à des impacts et à des influx d’énergie de type collectif.

Toute volonté personnelle qui se trouverait en désaccord avec ce Plan collectif est de nature à engendrer intérieurement un conflit psychique, une bataille psychologique réelle qui finit par créer les causes de la maladie.

On n’a pas beaucoup songé, et la médecine ne semble pas s’être tellement préoccupée d’essayer de comprendre comment finalement la vie de l’homme en société est responsable de bien des maladies, de bien des conflits. C’est que nous ne sommes pas seuls. Nous sommes des groupes qui progressons collectivement. Les contacts et les rapports des hommes étant différents, il naît là des tensions qui amènent des divergences d’énergie entraînant soit pléthore, soit carence, donc déséquilibre dans la forme.

Puisqu’il existe 7 chakras, 7 centres de force principaux, c’est que l’homme est appelé à travailler avec 7 types d’énergie. Chaque type de force est en relation avec un attribut de la Divinité, avec une qualité morale à laquelle correspond un vice. Le vice n’est rien d’autre qu’un état non réalisé de la Divinité. C’est la perception d’une force qui n’est pas exprimée selon la ligne d’action prévue pour elle.

Les 7 énergies avec lesquelles l’homme est appelé à travailler sont bien entendu d’origine divine et traduisent les 7 attributs ou caractéristiques de la Divinité prenant forme et substance dans la nature humaine.

C’est dire que le progrès de l’homme et son aptitude à ne plus engendrer les causes de la maladie ou à effacer les facteurs de troubles énergétiques dépendent de la formation de son caractère et du service pour l’humanité.

Il faudra beaucoup insister sur l’idée de formation du caractère, mais ce sera pour la partie réservée aux causes psychiques et psychologiques de la maladie.

Il y a une lacune profonde dans le programme d’éducation du monde ; c’est qu’on enseigne à l’enfant beaucoup de choses qui peuvent être utiles à la vie en société dans une mesure très limitée, mais on ne lui enseigne pas les véritables clefs de la formation et de la structuration de la personnalité et du tempérament.

Chacun doit forger son propre caractère et son propre tempérament au contact des expériences et des épreuves de la vie. Si nous apprenions à mieux connaître les fonctionnements des chakras et le type de forces passant à travers ces chakras, nous serions plus à même de comprendre à quoi correspondent les différents types de caractères. Car, indubitablement, si nous avions à classifier l’humanité, nous serions amenés à reconnaître 7 grands types de caractères ; et selon la période de l’histoire, nous notons la présence de trois ou quatre types de caractères (parfois moins) ; certains types peuvent devenir rarissimes et sont représentés par une toute petite catégorie d’êtres humains.

Ce serait intéressant de savoir à quoi tout cela correspond, car cela nous permettrait d’agir selon le Rayon de vie auquel nous sommes affiliés et nous pourrions alors accomplir le devoir qu’assigne notre caractère, c’est-à-dire le type de force avec lequel nous sommes amenés dès l’origine à travailler.

C’est ainsi que, peu à peu, par la voie de l’Initiation progressive, l’homme s’approprie et travaille avec les 7 types d’énergie essentielle qui ont créé les 7 chakras majeurs, ces 7 chakras qui, eux-mêmes, conditionnent les 21 chakras mineurs et les nombreux centres subsidiaires plus petits, bien connus des acupuncteurs chinois ; ces points sont tous dépendants des 7 chakras majeurs.

Mais aucune technique d’acupuncture ne permet de toucher à ces 7 chakras. Voilà pourquoi ils n’en parlent pas, parce qu’ils ne peuvent pas les contrôler. Ce sont des centres qui ne se contrôlent que de l’intérieur.

Ceci m’amène à vous révéler le pouvoir qu’exercent les vertus spirituelles sur les centres de force. Ce n’est pas la simple concentration de pensée ou la méditation seule sur un chakra donné qui favorise le développement et l’épanouissement de ses qualités, de ses facultés ou de ses possibilités d’expression.

La concentration et la méditation n’ont un pouvoir créateur sur les centres de force que lorsqu’elles s’exercent avec une pensée soutenue par les vertus spirituelles que l’on cherche à exprimer quotidiennement. C’est en ce sens que je vous indiquerai une technique de concentration et de méditation pour travailler les chakras et développer leurs activités spirituelles. Il s’agit ici de développer les 7 vertus spirituelles qui s’opposent aux 7 péchés capitaux.

Les 7 vertus spirituelles ont une puissante incidence sur l’activité des chakras. L’exercice de ces 7 vertus et leur développement dans l’Âme humaine sont de nature à supprimer les causes éthériques de la maladie. Chaque vertu ébranle une glande et un organe, et elle développe une vertu morale qui, si elle n’est pas exprimée, se traduit par le vice correspondant (voir tableau).

Si l’exercice des 7 vertus théologales et morales est de nature à supprimer les causes éthériques de la maladie, nous pouvons tout aussi bien affirmer que la pratique des 7 péchés capitaux et des 7 vices est de nature à engendrer les causes éthériques de la maladie. En examinant ces centres de force, vous comprendrez beaucoup mieux pourquoi les vertus et les vices sont vraiment des forces puissantes pour activer ou pour inhiber le système hormonal.

 

A.      LES 7 VERTUS THÉOLOGALES

LES 7 QUALITÉ MORALES

LES 7 VICES ou PÊCHÉS CAPITAUX

LEUR INFLUENCE SUR LES CHAKRAS

Tout thérapeute aurait intérêt à s’examiner très attentivement pour bien reconnaître comment tout cela fonctionne en lui, parce que lui aussi va évoluer et progresser ; ensuite, cela serait intéressant de voir comment les malades fonctionnent, en essayant de repérer les blocages au niveau des centres de force.

On est sûr qu’il existe toujours un problème au niveau d’une qualité ou d’un vice. On peut détecter les qualités qui peuvent être présentes ou celles qui ne demandent qu’à s’exprimer (qui se traduisent en général par la présence de vices) ; pour cela, il faut approfondir l’histoire du malade parce que personne ne s’imagine pouvoir manifester de l’orgueil, de la paresse, de l’avarice, de la colère, de la jalousie, de la luxure ou de la gourmandise.

Ce sont des défauts qu’on ne se plaît pas trop à reconnaître en soi, et pourtant… Pour pouvoir avancer et progresser, le premier pas à faire est de reconnaître et d’accepter ce qui est en soi, en commençant par admettre les états déplorables de notre caractère. A partir de là, on peut faire un effort pour se modifier et essayer d’acquérir les qualités et les vertus correspondantes.

Je vous avais dit (voir livre « Causes occultes physiques de la maladie ») que le thymus est une glande hormonale présentant quelques inconnues pour la science. On sait qu’elle fonctionne chez l’enfant puis qu’elle s’atrophie. Pourquoi ? C’est une glande importante pour assurer les fonctions immunitaires de l’organisme (qui joue un grand rôle dans les problèmes de Sida). Le thymus retrouvera son fonctionnement normal au fur et à mesure que l’homme sera capable de transcender son état de désir et de le transformer en une force d’Amour rayonnante, faisant vibrer non pas le Manipura-chakra, mais le centre du cœur.

A ce moment-là, l’homme manifestera le véritable sentiment de la Justice, accompagné des qualités correspondantes (Charité et Fraternité) ; dès lors, ce centre fonctionnera normalement. C’est dire que ce n’est pas pour demain. Il y a d’ailleurs une mise en fonction de cet organe chez certaines personnes, et cela s’accompagne de troubles d’adaptation de la personnalité, car les ajustements doivent se faire dans le temps, d’un point de vue racial, global.

N’oublions pas que nous avons nos antécédents, ce sont nos parents, nos géniteurs. C’est donc toute la race qui doit être modifiée dans ses composantes chimiques, biologiques, de façon qu’une formule de fonctionnement soit instaurée, et que les nouveaux enfants paraissent avec un organe qui fonctionne normalement. Sinon, il n’y a qu’une chose à faire : par l’ascèse, réajuster ses énergies et modifier son caractère.

On n’évitera pas totalement les troubles de la personnalité, mais on réglera au fur et à mesure les crises qui surgiront. C’est vous dire à quel point est difficile la vie des Disciples du monde qui suivent une voie initiatique, car ils sont confrontés à des ajustements de l’énergie à différentes étapes de leur parcours.

Ce premier travail d’ajustement est la phase la plus ingrate de l’épanouissement spirituel ; car, avant même d’avoir à travailler avec les centres de force et de bénéficier des avantages qu’offre un fonctionnement normal des centres par un travail de méditation permettant d’acquérir et de développer une connaissance de soi et du monde, on est confronté à des problèmes plus prosaïques, plus matériels, plus psychologiques, plus psychiques, mais on ne peut pas faire autrement. Il faut accepter de passer par là.

Le prix de la connaissance et de la sagesse passe par ce réajustement des énergies et de la forme. Même si cette forme est mortelle, notre cerveau, pour capter les impulsions de la pensée et les aspirations de l’Âme, doit se trouver dans un état normal. Bien entendu, lorsque l’Âme est désincarnée et se retrouve sur son propre plan, notre forme physique ne nous sert à rien. Mais pendant que l’Ego est incarné dans la forme, nous avons intérêt à faire en sorte que cette forme soit parfaitement adaptée aux vibrations de l’Âme. Il nous faut donc faire en sorte que les atomes et nos particules atomiques vibrent à la fréquence de l’Âme.

Des problèmes de diabète proviennent du dysfonctionnement de l’énergie au niveau du Manipura-chakra. On sait à quel point les états de colère psychologique ou psychique, les états de tension, de stress dans lesquels nous met la société aujourd’hui, sont responsables de bien des problèmes au niveau des reins, du pancréas et de l’estomac (maladies du siècle).

Le Muladhara-chakra, comme se l’imaginent certains, n’est pas le centre de la sexualité. Il est le support-racine.

Les vices et les vertus sont à la base des causes physiques de la maladie, car ils sont également les facteurs éthériques de la maladie. C’est là une vérité des plus scientifiques qui soit. On peut l’observer très facilement, et on aurait intérêt à s’observer soi-même parce que ce sont des signes que l’on reconnaît facilement en soi et autour de soi parmi les amis.

Un thérapeute a tout intérêt à bien connaître la psychologie de ses patients, car c’est le seul moyen par lequel il peut développer un système, une connaissance des critères lui permettant de dépister des éléments psychologiques simples ; ensuite il doit essayer d’analyser ce qui ne va pas sur le plan de la forme.

Il peut alors établir une relation de cause à effet pour essayer de mieux comprendre ce qui ne va pas au niveau de l’Âme, et c’est là qu’il faut apporter l’ajustement, car les substituts vont peut-être régler le problème, ils aideront peut-être à estomper, à atténuer, mais si nous n’apportons pas les modifications nécessaires au niveau de l’Âme (ce n’est pas une modification qui peut se faire en l’espace de quelques jours, c’est souvent une affaire de mois ou d’années), les ajustements nécessaires ne seront pas réalisés.

De nouveau, nous avons l’ascèse : c’est une affaire d’évolution, de progression, de transformation du caractère.

Comment modifier le caractère ? Il y a là d’autres techniques de travail ; on peut laisser tomber toute concentration sur les chakras et travailler essentiellement avec la pensée de manière très positive, de façon à chasser les états que nous ne souhaitons pas et à installer d’autres types de vibrations.

Il est prévu pour cela d’utiliser des mantrams et le pouvoir de la suggestion. Il y a plusieurs façons d’utiliser le mantram : ce n’est pas toujours par la psalmodie, par le chant ; on peut aussi l’énoncer, utilisant le pouvoir-force des mots, mais non pas en le prononçant une fois ; il faut apprendre l’art de vitaliser la puissance du verbe.

Comment peut-on le vitaliser ? Par la répétition et par la concentration. Là, oui, on utilise le pouvoir du Yogi (concentration et méditation) qui permet de centrer l’énergie en un point donné et d’amener ensuite la matérialisation. N’oubliez pas que le verbe, une fois qu’il est énoncé matériellement, est déjà la matérialisation d’une force mentale ou émotionnelle.

Il nous faut donc réfléchir avant d’énoncer le verbe ; il nous faut établir un plan intérieur avant de l’exprimer et de le lancer à l’aventure du monde. En fait, il ne faut jamais parler de choses vides. Il ne faut parler que dans la mesure où le verbe est réellement l’expression de la pensée.

Lorsqu’on énonce, on réalise. Heureusement que nous n’avons pas ce pouvoir de concentration car, à ce moment-là, chaque fois que nous disons une parole négative, nous engendrerions des dégâts extrêmement importants. Heureusement que souvent les paroles n’ont pas la puissance apportée par la force de pensée.

Néanmoins, à force de répéter certaines paroles, il y a quand même un état négatif engendré. C’est que la parole est franchement l’expression d’un état négatif bien installé et qui opère une destruction une fois qu’elle est énoncée ; il faut apprendre à s’en protéger.

Il faut d’abord éviter soi-même de prononcer des paroles qui ne vont pas dans le sens de la Loi, et si jamais cela arrive parce que la vie n’est pas facile et que la nature humaine répond à des stimuli matériels, souvent, avant d’atteindre autrui, ces paroles nous atteignent nous-mêmes en raison de la loi de causalité qui fait que tout ce que nous énonçons nous revient finalement. La loi du karma s’applique selon une trajectoire circulaire : tout ce que nous émettons nous revient.

Les causes engendrées il y a très longtemps ne sont pas perdues, elles reviennent toujours vers celui qui les a émises.

Les vices et les vertus sont aussi à la base des causes astrales et mentales de la maladie. C’est pourquoi il nous faudra prêter l’oreille la plus attentive au fait que nous nous trouvons là en présence de causes majeures de dysfonctionnement de l’énergie vitale. Ces causes majeures cachent les causes subsidiaires de la maladie éthérique.

Il doit donc être parfaitement clair pour tous que le corps éthérique (Prana-maya-kosha), corps véhiculant l’énergie de Prâna, la vitalité solaire, se compose de tissus énergétiques (qui, quoique subtils, sont parfaitement physiques), d’un système complexe d’émetteurs-récepteurs de l’énergie (appelés centres de forces ou chakras) et de tout un réseau complexifié de voies de circulation de cette énergie (ce sont les nadis ou méridiens).

Nous verrons que le Yogi travaille avec trois canaux principaux : un canal central s’identifiant à la colonne vertébrale, j’entends par là le canal subtil éthérique qui porte le nom de Sushumna-nadi ; les canaux de droite et de gauche sont Ida et Pingala-nadi.

Pingala-nadi véhicule une énergie positive, Ida-nadi une énergie négative ; la Sushumna-nadi ne fonctionne pas chez l’être humain actuellement, elle ne fonctionne que chez les Disciples et les Initiés. Tout le travail consistera justement à faire en sorte que les énergies positives et négatives soient concentrées à la base de la colonne vertébrale pour circuler en une énergie unifiée le long de la Sushumna-nadi.

Nous verrons à quoi cela correspond, car le fonctionnement de la conscience sera totalement différent. L’homme doit apprendre à établir des relations de conscience avec les plans supérieurs et avec sa propre Âme en cessant de passer par la voie du mental et par la voie de l’émotion, c’est-à­dire en cessant d’utiliser son corps astral et son corps mental.

Or, que fais-je en ce moment ? J’utilise le corps mental pour essayer d’exprimer des idées et des pensées. Et tout en utilisant le corps mental, j’utilise un autre corps, le corps causal. En fait, vous percevez les choses mentalement mais essayez de percevoir ce qui est dit d’un point de vue essentiellement causal ; essayez de percevoir l’idée derrière le mot, de ne percevoir les choses ni par la voie de l’émotion (en disant “j’aime – je n’aime pas”), ni par la voie du mental (le mental interprète ce que vous percevez par votre oreille), mais percevez les choses comme elles sont, là où elles sont, comme si vous étiez depuis toujours doués de la faculté de perception télépathique ; le mot exprimé en l’occurrence n’est que le vêtement de l’idée que je veux faire passer de causal à causal.

Toutes les structurations vitales ou éthériques sont évidemment sensibles aux facteurs d’influence chimiques, électriques, magnétiques, “ondulaires” (ondes de forme), psychiques, psychologiques et bien entendu spirituels.

Nous verrons comment une énergie peut être transformée en une autre énergie, que la matière est énergie, que l’esprit est énergie, que l’émotion est énergie, que la pensée est énergie, qu’une aspiration, une qualité, un vice sont des énergies qui ont leur polarité, et qu’une énergie peut être transformée en une autre, et comment finalement une énergie de pur type spirituel, de pur type causal, pourra se transformer en une énergie mentale qui, à son tour, se transformera en une énergie émotionnelle, celle-ci se transformant en une énergie électromagnétique qui finalement aura un impact et déterminera des états de température et de chaleur au plan corpusculaire, au plan atomique.

A partir de là, commence la mutation alchimique. C’est là que fonctionnent les hormones, c’est là que des processus essentiellement chimiques sont déterminés par des processus non chimiques.

Mais l’inverse est vrai aussi, c’est-à-dire qu’une activité, un mécanisme essentiellement physique peuvent être transformés en une énergie électromagnétique qui, à son tour, peut être transformée en une énergie émotionnelle, mentale, spirituelle. Cela va dans les deux sens. La cinétique peut être transformée en une énergie supérieure.

Quand on a bien saisi cela, on sait qu’on travaille de l’intérieur dans le cœur du chakra, et qu’émotion et pensée sont des forces terribles que l’on peut utiliser pour construire aussi bien que pour détruire. Nous percevons bien la destruction dans la vie de tous les jours, parce que l’on sait quels sont les dégâts opérés par nos émotions.

L’émotion bloque le Manipura-chakra. Une émotion, un traumatisme psychologique ou psychique, peuvent faire grisonner en quelques heures un individu. Un traumatisme psychologique ou psychique peut se somatiser en un mal physique puis être transposé. Une maladie connue dans l’enfance peut d’abord s’exprimer par un simple furoncle, un eczéma puis, si la somatisation se poursuit, si le problème n’a pas été résolu et que le dysfonctionnement s’étend au niveau astral puis mental, cela se traduira par de l’asthme qui sera ensuite transformé en dépression qui peut carrément aboutir à la folie.

C’est étonnant comment les choses fonctionnent d’un niveau à un autre niveau. On n’a pas affaire à des maladies imaginaires. Quand un thérapeute est en contact avec quelqu’un qui dit “j’ai mal, j’ai mal”, que les analyses et les examens ne trouvent rien, c’est qu’il a vraiment mal quelque part. Un déprimé affirmant qu’il a mal au cœur ou à la tête, n’est peut-être pas malade dans l’organe, mais une puissance présente fait que l’organe souffre ; un état de conflit est installé.

Quand on dit que l’on est bien dans sa peau, c’est parce qu’un état d’équilibre se fait au niveau du mental. Tout est dans tout. L’Âme est incarnée dans une mécanique, dans une structure complexe qui vibre aux moindres variations de l’émotion, de la pensée et de l’Âme.

En un mot, nos habitudes et nos états d’Âme qui reflètent notre degré d’évolution intérieure véritable sont de nature à perturber, à détruire ou à modifier, dans un sens heureux ou malheureux, les structures énergétiques de notre équipement vital.

Par ailleurs, les 4 types de karma (physique, astral, mental, collectif) que nous drainons avec nous, vie après vie, incarnation après incarnation, sont également de nature à imposer à notre corps énergétique des conditions vitales dont les causes, favorables ou défavorables, sont les résultats globaux acquis dans nos vies successives.

Ce qui fait que, même si nous avons la volonté de nous améliorer au cours d’une vie, il nous faudra tenir compte de l’importance et de la puissance du karma que nous avons engendré. Cela veut dire que tous les problèmes ne trouveront pas nécessairement leur résolution totale au cours d’une vie.

Pour accepter cela, il faut que l’individu soit amené petit à petit à accepter un état de limitation. Nous traînons avec nous des handicaps, et il y a des handicaps qui, nous le savons, ne seront pas guéris comme cela. Il nous faudra le temps. On pourra résoudre quelques problèmes, faire sauter quelques obstacles, libérer l’homme davantage du handicap.

Mais le handicap total, s’il est réellement le résultat d’un karma puissant présent et voulu pour permettre à l’individualité d’apprendre une leçon qu’elle n’apprendrait pas en d’autres conditions, est un bienfait qui l’amènera à avancer et progresser. Encore une fois, il faut développer en soi l’aptitude au discernement.


La lettre aux étudiants est également disponible en vidéo.

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Lettre n°2 – Santé et Beauté

Santé et Beauté

Lettre n°2

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aux étudiants

Toujours en forme

Dr Otto WARBURG (1883)

et la cause du cancer :

l’acidité des cellules ;

pour guérir, rendre le corps alcalin

 

Lauréat du prix Nobel, le Dr Otto Heinrich Warburg, a consacré sa vie à l’étude et à la cause de la maladie du cancer. Dr Warburg était directeur de l’Institut Kaiser Wilhelm (aujourd’hui Institut Max Planck) pour la physiologie cellulaire à Berlin.

Né le 8 Octobre 1883 à Fribourg-en-Brisgau (Bade-Wurtemberg), décédé à Berlin, c’était un médecin, physiologiste et biochimiste allemand. Docteur en chimie et docteur en médecine, il fut lauréat du Prix Nobel physiologie et médecine pour sa découverte de processus-clés de la respiration cellulaire et de différents systèmes enzymatiques.

Le cancer n’est pas une maladie qui se déclare du jour au lendemain. Il se prépare au moins une décennie à l’avance par des processus réitératifs d’inflammation cellulaire. La maladie est d’abord inflammatoire, puis devient aigüe avant de devenir chronique et incurable si l’on ne fait rien en tenant compte des lois naturelles. La tumeur est une manière pour l’organisme de phagocyter le mal, le poison, la toxine.

Ayant démontré que les cellules cancéreuses changent leur métabolisme pour passer à un métabolisme anaérobie, le Dr Otto Warburg a formulé l’hypothèse que le cancer ne peut pas se développer dans un milieu riche en oxygène. Parmi ses étudiants, le plus illustre est Hans Adolf Krebs, prix Nobel lui aussi en 1953.

Il a été l’un des éminents physiologistes du 20ème siècle. Il a découvert que la cause du cancer est une acidité trop importante dans le corps, signifiant que le pH dans le corps est en dessous du niveau normal de 7,365, qui constitue un état « acide ».

Warburg a étudié le métabolisme des tumeurs et la respiration des cellules et a découvert que les cellules cancéreuses persistent et prospèrent dans un pH plus faible, à 6,0, à cause de la production d’acide lactique et d’une concentration élevée en CO2.

Il croyait fermement qu’il y avait une relation directe entre le pH et l’oxygène. Un pH plus élevé, qui est alcalin, signifie qu’il y a une concentration plus élevée en molécules d’oxygène, tandis qu’un pH plus faible, qui est acide, signifie qu’il y a une concentration plus faible d’oxygène… c’est ce même oxygène qui est nécessaire pour garder les cellules saines.

En 1931, il a été lauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine pour cette importante découverte sur la cause du cancer. Il a déclaré : « les tissus cancéreux sont acides, alors que les tissus sains sont alcalins. L’eau se divise en ions H+ et OH-, s’il y a un excès d’H+, c’est acide ; s’il y a un excès d’OH-, alors c’est alcalin. »

Dans son ouvrage “Le métabolisme des tumeurs“, il a prouvé que “toutes les formes de cancer sont caractérisées par deux conditions de base : l’acidose et l’hypoxie“. Le manque d’oxygène et l’acidose sont les deux faces d’une même pièce : si vous en avez une, vous avez l’autre.  

Toutes les cellules normales ont un besoin absolu d’oxygène, mais les cellules cancéreuses peuvent vivre sans oxygène, c’est une règle sans exception. Privez une cellule de 35 % de son oxygène pendant 48 heures, elle pourra devenir cancéreuse.

Le Dr Warburg démontre clairement que la première cause du cancer est un manque d’oxygène, ce qui crée un état acide dans le corps humain. Il découvre que les cellules cancéreuses sont anaérobies et ne peuvent pas survivre en présence de niveaux élevés d’oxygène, que l’on trouve dans un état alcalin.

 

Comprendre le pH , la cause du cancer et pourquoi on a le cancer ou d’autres maladies.

 

D’après les recherches du Dr Enderlein une guérison totale de maladies chroniques ne peut arriver que lorsque le sang est ramené à un pH normal, légèrement alcalin.

 

Cause du cancer : pourquoi le pH devrait-il nous concerner ?

 

Étant donné que nous sommes faits à 60-70 % d’eau, le niveau du pH a des effets très profonds sur la chimie du corps, la santé et les maladies. Tous les mécanismes régulateurs (respiration, circulation, digestion, production hor-monale) ont pour but d’équilibrer le pH, en débarrassant le corps et les tissus des résidus acides sans endommager les cellules vivantes.

Si le pH dévient trop acide ou trop alcalin les cellules s’empoisonnent avec leurs propres déchets toxiques et meurent.

Comme les pluies acides sur une forêt et la présence des déchets alcalins dans un lac, un pH déséquilibré corrode les tissus humains, consumant les milliers de kilomètres de veines et d’artères, comme les produits corrosifs s’attaquent au marbre.

S’il n’est pas régulé, un pH déséquilibré peut interrompre les activités et fonctionnements cellulaires, comme les battements de cœur et les étincelles entre les neurones du cerveau.

La cause réelle du cancer est liée à 2 facteurs qui sont toujours présents lors d’un cancer, le pH acide et le manque d’oxygène.

En apprenant à manipuler ces deux facteurs qui seraient la cause du cancer , on peut réduire ou inverser le processus du cancer. Rappelons-nous que le pH est un nombre exponentiel de 10 : donc une petite différence dans le pH se traduit par une grosse différence dans le nombre d’ions OH-.

En d’autres mots, un sang avec un pH de 7.45 contient 64.9 % plus d’oxygène qu’un sang donc le pH est 7.3.

Le cancer a besoin d’un environnement acide pauvre en oxygène pour survivre et se développer. D’où nécessité d’apprendre à respirer pour oxygéner suffisamment et quotidiennement les cellules organiques.

Les patients en phase terminale d’un cancer sont environ 1000 fois plus acides qu’ils ne devraient l’être. Cela veut dire un niveau d’oxygène dangereusement critique au niveau cellulaire.

En l’absence d’oxygène, le glucose fermente et devient acide lactique. D’où nécessité de supprimer tous les sucres industriels, mais non celui des fruits.

Cela baisse le pH des cellules. Le pH des urines et de la salive des patients en phase terminale de cancer se situe très souvent entre 4.0 et 5.5.

Quand le cancer se transforme en métastases, le pH chute davantage. Nos corps ne peuvent pas lutter contre la maladie si le pH n’est pas correctement équilibré. En d’autres termes, c’est “alcalinise ou meurt“.

 

Comment sait-on qu’un aliment et l’eau que l’on boit est acide ou alcalin ?

 

Il suffit de mesurer son potentiel Hydrogène au moyen d’un pH-mètre. C’est aussi simple que cela. Cependant, cet appareil de mesure ne peut mesurer les effets d’acidification qu’engen-drent la pensée et les émotions négatives ou les effets de l’alcalinisation qu’entraînent de façon heureuse les émotions et les pensées positives.

En revanche, l’effet Kirlian rend visible le changement d’état des couleurs dans l’aura électro-magnétique du corps humain. Un corps sain ne présente pas les mêmes teintes dans l’aura vitale selon que le corps est malade, intoxiqué et empoisonné autant par les aliments malsains que par l’influence d’une psyché négative. Est-ce un hasard si toutes les ascèses philo-sophico-religieuses insistent tant sur la purification du corps et le refus d’absorber tant la chair animale qu’un  certain nombre d’aliments néfastes à la santé ?

Faut-il se fier aux conclusions des travaux sur le cancer du Dr Otto Heinrich Warburg ? Bien entendu qu’il faut lui faire confiance. Enfin, soyons sérieux. Pourquoi la Nation lui a-t-il conféré un premier doctorat en chimie et un second doctorat en médecine, ce qui faisait de lui un physiologiste et un biochimiste d’une compétence internationale incontestable ?

Prix Nobel de physiologie ou de médecine en 1931 pour sa découverte concernant le cancer, maladie causée par une respiration cellulaire affaiblie en raison du manque d’oxygène au niveau cellulaire et qui se développe dans un milieu anaérobie (sans oxygène) ou des conditions acides, il était persuadé et convaincu des bienfaits d’une alimentation saine et biologique.

En Inde, l’ayurvéda a toujours associé vie spirituelle, respi-ration contrôlée, discipline de soi et alimentation saine basée sur une vie équilibrée, dans un environnement harmonieux, recom-mandant la consommation d’aliments végétariens, à condition que ces aliments ne soient pas pervertis par l’emploi de pes-ticides et d’insecticides en raison des pratiques agro-alimen-taires recherchant la performance et le rendement plus que la qualité des aliments produits. De même, l’air que nous res-pirons et l’eau que nous buvons ne doivent pas être contaminés d’une manière ou d’une autre.

En d’autres termes, la principale cause du cancer est l’aci-dité du corps humain. En 1924 Warburg en tira une hypo-thèse sur la formation de cellules cancéreuses : celles-ci tirent principalement leur énergie de la fermentation anaérobie du glucose et par conséquent la présence d’oxygène ne serait pas nécessaire à leur développement.

Dans son ouvrage « The Metabolism of Tumours » (Le métabolisme des tumeurs), il a démontré que toutes les formes de cancer sont caractérisées par deux conditions de base : l’aci-dose et l’hypoxie (manque d’oxygène). Le manque d’oxygène et l’acidose sont les deux faces d’une même pièce : là où vous avez l’un, l’autre est présent.

Il a démontré que l’anaérobiose était la principale cause du cancer, et ses propres recherches sur les agents cancérigènes lui firent craindre le pire concernant la consommation d’aliments transformés.


Le cancer n’a qu’une seule cause principale, c’est le rempla-cement de la respiration d’oxygène normal des cellules de l’organisme par un anaérobie (pauvre en oxygène).

La psychosomatique ou la psychologie des profondeurs met par ailleurs également en évidence comment un traumatisme psy-chique, psychologique ou mental (veuvage, divorce, perte d’un être cher, licenciement, chômage, peur, angoisse, stress, sur-menage, sentiment de culpabilisation, etc.) exerce un effet acidificateur sur les organes corporels ou révèle les parties corporelles, un système nerveux et hormonal, déjà fragilisés par l’acidification ou l’acidose et l’hypoxie.

Autrement dit, l’état de santé dépend aussi des vertus que l’on développe sur le plan de l’âme. La théologie catholique fait référence à la nécessité de développer les vertus cardinales (foi, espérance, charité, prudence, tempérance, force et justice) et de vaincre les vices.

Le Tao demande aux sages de laisser tomber la morale et la justice des hommes qui sont inhumaines et les gens feront systématiquement ce qui est juste. Ce qui entraîne la mort et la misère d’autrui, y compris celles du règne animal, ne peut nous rendre spirituellement serein. L’absence de paix intérieure est cause du traumatisme de l’âme dont l’impact sur la forme physique est inévitable. Veillons déjà à ce que nous mangeons et buvons, et nous serons psychiquement disposés à installer la paix dans notre âme spirituelle. Sans une certaine discipline de soi nul ne parvient à la maîtrise de soi. Et sans maîtrise personnelle nul n’obtient la santé.

Les vices sont l’absence des vertus théologales. Ce sont les sept péchés capitaux de la théologie chrétienne : la colère, l’avarice, l’envie, l’orgueil, la gourmandise, la paresse, la luxure. Elles entraînent la cupidité, la vanité, la prétention et l’arrogance, qui sont intolérables à la raison supérieure de l’âme. Il suffit d’observer l’état de nos sociétés et de nos nations pour comprendre immédiatement avec un peu de lucidité que les maux qui minent la condition humaine entraînent le chaos et la décadence jusqu’au sein de nos cellules organiques.

Qui veut retrouver la santé, l’entretenir et la maintenir, doit s’occuper du bien-être de son âme et de celui d’autrui, et mettre toutes les chances de son côté pour rétablir la sérénité jusqu’au plus profond de ses cellules organiques.

 

Quelles sont les caractéristiques métaboliques des cellules cancéreuses ?

 

Le métabolisme des cellules cancéreuses est différent des cellules normales. Les cellules normales ont besoin d’oxygène, par contre les cellules cancéreuses n’ont pas besoin d’oxygène pour se nourrir, lorsque le glucose est disponible. Le métabolisme des cellules cancéreuses se fait par un processus de fermentation.

Le métabolisme du cancer est environ 8 fois plus grand que le métabolisme des cellules normales.

L’acide lactique produit par fermentation abaisse le pH de la cellule et détruit la capacité de l’ADN et de l’ARN de contrôler la division cellulaire.

Les cellules cancéreuses commencent alors à se multiplier. L’acide lactique provoque simultanément une douleur locale sévère car il détruit les enzymes cellulaires. Le cancer apparaît sous la forme d’un revêtement externe de la cellule en croissance rapide, avec un noyau de cellules mortes.

 

Suppression radicale du sucre industriel

 

Le sucre nourrit le cancer et le corps meurt de faim, en essayant de nourrir le cancer. De ce qui précède on peut deviner que le cancer aime le sucre.

Sachant que le cancer a besoin de sucre, est-il normal de le nourrir de sucre ? Le seul sucre qui convienne à l’organisme humain est celui fourni naturellement par les fruits, les céréales, les légumineuses et les légumes.

 

Est-il logique d’avoir une alimentation riche en glucides ?

 

Le Dr Otto Warburg disait : “Par exemple la première cause de la peste est le bacille de la peste, mais les causes secondaires de la peste sont la saleté, les rats et les puces qui transmettent le bacille de la peste du rat à l’homme. Par la principale cause d’une maladie, je veux dire celui qui se trouve dans tous les cas de la maladie. Le cancer comme toutes les autres maladies, ont d’innombrables causes secondaires. Presque tout peut causer le cancer. Néanmoins, même pour le cancer, il y a seulement une cause première. La cause principale du cancer est le rempla-cement de la respiration de l’oxygène (oxydation du sucre) dans les cellules normales de l’organisme par la fermentation du sucre“.

Le Dr Otto Warburg avait terminé un de ses discours les plus célèbres avec la déclaration suivante :

“ (…) personne ne peut aujourd’hui dire que l’on ne sait pas ce qu’est le cancer et sa cause principale, au contraire, il n’y a pas de maladie dont la cause principale est mieux connu. De sorte qu’aujourd’hui, l’ignorance n’est plus une excuse pour que l’on ne puisse pas faire plus de prévention“.

 

Pourquoi malgré la découverte du Docteur Otto WARBURG le cancer, sous toutes ses formes, n’a jamais cessé d’évoluer pour être le mal du siècle ?

 

La cupidité, mesdames et messieurs. Celle qu’entretiennent les forces de l’ombre et de l’ignorance. Cette cupidité des hommes qui recherchent l’argent pour le pouvoir. La nature nous donne tout gratuitement. Là où est le mal, là est le remède du mal, disait le charitable Hippocrate. Le remède naturel ne coûte rien. On veut absolument maintenir les individus dans l’ignorance pour mieux les contrôler mentalement, les abêtir par des récréations stupides et des enfantillages. Les laboratoires de la mort créent des molécules qui sont sources de mort et non de vie, et de plus coûtent affreusement chères au porte-monnaie des pauvres.

Les chercheurs reconnaissent actuellement que le ciblage précis des mutations du gène du cancer ne donne pas les résultats espérés et attendus. Non seulement les mutations sont remar-quablement diverses, et différentes entre les individus et entre les secteurs au sein d’une seule tumeur, mais les cellules cancé-reuses deviennent vite résistantes à de nouveaux médicaments.

 

Sucre, inflammation et Cancer

 

C’est le sucre (glucose) qui fournit l’énergie nécessaire à chaque cellule de l’organisme. Le sucre semble donc essentiel au bon fonctionnement du corps. Cette constatation est valable lorsque tout fonctionne correctement.

Qu’en est-il lorsque tout fonctionne de travers ?

La consommation de sucre a-t-elle un lien avec la formation de tumeurs cancéreuses ? Il y a le sucre industriel et les autres sucres, naturels, des fruits, du miel, des hydrates de carbone.

Une étude de Lewis Cantley soumise à la prestigieuse Univer-sité Havard a démontré, au début des années 1990, l’impact du glucose sur certaines cellules cancéreuses. Notons également que le “PET scan” (TEP en français), détecte la présence d’un cancer, en mesurant les régions de notre organisme qui consomment le plus de glucose. Le cancer se nourrit de toute évidence de sucre.

 

Le glucose favorise t-il ainsi la formation des tumeurs cancéreuses ?

 

Une étude d’une équipe américaine de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center, établit de façon certaine qu’il existe bien un lien entre la consommation de sucre, notamment le saccharose et le fructose (lorsque celui-ci est isolé des fruits qui le contiennent) utilisé dans les aliments industriels, et le cancer :  ils ont identifié avec précision le mécanisme, une production d’enzyme 12-LOX (12-lipoxygénase) et d’acide gras 12-HETE, qui seraient en cause dans le processus de croissance tumorale mammaire sur des rongeurs.

Cette voie pourrait, selon les auteurs, favoriser l’inflammation des tumeurs et par conséquent leur croissance en entraînant le développement des métastases. Le sucre blanc (ou roux d’ail-leurs, sucre qui n’est pas vraiment complet) est le premier sucre auquel l’on pense. Les bonbons et le chocolat auxquels on a rajouté du sucre industriel.

Faut-il y ajouter les pâtes, pommes de terre, céréales, etc… ? Et le sucre est aussi présent dans les sodas.

La revue médicale Cancer Researche tend à démontrer que les différents sucres sont métabolisés selon des voies métaboliques distinctes et que cela a des conséquences majeures sur l’appro-visionnement en nourriture des cellules cancéreuses et sur leur prolifération.

Que dire du fructose naturel contenu dans les fruits et les légumes ? Pour l’instant la science reste muette sur ce point. C’est un sujet tabou pour les producteurs de sucre qui s’inquiètent pour le capital que produisent les industries sucrières. Mais on a tout lieu de penser que le sucre naturel des fruits et légumes forment une synergie avec les autres composantes chimiques d’un aliment, et donc ne peut être cause de cancer. Il faut donc manger les fruits dans leur totalité et dans un état de non-contamination par les pesticides, les insecticides et autres substances chimiques employées pour leur préservation.

Le fait à retenir est que les cellules cancéreuses ne métabolisent plus le glucose correctement. La cause du cancer est donc plutôt d’ordre métabolique : un dysfonctionnement de la cellule qui aurait alors besoin de beaucoup plus de sucre pour pouvoir fournir de l’énergie.

 

La solution pour guérir

 

La solution pour enrayer le développement du cancer est simple : affamer les cellules cancéreuses en ne consommant plus de glucose (régime cétogène par exemple).

Le Dr Otto WARBURG a démontré que le cancer est une maladie de la digestion cellulaire et, plus précisément, de la digestion du sucre. Cette piste a été longtemps oubliée.

En 2012, des chercheurs japonais dirigés par le professeur Tatsushi Igaki, de l’Université de Kobe, ont élucidé un mécanisme cellulaire fondamental qui transforme les tumeurs bénignes en tumeurs malignes.

Ils ont pu notamment observer une diminution du rendement des mitochondries, et ont pu montrer que la baisse de l’activité mitochondriale associée à l’activation du gène oncogène RAS provoquait un stress cellulaire qui se transmettait aux cellules voisines par la production de cytokines inflammatoires et de facteurs de croissance. Sous l’effet de ces mécanismes, les cellu-les périphériques se transforment alors en cellules cancéreuses.

 

La lipogénèse

 

Les lipides sont des constituants majeurs de nos cellules : la membrane plasmique est composée de phospholipides, tout comme les membranes présentes à l’intérieur des cellules. En situation normale, les lipides apportés par notre alimentation suffisent aux besoins journaliers de nos cellules. Pour proliférer, les cellules ont donc besoin de produire une grande quantité de phospholipides pour construire les membranes des cellules-filles.

Par conséquent, les cellules cancéreuses produisant une part importante des lipides dont elles ont besoin pour fabriquer les membranes, il devient important de supprimer de l’alimentation toutes les mauvaises graisses, et apporter à l’organisme les oméga 3 dont il a un besoin urgent.

Une alimentation pauvre en graisse est nécessaire dans le traitement de la suppression du cancer en mode naturel.

Pour conclure : le métabolisme des cellules cancéreuses décrit par Otto Warburg dans les années 1930 est devenu une marque spécifique associée au cancer, appelée “effet Warburg“. Les cellules cancéreuses puisent leur énergie essentiellement à partir du glucose, à travers la glycolyse, afin de répondre à leurs besoins en énergie, mais également à leur besoin en biomasse nécessaire à leur division accrue.

Pour guérir, on retiendra :

 

GUÉRISON DU CANCER

 

Pour guérir du cancer avant qu’il ne soit trop tard, il convient :

 

  1. Rééquilibrer son métabolisme basal. Une cure de plusieurs semaines s’imposent très sérieusement, au moins deux ou trois fois dans l’année dans le cas d’un cancer déjà avancé.
  2. Boire de l’eau de qualité de pH 9,5 : 2 à 4 litres par jour selon le poids (3 % d’eau d’eau alcaline).
  3. Se nourrir d’aliments alcalins : fruits et légumes crus, débarrassés de pesticides et d’insecticides.
  4. Éviter viandes, poissons, excès de céréales, pains et farine.
  5. Supprimer radicalement tous les sucres industriels.
  6. Éliminer toutes les mauvaises graisses.
  7. Prendre des oméga 3 en équilibre avec les oméga 6.
  8. Apporter à l’organisme l’ensemble des vitamines et des oligo-éléments en synergie avec les acides ami-nés dont l’organisme a besoin.
  9. Rééquilibrer la flore intestinale. Éviter les antibio-tiques dangereux.
  10. Pour reconstituer les cellules et les régénérer, prendre du soufre végétal naturel (MSM). Voyez Lifeplus.
  11. Jeûner au moins un jour par semaine. Seule boisson admise : eau propre, débarrassée de ses pesticides, insec-ticides, métaux lourds, perturbateurs endocriciens, boues, etc. L’eau à boire sera de pH 9,5. S’adonner à un jeûne long ( 15 à 40 jours) est également souhaitable. Abordez-la avec un spécialiste de la question, au sein d’une clinique ou d’un institut spécialisé. Consultez les ouvrages du Dr Edmond Bertholet sur le Jeûne. Voyez aussi la “Fontaine d’eau“, machine Kangen.
  12. Prendre le temps de respirer profondément, lentement, calmement, pendant au moins 30 minutes, deux fois par jour, matin et soir, aqfin d’oxygéner suffisamment le sang et les cellules.

 

ALIMENTS ANTI-CANCER

 

Fruits secs anti-cancer :

  • Amandes sèchées
  • Amandes séchées d’abricot
  • Noisettes
  • Noix séchées
  • Pistaches

 

Fruits en général :

  • Banane mûre
  • Figue
  • Poire
  • pomme
  • Pruneau
  • Raisin
  • Melun
  • Pastèque
  • Ananas
  • Citron
  • Clémentine
  • Grenade
  • Groseille
  • Mandarine
  • Orange
  • Pamplemousse
  • Pêche
  • Cerise
  • Prune
  • Tomate
  • Fraise
  • Abricots
  • Dattes
  • Figues

 

Légumes :

  • Betteraves
  • Carottes
  • Céleri rave
  • Choux de Bruxelles
  • Échalottes
  • Navet
  • Aubergine
  • Brocoli
  • Cardon
  • Champignon
  • Chicorée
  • Choux
  • Choux-fleurs
  • Oignon
  • Panet
  • Persil
  • Petits pois frais
  • Pissenlit
  • Rutabaga
  • Salsifis
  • Ciboulette
  • Concombre
  • Courgette
  • Endive
  • Épinards
  • Haricotes verts
  • Laitue
  • Mâche
  • Oseille
  • Poireaux
  • Poivrons doux
  • Potiron
  • Radis
  • Rhubarbe
  • Scarole

 

Légumes à amidon concentré :

  • Chataignes
  • Pommes de terre
  • Topinambour

 

Légumes riches en lipides :

  • Avocat
  • Olives

 

Légumineuses :

  • Soja
  • Riz complet

 

Céréales et dérivés :

  • Orge complète

 

Laitages : 

  • Caillé de lait
  • Fromage blanc
  • Yahourt

 

Œufs non fécondés :

  • Jaune

 

Viande :

  • Toutes les viandes, les charcuteries et les poisons sont acidifiants et pourvoyeurs d’acide urique, de déchets et de toxines variées.

 

Il est évident que les patients doivent renoncer définitivement au tabac, à l’alcool, à la drogue, aux remèdes allopathiques, pour se soigner naturellement avec ce que la Nature offre de meilleur à l’humain.

On sait donc parfaitement soigner les cancers à condition de mettre toutes les chances du côté des patients qui ont réellement la volonté de guérir en CHANGEANT RADICALEMENT DE MODE DE VIE. À chacun de voir…

 

Rappelons, au risque de nous répéter, que l’acidose toxique est susceptible de générer :

  • La sinusite
  • La bronchite
  • La pneumonie
  • L’otite
  • Le rhume
  • La grippe
  • L’asthme
  • Toutes les maladies respiratoires
  • L’eczéma
  • Les boutons
  • Le psoriasis
  • Le lupus
  • Toutes les maladies de la peau
  • Le vieillissement prématuré de la peau
  • Les varices
  • Les hémorroïdes
  • Toutes les maladies de la circulation veineuse
  • Les maladies intestinales.
  • La rectocolite hémorragique (maladie inflammatoire des intestins comme pour la maladie de Crohn)
  • La maladie de Crohn
  • La variole
  • La tuberculose
  • Les maladies orphelines
  • Les maladies cardiaques
  • Les maladies nerveuses
  • Les maladies hormonales
  • Les caries dentaires
  • La dépression, la nervosité, les maux de tête, les migraines
  • La fatigue chronique,
  • La fatigue et la paresse de l’estomac,
  • Les calculs rénaux
  • Les calculs biliaires
  • Les crampes
  • La sciatique
  • les maladies des os ou du squelette
  • Les problèmes dentaires
  • Les problèmes ligamentaires
  • Les maladies rhumatismales
  • L’hernie discale
  • La fragilité des os (ostéoporose, os creux)
  • Risque accru de fracture
  • La polyarthrite déformante conduisant à la paralysie des membres supérieurs et inférieurs
  • La sclérose en plaque
  • Les maladies sexuelles
  • La syphilis (la vérole)
  • Les maladies du bas ventre
  • Les maladies urinaires
  • La prostate
  • La stérilité
  • L’impuissance sexuelle
  • Les maladies du foie
  • La cyrrhose
  • Les maladies du métabolisme
  • Les maladies lymphatiques
  • Les maladies du pancréas
  • Le diabète
  • Etc…

 

Il est déplaisant de penser que nous avons tous une maladie sous une forme ou une autre. Chaque forme de maladie est susceptible de se transformer d’abord en maladie chronique, puis en maladie cancéreuse. Globalement, les multiples erreurs et les vices de l’humanité l’ont conduite à diversifier les formes d’une unique maladie. Les maladies héréditaires se transmettent d’âge en âge selon les idiosyncrasies raciales ou ethniques. Il est presque impossible pour une âme spirituellement avancée de s’incarner au sein d’une famille ou d’une ethnie qui ne soit pas affectée par tels ou tels maux. C’est symptomatologique de l’existence de causes occultes de la maladie. On doit pouvoir admettre que les maladies humaines ont une origine lointaire (vies antérieures), proche (chronique) ou récente (aigüe ou accidentelle). La loi de causalité universelle implique que les mêmes causes engendrent toujours les mêmes effets. C’est en connaissant la cause du mal qu’il devient possible de vaincre la maladie avec quelque espoir de succès. Tels sont les effets concrets et objectifs de l’acidose qui produit ces oxydants empêchant l’élimination des déchets ou des produits de la combustion cellulaire, sources de maladie et de vieillissement pramaturé de l’organisme humain. Une eau propre est indispensable pour dissoudre les déchets de l’oxydation.

Lettre n°1 – Santé et Beauté

Santé et Beauté

Lettre n°1

Lettre n°1

aux étudiants

Toujours en forme

Vivre jeune, longtemps, en pleine forme, voilà des préoccupations qui ne peuvent laisser personne indifférent. L’auteur examine pratiquement toutes les méthodes, techniques ou moyens, accessibles à tous, susceptibles de préserver et d’améliorer l’état de santé. 

Il dénonce les dangers de la vie moderne, l’environnement des ondes nocives, la pollution de l’habitat, les dépenses d’énergie. Il montre comment nous pouvons réapprendre à vivre, à manger, à gérer notre sommeil et notre énergie biologique, à créer les conditions d’un habitat salubre, à vivre dans un lieu vibratoirement bénéfique. 

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Les effets sont très rapides : vous marchez mieux, vous respirez mieux, vous récupérez mieux, vous pensez mieux, vous êtes plus alertes et plus en forme sexuellement, vous vous sentez plus libres. La fatigue et la vieillesse cesseront d’être à jamais pour vous une fatalité. Avec des dessins originaux qui émaillent le livre, vous entrez immédiatement dans la pratique d’une vie nouvelle et radieuse. Quels que soient votre âge et votre sexe, pratiquez l’alchimie de la régénération cellulaire pour vivre jeune et longtemps.

 

(voir notre catalogue, Piotr Phénix, Toujours en forme, 2001)